Les Effets De La Bancarisation

les conséquences financières des aléas de l’existence. En France, le marché de l'assurance IARD est un marché porteur et rentable. Ce secteur d'activité fait l'objet d'une farouche concurrence entre les différents réseaux de distribution. En effet, la distribution des produits d'assurances est en pleine mutation grâce à la montée en puissance de la bancassurance et au développement de la vente directe. La percée de la bancassurance (16% de part de marché en 2005) dans le marché de l'assurance

d’améliorer son performance et créer un système moderne adapté aux besoins de la société comme à ceux des entreprises, en effet, il existe plusieurs acteurs dans le marché financier, parmi eux, on trouve la banque populaire qui est dotée de plus grand réseau bancaire au Maroc, d’une position prestigieuse, elle permet de fournir une grande contribution dans l’augmentation du taux de bancarisation au Maroc (qui est de 20 à 25 %), tous ces éléments expliquent son rôle comme leader dans le marché financier. Durant

pour du court terme. Les banques, quand à elles, privilégient les taux variables qui attirent plus d’investisseurs, ce qui contribuent à leur bonne santé économique. - La bancarisation : Elle permet aux banques d’engranger du PNB. C’est la marge entre le coût du produit, et son prix de revient. La bancarisation se matérialise par la vente de moyens de paiements, ainsi que la création d’un compte courant. Tous les mois, les clients sont soumis à des frais de tenue de compte qui permettent

placement rentable pour l’épargnant dans certains cas. Mais vu le nombre réduit des sociétés qui ont accès à la place boursière de Casablanca, les banques restent dominantes en matière de financement de l’économie Marocaine, en dépit d’un taux de bancarisation peu élevé. Il n'y a pas si longtemps, l'activité bancaire s'exerçait dans un environnement stable, particulièrement protégé, et ce dans le cadre d'un environnement réglementaire hétéroclite, incomplet, voire dépassé. Cependant, ces dernières

réduire la fragmentation du secteur bancaire, mais surtout pour s’adapter à la mondialisation de l’activité bancaire. Le second défi auquel sont confrontées les banques marocaines est la bancarisation de masse de l’économie nationale, notamment des « petits » ménages et en milieu rural. En effet, le taux de bancarisation qui est de 35,2% au Maroc reste faible comparativement aux pays émergents. Un autre défi du secteur bancaire consiste en son implication croissante dans la vie des entreprises marocaines

rapport au marché européen, par contre elle est estimée plutôt faible comparée aux marchés émergents. Aussi, l’Etat demeure l’acteur principal du secteur avec une participation sur trois á la fin 2011 et ce, malgré la libéralisation du secteur. En effet, 2012 a été marquée par le désengagement de l’Etat d’une bonne partie de sa participation détenue à la banque centrale populaire, au profit de la banque populaire régionale. Toutefois, et depuis la dernière grande fusion qu’a eu lieu en 2003, et qui

connaît depuis la deuxième partie des années quatre-vingt-dix une restructuration continue et a vécu quelques opérations de concentration d’envergure dont les effets ont affecté aussi bien son organisation que les conditions d’activité de l’ensemble de ses établissements, quelle que soit la diversité de leurs statuts. Le taux de bancarisation de la population et la densité du réseau d’agences et d’automates figurent parmi les plus élevés en Europe (4e rang dans les 27 pays membres de l’Union européenne

Encadré Par : Mr. WAHABI Rachid LE SECTEUR BANCAIRE AU MAROC : L’installation des premières banques fut encouragée par la réouverture du Maroc au commerce extérieur en1822/1823, intervenant après une période de repli de 65 ans. Le Maroc vécut, en effet retranché sur lui-même entre 1757 et 1822. Les raisons en furent, d’une part les problèmes internes qui affaiblirent le pays (sécheresse de 7ans, épidémie de peste, famine, guerres tribales…) et d’autre part les conflits qui accaparèrent l’Europe (révolution

BANCAIRE (VCP) Pour l’évaluation d’un établissement bancaire, il faut valoriser ses capitaux propres (VCP). L’endettement financier net d’une banque (VD) dépend de son activité d’intermédiation et de transformation : c’est sa matière première. En effet, elle représente les ressources qu’une banque prête à ses clients. Dans le même temps, les fonds propres d’un établissement bancaire doivent respecter les normes de réglementation. L’actualisation de la rente (SVA) en spécifiquement adaptée aux établissements

FREINS AU DEVELOPPEMENT DU MOBILE PAYMENT EN AFRIQUE L’activité Mobile Payment commence à avoir un développement fulgurant dans les pays du Sud et particulièrement en Afrique. Ce développement rapide y est favorisé par le faible taux de bancarisation dans ces pays et à contrario la forte progression du taux de pénétration mobile. Ainsi le mobile apparaît de plus en plus dans ces pays comme une véritable alternative face aux difficultés d’accès au système bancaire classique en raison des nombreuses