Les Effets Pervers De La Création Monétaire

différentes selon les courants. Malthus et Simondi ont rejeté la loi de Say ou loi des débouchés au profit de la demande effective. Selon cette loi, il n’y a pas de problème de débouchés pour les biens produits. La surproductivité n’existe pas. En effet, chaque fois qu’un produit est crée, un débouché est créé en même temps. Ce produit va être donc mis sur le marché et engendrer un revenu. Ce revenu servira de débouché à un autre produit et ainsi de suite. La demande effective préconisée par Keynes

– L’intérêt de l’implantation d’un système de rémunération des compétences par les RH A- L’approche Française et Anglo-saxonne B- Impact sur les performances de l’entreprise C- Impact organisationnelle et comportementale II - Les effets pervers de rémunération basés sur les compétences A- La relation incertaine entre rémunération et compétence fragilise la relation contractuelle B- Les rémunérations des compétences : source d’inégalité préjudiciable pour le maintien du contrat

Incidents climatiques, le pétrole et les domaines cultivables se rétrécissent de plus en plus. 1.1 Controverses des analyses monétaristes et keynésiennes 1.1.1 Analyse libérales : inflation, comme phénomène monétaire L’inflation est un phénomène qui est purement et uniquement monétaire. Friedman. Se base sur une logique quantitativiste (quantité de monnaie qui circulent dans le pays). La responsabilité est a rechercher de l’offre de monnaie (banques) et pas de la demande de monnaie (des ménages)

impact fort sur les pays européens car ils voient disparaître complètement les capitaux investis en Russie (ce qu'à investi le TSAR n'est pas le gouvernement Bolchévique). Sur le système économique international c'est l'effondrement du système monétaire antérieur (fin de l'étalon or : « gold standard ») qui fait place au « gold exchange standard ». Cela remet en cause de la liberté de circulation ce qui correspond à un frein de l'immigration (comme pour USA et Canada qui mette en place des cotas

monnaie de facturation c’est la monnaie du pays vendeur) /!\ Mais la compétitivité de prix n’est qu’un élément de la compétitivité globale des entreprises avec la compétitivité technologique, managériale ou par les coûts. B. Lorsque les effets pervers économiques et sociaux se multiplient 1. Sur le plan économique Ce que l’on reproche à l’inflation : a. Une mauvaise allocation des facteurs de production (ressources rares) Une bonne allocation de ressource c’est une allocation qui

passé, mesures comptable et fi… . ACT : analyse des résultats, actions correctives si écarts significatifs (feedback, peuvent conduire à modifier le processus de transfo et ou les sources mises en œuvre dans ce processus), gratifications (primes monétaires ou non) et ou sanctions aux responsables. CDG = syst de mise en œuvre de la stratégie. Ce modèle de gestion permet la DPO (gestion par les résultats), s’inspirant d’une représentation cybernétique de l’org et envisageant l’org comme un syst

institutions démocratiques et les États souverains en charge de l'intérêt général. Elle leur substitue des logiques purement et strictement spéculatives exprimant les seuls intérêts des entreprises transnationales et des marchés. À ce propos, on voit en effet apparaître, au milieu des années 80, un marché mondial des obligations, très vite relayé par un marché d'actions et de nouveaux instruments financiers (notamment les dérivés). Ces marchés mondialisés sont très larges, c'est-à-dire offrant une large

les libéraux considèrent que toute politique de relance par la hausse des salaires et de la demande est inflationniste. L'exemple de la France en 1981 semble leur donner raison: une politique de relance de la demande de type keynésienne s'est, en effet, traduite par une hausse sensible des prix. Si, jusqu'au début des années 80, la nécessité d'accepter une certaine inflation était souvent admise pour accélérer la croissance et combattre le chômage, la lutte contre l'inflation est devenue prioritaire

zone d'intégration économique au même titre que les autres zones régionales (ALENA, MERCOSUR, …) Cependant, l'UE, à la différence des autres zones, est la plus aboutie car elle s'est dotée d'une Union Economique et Monétaire (UEM) qui signifie la mise en place de politique monétaire commune et une monnaie unique, l'euro. Ce fort degré d'intégration régionale se traduit par une intensité des échanges intrazone au sein de l'UE Cf doc 1 page 364 2) Les étapes de la construction européenne

permet de mesurer la croissance. La valeur ajoutée correspond à la mesure de la contribution réelle des entreprises à la production des richesses. On utilise les valeurs ajoutées afin de ne pas comptabiliser plusieurs fois le même bien et service. En effet la production finale d’une entreprise peut aussi correspondre aux consommations intermédiaires d’une entreprise. Remarque : En dehors du PIB/hab. on peut utiliser un autre agrégat permettant aussi de mesurer le niveau de vie, c’est le PnB ou le RnB