Les Différentes Péripéties Dans Andromaque

Les genres théâtraux Tâche-problème finale Au terme de la séquence de leçons, les élèves seront capables : ▪ de définir les différents genres théâtraux, c’est-à-dire la tragédie, la comédie, la tragi-comédie et le drame ; ▪ d’opposer ou de rapprocher les différents genres ; ▪ d’identifier, dans un extrait de texte ou dans un texte complet, les caractéristiques propres à chaque genre ; ▪ de caractériser un extrait inconnu ou une pièce inconnue à partir des caractéristiques des

et la comédie au XVIIe siècle : le classicisme Présentation de la séquence Présentation des objectifs Avant de commencer… quelques repères historiques Chapitre 1 Aspects de la comédie au XVIIe siècle A. Sources de la comédie classique B. Les différents genres de comédies C. Les personnages de comédie D. Les ressorts de la comédie Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices Chapitre 2 Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 :

(LA BRUYÈRES: Caractères). LES PREMIÈRES DÉCENNIES DU SIÈCLE: LE BAROQUE Personne n'a utilisé le mot de baroque au 17ème, de même que classique. Ce terme est apparu il y a 50 ans en histoire de l'art et en histoire littéraire pour expliquer différents phénomènes. '' baroque'' vient de baroco (portugais); c'est un terme employé en joaillerie pour désigner des perles irrégulières. Le terme est introduit en France au début du 18ème siècle dans le sens de ''bizarre'', irrégulier; c'était péjoratif

Pangloss : « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. » En effet, il s’agit autant de la thèse philosophique que Voltaire entreprend de mettre à mal que du prétexte à une critique sociale. La phrase de Pangloss, reprise par Candide de différentes manières au cours du conte, incarne en réalité la thèse que Rousseau (écrivain et philosophe français, 1712-1778) défend dans sa Lettre à Voltaire sur la Providence (1756). Si on devait la résumer en quelques mots, on pourrait dire que Rousseau

homme. » (p. 241) LePetitLittéraire.fr – Fiche de lecture – La Duchesse de Langeais  6 CLÉS DE LECTURE LA STRUCTURE DU ROMAN Dans La Duchesse de Langeais, Balzac refuse la structure romanesque traditionnelle qui présente la succession des péripéties selon une chronologie linéaire. Au contraire, l’auteur rompt ici la chronologie du roman : •  le chapitre 1 introduit le récit par une prolepse, c’est-à-dire qu’il anticipe la narration en commençant par la fin de l'histoire, à savoir les retrouvailles

présenter certains éléments du récit. Un incipit peut prendre diverses formes et il n’y pas de règles immuables. - l’élément perturbateur, ou déclencheur. Cet élément vient modifier la situation initiale et lance le récit. - le déroulement, ou péripéties. Il s’agit de toutes les actions qui suivent l’élément perturbateur. Les actions atteignent souvent une apogée avant d’atteindre leur résolution. - l’élément de résolution. C’est la clé du récit, qui met fin aux actions. - la situation finale

du trône…) Une quatrième unité est également mise en avant : « l’unité de ton » liée à la séparation des genres (tragédie et comédie) avec des sujets propres, des types de personnages spécifiques, des niveaux de langue et de ton dans un objectif différent : divertir et donner une leçon avec la comédie, et purger les passions (catharsis) par l’émotion (terreur et pitié) avec la tragédie. François Hédelin, abbé d'Aubignac, publie en 1657 un ouvrage de référence, La Pratique du Théâtre. L’opposition

sombre tragédie qu’est ‘’Britannicus’’ est aux antipodes de la précédente, ‘’Andromaque’’, de sa galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’ et ‘’Andromaque’’ avaient séduit la cour, les gens du monde et les femmes, il fallait maintenant

sombre tragédie qu’est ‘’Britannicus’’ est aux antipodes de la précédente, ‘’Andromaque’’, de sa galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’ et ‘’Andromaque’’ avaient séduit la cour, les gens du monde et les femmes, il fallait maintenant

sur le personnage noble et déterminé, seul face à son devoir. Les pièces d’Euripide (v. 480-v. 406 av. J.-C.) s’ouvrent à l’audace - l’héroïsme et le divin sont mis en question - et au mélange des genres. Moins dramatiques que pathétiques, Hélène, Andromaque ou Les Troyennes apparaissent comme de sombres visions des événements récents. On connaît surtout 1 Banu, Georges (sous la dir. de), « Tragédie grecque : Défi de la scène contemporaine », Études théâtrales n° 21, juillet 2001. 3 Vernant, Jean-Pierre