Les Effets De La Croissance Sur Le Chômage

avec lʼévolution du prix. Ces situations sont: 1. Effet Giffen ( pour les bien inférieurs). Cʼest un effet de revenu. Une hausse du prix des biens inférieurs pour les consommateurs de ces biens est synonyme de baisse du revenu réel. Ces consommateurs appauvris abandonnent la consommation de biens moins essentiels ( bien supérieurs) et reportent leurs achats sur les biens inférieurs. En cas de baisse du prix des biens inférieurs, il se produit un effet de revenu positif. La demande de bien inférieurs

naturels, un cercle vertueux en somme. Asselain souligne le rôle décisif de la révolution agricole dans la révolution démographique. Décalage de deux ou trois générations entre la baisse des prix des biens alimentaires et la révolution démographique. Effet de substitution, dépenses désormais dans le textile (mode notamment des indiennes). On observe à un demand-pull, dans le coton, entrainant une demande en hausse, que des améliorations devront satisfaire. Paradigme libéral : Trois courants :

macroéconomiques et déséquilibres, fonctions économiques de l'État (allocation, répartition, stabilisation), prélèvements obligatoires, dépenses publiques, déficit public et dettes publiques. équilibre emplois/ressources, demande globale, inflation, chômage, déséquilibre extérieur, politiques budgétaire, politique monétaire . Ce que dit le programme en fonction du plan choisi : I -A Indications complémentaires : : On présentera les principaux déséquilibres macroéconomiques et leurs instruments de mesure

Chap.2 Comment expliquer l'instabilité de la croissance ? Croissance effective : Après la récession, il y a des ralenti s voir des reculs de l'activité productive pendant une période longue = dépression (baisse PIB) Crise : Strict = baisse de l'activité économique Large = ensemble de la période de l'activité en dépression, chômage en augmentation. La crise se stop grâce a la reprise. Récession : Croissance économique négative ( environs 6mois) → baisse de la production (prolongement

Croissance et inflation L’inflation est un phénomène majeur du 20èm siècle, elle apparaît même comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. C’est véritablement à l’occasion de la Première Guerre mondiale que l’inflation s’installe. Ainsi aux poussées inflationnistes limitées succède peu à peu une inflation galopante (période d’inflation à deux chiffres, années 70), puis rampante (situation durable et modérée de la hausse du niveau général des prix). En effet, on assiste depuis

rupture brutale entre l'offre et la demande est constitué de fluctuations économiques conjoncturelles qui ont des effets sur la croissance du PIB. Au cours du 20ème siècle, à eu lieu deux crises majeurs, celle de 1929 et 1973. La plus récente est celle de 2008, au cours du 21ème siècle, qui à été une phase de contraction de l'activité économique qui à débouché sur la hausse du chômage, et par conséquent une baisse du niveau de vie. C'est pourquoi nous pourrons nous demander de quelle manières, la

keynésienne dans son contexte historique pour mieux comprendre l’originalité de son analyse. La théorie générale parait en 1936, donc peu de temps après la crise de 1929 qui s’est traduite par une chute brutale de la croissance dans les plupart des pays industrialisés, une hausse du chômage et la déflation (baisse des prix). Jusque là, les économies étaient soumisses à des crises passagères mais jamais d’une telle ampleur et d’une telle durée. Les théories classiques semblaient être vérifiées donc l’économie

« Contre le chômage, on a tout essayé » - François Mitterrand, 1993 1967, Georges Pompidou « Si un jour on atteint les 500 000 chômeurs en France, ça sera la révolution ». 1993 : récession en France, liée à une crise de change. Volonté de maintenir le franc par rapport au Mark, J.C Trichet augmente donc les taux d’intérêt en 1986, ce qui tue la croissance. Donc récession, on atteint les 12-13% de chômage. Le sujet porte sur la période 73 – aujourd’hui. Il s’agit de se replacer dans un contexte :

Concept ou théorie Initiateur ou école Signification A accélérateur (effet d') Aftalion constat selon lequel l'investissement amplifie arithmétiquement les évolutions de la conjoncture économique. Si la croissance d'une année sur l'autre est la même, il faut le même niveau d'investissement pour renouveler et augmenter le capital en quantité suffisante pour assurer la production. En revanche, si le taux de croissance augmente, il faut une augmentation plus que proportionnelle de l'investissement

Politiques économiques On reprend l'idée : Eq OG – DG P + IM =CI + CF + FBCF + VS + E Politique de D = tout ce qui vise à aug cette partie OCDE = club des pays riches Aujourd'hui aux USA, la croissance repart tiré par la croissance intérieure et donc la confiance dans le business. Au Japon, cela repart également, et l'OCDE doit travailler sur les réformes structurelles du marché du travail ainsi que sur l'équilibre fiscal. Nécessité d'une politique d'offre. Europe, les pays du Sud doivent