Les Effares

mariage. Scène V Dorante s’inquiète des étranges préparatifs qui agitent M. Jourdain. Covielle l’invite à assister à la cérémonie. Acte V Scène I M. Jourdain, habillé à la mode turque, se félicite d’être « mamamouchi » sous le regard effaré de son épouse qui le croit fou. Scènes II-III-IV Dorimène informe Dorante de sa décision : elle consent à l’épouser. Ensemble, ils félicitent M. Jourdain et s’apprêtent à assister au mariage de Lucile et du fils du grand Turc. Le « mamamouchi »

succès, l’efficacité de ce conte est là, dans ce lapsus on on laisse tomber son masque habituel, judicieusement décrit, d’homme qui a toujours vécu pour le regard des autres, pour n’apercevoir plus, dans un miroir, que sa tête d’agonisant solitaire, effaré. Maupassant a repris l’essentiel de notre contre dans Bel-ami. Il a traité de nouveau du suicide dans « l’endormeuse » ou on lit : »c’est la force de ceux qui n’en ont plus ». 9 L’ivrogne Un homme rentre tard chez lui complètement allumé et

........6 2 Didier DAENINCKX, Le Jeu-Mystère ...............................................................................9 3 Collin HIGGINS, Jean-Claude CARRIÈRE, Harold et Maude........................................13 4 Arthur RIMBAUD, Les effarés .........................................................................................18 5 LE MONDE, La fracture sociale........................................................................................22 6 Albert CAMUS, Le Premier Homme

dit : -Oui, mais était riche. -Ah bon, pourquoi vous dites ça ? Quelqu’un l’a détrôné ? L’homme fit semblant de réfléchir puis me répondit : -Non, il est mort, assassiné, par un homme qui lui ressemblait et comme il nous ressemble. Je le regardai effaré par la nouvelle, mais je finis quand même par prendre la parole : -Mais c’est horrible, et vous, vous osez porter ce costume, vous n’avez pas peur qu’il vous arrive quelque chose ? L’homme eut un rire muet et me regarda avec étonnement puis répondit :

ou bien " Je connaissais Manon ; je n'avais déjà que trop éprouvé que, quelque fidèle et quelque attachée qu'elle me fût dans la bonne fortune, il ne fallait pas compter sur elle dans la misère.» Pour cela, Des Grieux n'hésitera pas, devant Tiberge effaré, à comparer sa passion à une véritable ascèse.

– le temps du reve- on voit apparaître le temps du reve en plein surnaturel accepté .le reve est facile a admettre pour le lecteur. O c est un personnage qui se laisse très facilement suggestioné . Un personnage très ouvert! On peux évoquer l'oeil effaré d'O. Le theatre occupe une place importante. L'esclave l' emmene au théatre voir une comédie. Au début il est spectateur après il est habille et il devient participant. Puis le père qui apparaît comme un facheau; une scène grotesque de voir le père

étage » Il monta les escaliers et entra dans l'appartement des Llinva. La vielle mère faisait la cuisine ; le père était sur le canapé. Tous les deux levèrent la tête, et le jeune homme dit : « Bonjour, papa ; bonjour, maman. » Ils se dressèrent effarés. La mère Llinva balbutia : « C'est-i té, mon béso ? »

est entouré de blanc et est bien calme à l’article de la mort. L’aura autour de lui est étonnamment très calme comparé a tous le désordre qui se déroule autour de lui. La résignation est représentée par les personnages autour de Jésus qui semble effaré par sa perte et voie ce que les hommes ont fait. Ils ont tué leur sauveur et continuent à faire le chaos. Ils se résignent à la perte de leur idole et ont la continuation du mal sur terre. Jésus, quant à lui, semble accepter ce fait. Il a le visage

..........................................32 Première soirée..................................................................................33 Les réparties de Nina.........................................................................35 Les effarés ..........................................................................................39 Roman ................................................................................................41 Le mal..........................................

pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin » « Le Bateau ivre » Réservoirs de sensations vives, les enfants représentent aussi la liberté de rêver : « cinq petits affamés, assis dans la neige, regardent les pains du boulanger » « Les Effarés » L'enfant déjà révolté, autoportrait de Rimbaud, s'échappe dans le rêve : « Tout le jour, il suait d'obéissance […] À sept ans, il faisait des romans, sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie » « Les Poètes de sept ans » 2. La