Les Effets Des Fluctuations Des Taux De Change

INTERNATIONAUX L’ouverture des économies a permis une forte progression des échanges internationaux. A) L’ouverture des économies 1. Définition du taux d’ouverture (= degré d’ouverture) Exportation + importation Taux d’ouverture = ____________2____________ PIB Taux d’ouverture de la France = 22 % en 2007 La France est une économie ouverte sur le reste du monde. 2. Déterminants du degré d’ouverture a) taille

maturités : court terme (13, 26, 52 semaines), moyen terme (2, 5 ans) et long terme (10, 30 ans). Rôle du bon de trésor dans l’économie : En effet grâce aux bons de trésor, la banque centrale réalise certaine opérations « d’open market » (marché ouvert) qui lui permettent d’intervenir sur le marché monétaire de façons souple afin de régulariser ses fluctuations due a la variation d’offres et les demandes de liquidités du systèmes bancaires , d’influer sur la tenue du marché et des titre ainsi

Illusion monétaire Introduction En économie, l'illusion monétaire consiste à considérer la valeur nominale de la monnaie plutôt que sa valeur réelle. Cette illusion a pour effet que l'on confond la monnaie et son pouvoir d'achat, ou l'on confond la monnaie et la richesse ; on croit également que la monnaie a une valeur intrinsèque alors que sa valeur réelle ne dérive que de sa capacité à être échangée contre des marchandises (pouvoir d'achat) ou à pouvoir payer des impôts. Le terme a été inventé

l'appréciation de l'euro vis a vis des autres devises, et d'autre part par la crise financière et ses répercussions sur l’économie réelle, ce qui en conséquence démontre que l'économie française fluctue en fonction de la conjoncture internationale. En effet, les causes de l'aggravation du déficit commercial français en 2008 s'explique dans un premier temps, principalement par l'augmentation de la facture énergétique de la France qui est passé de 46 milliards d'euros en 2007 a 59.4 en 2008. Cet accroissement

contraire sur le développement intérieur de son économie. Les instruments de mesure des échanges 1. Le degré (ou taux) d’ouverture d’une économie On mesure le taux de participation d’un pays au commerce international de biens et de services grâce à son degré (ou taux) d’ouverture. Degré d’ouverture = Moyenne des exportations et des importations × 100 PIB 2. Le taux de couverture Le taux de couverture permet de comparer, pour un pays ou un secteur d’activité, le montant des exportations avec celui

l'accroissement du volume de facteurs de prod et celui de la production) doivent être constant. Croissants → spécialisation peut créer un avantage comparatif au lieu d'en être la conséquence. ● Fluctuations du taux de change → peuvent rendre artificiellement compétitifs certains produits → Effets du libre-échange reflètent pas forcément les véritables A.C c ) Les limites de l'avantage réciproque ● Toutes les spécialisation ne sont pas equivalentes. Pays le – productif echange son travail

avancé d'élaboration ⇒ la structure des importations a changé. Les machines sont le principal produit d'exportation et le poste le plus important dans les achats suisses à l'étranger (???) ← spécialisation. e) La République fédérale d'Allemagne et les voisins européens sont les meilleurs clients de la Suisse Prédominance des clients européens vue la répartition régionale du commerce. Prédominance qui augmente avec les effets de l'intégration européenne. f) L'Europe est

de régimes de taux de changes peut être un facteur de convergence. D'abord, selon Aghion, pour les pays ayant un système financier développé, avoir un taux de change flottant peut être bénéfique pour les entreprises. Cela améliore la croissance à long terme et élimine les concurrents les plus faibles. Dans ce cas il y a peu de risque d'adopter un système de taux de change flexible car les données montrent que plus le système financier d'un pays est développé, moins le taux de change peut avoir un

et quantité contenue, ce qui pousse les agents à recourir principalement à l’autofinancement pour réaliser leurs projets d’investissement -taux d'intérêt variables sur les crédits, privilégiant certaines classes d’emprunteurs au détriment d’autres classes (voire clientélisme) -épargne faible, car taux d'intérêt réels négatifs sur les dépôts (taux d’intérêt bas et inflation), ce qui réduit le potentiel d’autofinancement et limite les projets d’investissement -instabilité monétaire de l’économie

plus faible qu’au niveau national. Les montants de transactions sont plus élevés. La distance est plus grande entre les agents concernés par les transactions. Ces 3 caractéristiques expliquent pourquoi s’est développée très rapidement la lettre de change (monnaie scripturale : les transferts se font par des jeux d’écriture). L’utilisation de la monnaie scripturale simplifie les règlements car les transactions ne s’effectuent plus entre agents (particuliers) mais entre banques (ou institutions financières