Les Effets Pervers De La Création Monétaire

THEME 1 : MONNAIE ET FINANCEMENT DE L’ECONOMIE Sous-thème 1 : Le système monétaire international et les économies Africaines Dans la perspective de la création d’une banque centrale africaine, nous analysons dans cette communication les principes et les règles de l’économie internationale qui justifient l'initiative de réforme de l’environnement monétaire et financier africain. La nécessité et l’importance de cette initiative de réforme trouvent leur fondement dans une loi économique essentielle

objectifs : – préserver les pays des conséquences de la volatilité des revenus liés à l’exportation de matières premières, – répartir la richesse tirée des ressources naturelles non renouvelables entre plusieurs générations, – éviter les effets pervers liés à l’existence d’une rente (windfall profit) générant un enrichissement sans cause, – éviter les coûts de stérilisation et de portage des réserves par la banque centrale. Ils occupent encore une place relativement modeste dans le montant

informationnels. 111. L’accroissement des échanges commerciaux internationaux Un des premiers aspects de la mondialisation consiste dans la croissance spectaculaire des échanges commerciaux internationaux depuis 1945. En effet, en valeur, les échanges commerciaux internationaux (c’est-à-dire les exportations et les importations) représentaient 60 milliards de dollars courants en 1949, 700 milliards de dollars en 1973, et près de 6700 milliards de dollars en 2000. En 1949

on retrouve cette conclusion libérale que la monnaie ne sert à rien), passionnant. Comment l’argent est au coeur de nos sociétés et comment l’argent s’est transformé au cours du temps. On lie l’inflation à la monnaie, pas uniquement un phénomène monétaire. John Stuart Mill écrit en 1848 « il n’existe pas dans l’économie d’une société quelque chose de plus insignifiant que la monnaie ». Abba, « money, money, money » Contexte: la Grèce est à l’origine si ce n’est la cause d’un rejet de plus en plus

l’exemple du marché automobile ou du rationnement du crédit, le risque moral dans l’entreprise / La crise comme exemple de déséquilibre macroéconomiqueB- Les justifications de l’intervention de l’Etat 1) L’internalisation des effets externes légitime l’intervention publique Pigou et « l’économie du bien-être » / Samuelson et le bien-être social2) Prise en charge des biens publics par l’Etat quand le marché est inefficient Défense Nationale, Education nationale / Nationalisation

conteneurs = croissante forte du commerce mondial. Années 80, libéralisation du système: Multiplication des mesures de dérèglementations financière Création d’un système financier mondial connecté dont profite les banques, les fonds de placements et les entreprises.  Augmentation des transactions financières qui spéculent sur les flottements monétaires, les variations de taux d’intérêts, les actions, les matières premières.  risque croissant d’instabilité, succession de crise financières. La

Cependant en ce temps de crise, cet outil s’avert indispensable pour mieux avoir une bonne relation économique avec le reste du monde et mieux attirer des investissements étrangères. Pour bien utilise cet outil, les autorités monétaires doivent mettre en place une politique monétaire adéquat afin de contribuer à l’équilibre économique. Ainsi le Maroc depuis les années 1980, a engagé un processus de libéralisation économique dans les différents secteurs notamment dans le secteur financier qui soufrait

énorme contribution à la formation du capital national, source importante de capitaux. Les IDE ont aussi crées de l’emploi. Comme dans le cas des autres pays en développement, où les capitaux sont relativement rares, mais le travail est abondant, la création d’emplois – directement ou indirectement – a été l’un des impacts les plus importants de l’IDE sur l’économie chinoise. En investissant à l’étranger, certaines sociétés européennes ont transféré certains actifs incorporels spécifiques ou des procédés

L’OBSERVATION DES FAITS ET L’EMERGENCE DU CONCEPT MODERNE DE CRISE Comme la vie sociale, l’activité économique est scandée de multiples rythmes, la production est aléatoire (cf agriculture). Sous l’AR, on peut faire deux observations : - l’ampleur des effets de la crise dépend du mode de répartition de la production, donc de la nature des rapports sociaux - les crises frumentaires de l’AR comme les crises des pays défavorisés aujourd’hui n’ont pas de causes climatiques ; elles sont très largement déterminées

paiements. Le CI suit de grands cycles de développement, à l’échelle générationnelle. Solde positif ⋄ pays heureux - Solde purement comptable, il correspond à la philosophie du tiroir-caisse - Aspect qualitatif, il représente des unités monétaires Plus on importe, plus on augmente la liberté de choix des consommateurs 1er objectif du commerce international : l’importation Il faut viser une situation d’équilibre : importation indispensable=exportation réalisé La théorie du commerce international