Les Effets De La Multinationalisation Des Firmes Sur L Emploi

L’analyse organisationnelle ■ V- Le choix stratégique ■ 1- Les stratégies de base : ■ Domination par les coûts ■ Différentiation ■ Concentration ■ 2- Les options stratégiques complémentaires: ■ Spécialisation ■ Diversification ■ Intégration ■ multinationalisation ■ VI - La mise en œuvre et le contrôle stratégique ■ Conclusion I- Objet de la pensée stratégique ■ Rappels et définitions: A- Entreprise : 1-« Une réunion d’hommes et de moyens (matériels, immatériels et financiers), en vue de la production

entre les concurrents de l’industrie ». Il identifie 5 facteurs explicatifs de la concurrence interne : Concurrents nombreux (CPP) et équilibrés (même poids dans l’industrie) Une croissance lente du secteur renforce la concurrence entre les firmes La présence de coûts fixes élevés car les retours sur investissement sont plus longs L’absence de différenciation et de coûts de transfert. Si les produits ne sont pas différenciés, ils sont banalisés, alors cela renforce la concurrence. Les coûts

terme. Les finalités sont de 3 sortes: Les finalités économiques : Produire des B et S ; Réaliser des profits ; Assurer la pérennité (la survie de l’entreprise) ; La puissance (recherche d’un CA élevé...). Les finalités sociales : Fournir des emplois et des revenus; Épanouissement du personnel ; Les finalités sociétales : Préserver l’écologie ; Etre une «entreprise citoyenne»: l’entreprise participe à la satisfaction de l’intérêt général. Objectifs : Les objectifs ce sont les buts concrets

sensiblement f à long et court terme, ou p, W1 et W2 si les marchés sont en CPP. Pour maximiser son profit l’entreprise n’a pas d’autre choix que de choisir les bonnes valeurs de X1 et X2. Horizon temporel : Très long terme = temps de croissance => plein emploi de fdP° ; Long terme = 6 / 10 ans, considère que la technologie ne peut se modifier radicalement ; Court terme = qq mois / qq années, les marchés n’ont pas le temps de s’équilibrer en prix et/ou en technologie. => modification de la quantité de

plus efficace dans la production d draps ainsi l’Ang se spécialisera dans la production de drap et le Portugal dans celle de vin. Limite de la théorie : Ricardo ne précise pas quel est la répartition qui provient du bien de la spécialisation. En effet, si les pays tirent un bénéfice à participer aux échanges mondiaux, ils n’en tirent peut être pas les même profits. De plus, cette théorie ne permet pas d’expliquer les échanges croisés d produits similaires c’est-à-dire que les échanges intra branches

Sommaire : 1. Croissance, développement et changement social 2. Les sources de la croissance économique 3. Investissement, progrès technique et croissance 4. Organisation du travail et croissance 5. Croissance, progrès technique et emploi 6. La dynamique de la stratification sociale 7. Enjeux et déterminants de la mobilité sociale 8. Idéal démocratique et inégalités 9. Mutations du travail et conflits sociaux 10. Action collective et changement social 11. Cohésion

 Les entreprises multinationales ont un impacte négatif sur l emploi au Maroc 1L’ouverture, à travers le commerce et les investissements directs étrangers (IDE), semble être aujourd’hui un catalyseur de la croissance économique tant dans les pays émergents que dans les pays développés. On peut donc affirmer qu’un consensus se dégage, sous certaines conditions, aussi bien parmi les chercheurs que les décideurs sur la pertinence de cette relation. Cependant, le débat reste ouvert quant à l’identification

rachetant des institutions financière. Risques : La poursuite de cette dévaluation monétaire : La monnaie chinoise est sous évaluée. L’Euro connait une croissance. Le G20, n’a pris aucune décision. C’est le reflet de la position américaine coutumière. En effet les USA n’ont prit aucunes décisions vis-à-vis du dollar. La situation de Seoul reflète que c’est tout d’abord le G2 : Chine et USA. Ce contexte met en jeu des risques évidents : le protectionnisme monétaire, c'est-à-dire recul prolongé du dollar et

ambiguïtés. Il insiste tout particulièrement sur un aspect: il ne faut pas opposer production de masse et lean production 2. Le chapitre examine ensuite la question de la multinationalisation. Il revient sur les différentes étapes traditionnelles que peuvent suivre les entreprises avant de s'interroger sur la capacité des firmes japonaises à se multinationaliser. Dans l'industrie automobile, les entreprises les plus multinationalisées ont tenté de mettre sur pied des modalités d'organisation mondiales

............................. 9 1.1. Le débat de politique économique ................................................. 9 1.2. De quoi parle-t-on ? ................................................................... 11 1.3. Une réorganisation des firmes sur une base mondiale ................. 12 1.4. L’analyse des économistes ......................................................... 13 1.5. L’analyse des entreprises ........................................................... 15 1.6. Le constat du