Les Courants Liberal Keynes

scientifiques comme les méthodes statistiques, mais l’usage d’instruments scientifiques ne suffit pas à faire d’elle une science. D’ailleurs en France jusqu’à 1970-80 on employait plus souvent le terme d’ « économie politique » ; terme qui reste d’usage courant y compris aux USA « political economy » Il n’y a donc pas de définition universellement acceptée de l’économie politique ou de la science économique. Cela s’explique parce que l’étude des phénomènes sociaux a été poursuivie par des chercheurs

le reflet d'une métamorphose plus profonde, radicale d'une société ? Sur le plan théorique les auteurs diffèrent par leur approche tant sur les origines de la croissance que sur la nature et la durabilité d'une crise. Depuis la fin 2GM il est courant de distinguer trois périodes les Trente Glorieuses, les Trente Piteuses et les Trente Frileuses. -Trente Glorieuses (45-73) : Période ou l'O < D en raison des besoins de reconstruction et de la satisfaction des besoins primaires qui se manifestent

fondamentale entre les facteurs terre et travail, d’une part, et le facteur capital, d’autre part : le capital s’accumule, grâce a l’investissement d’une fraction des ressources de l’économie, alors que les quantités de terre et de travail (au sens courant) sont limitées l’une par la nature, l’autre par la démographie. La quantité de travail dépend des ressources que la société désire allouer à l’investissement. La science économique contemporaine, toute fois, considère que le travail doit être appréhendé

—Cf dans la collection La découvert, repère, « La monnaie et ses mécanismes », 10€ de D. Plihon. —Pour une approche historique, « l’irrésistible ascension de l’argent », de Niall Ferguson (ultralibéral, thèse radicale, on retrouve cette conclusion libérale que la monnaie ne sert à rien), passionnant. Comment l’argent est au coeur de nos sociétés et comment l’argent s’est transformé au cours du temps. On lie l’inflation à la monnaie, pas uniquement un phénomène monétaire. John Stuart Mill écrit en 1848

l’ensemble des courants de pensée qui se sont exprimés à ce sujet. Puis, dans un second temps, l’étude des faits nous permettra de mesurer la pertinence de ces théories, afin de bien comprendre les mécanismes réels du chômage. I. L'analyse théorique. L'analyse théorique des causes du chômage est centrée autour de deux courants, opposés sur la forme. Il s'agit des libéraux et des keynésiens. A. L'opposition de forme entre analyse libérale et keynésienne du chômage. 1. L'analyse libérale. Elle

libéralisme, est mort le 16 novembre 2006 à l'âge de 94 ans. Ses idées ultra libérales ont fait l'objet de nombreuses polémiques. | * Milton Friedman est né à New York en 1912 d'une famille ouvrière d'immigrants juifs. Après des études de mathématiques puis d'économie, il devient en 1946, l'année de la mort de Keynes, professeur à l'université de Chicago. Il fonde l'école de Chicago, un mouvement d'économistes très libéraux, qui inspira la doctrine économique de plusieurs dictateurs d'Amérique

pour peser sur l’économie nationale) I. les courants de la pensée économique A. Le concept libéral Cette conception d’éco est basée sur l’offre : Libéralisme (liberté d’entreprendre, et d’échanger) Capitalisme (propriété privée des moyens de production et un système éco régulé par les mécanismes de marché) Etat-gendarme (aucune intervention de l’état dans l’éco il doit être présent pour la justice, sécurité, santé… (fonctions régaliennes)). B Le courant marxiste La condition ouvrière se détériore

que la consommation a également pu constituer un outil essentiel dans la relance de l'économie. Keynes, dans son ouvrage La Théorie générale paru en 1936, expose, en se basant sur une analyse théorique du marché, le pouvoir de la consommation pour la relance. En effet, en infirmant la théorie néoclassique dominante à l'époque selon laquelle l'équilibre du marché est nécessairement de plein emploi, Keynes démontre la nécessité de stimuler la demande pour assurer la relance d'une économie: si la demande

des êtres vivants en société. Le besoin est un manque, accompagnée du désir ou de la nécessité de le faire disparaître. Les biens et services permettent de satisfaire ces besoins. Principaux courants de pensée économique Libérale classique : Laisser faire. Tout dois circuler librement Libérale néoclassique : Les prix assurent l’équilibre sur tous les marchés. L’Etat doit juste garantir la libre concurrence Pensée marxiste : elle est marquée par la lutte des classes. Capitalistes = exploiteurs

processus évolutive de l´économie moderne. Réfléchissant sur le mercantilisme, la physiocratie, le classicisme et le marxisme, ayant marqué le monde du 16e et 18e siècles, ainsi que sur les tendances économiques contemporaines, en passant par les courants , néo-classiques et néolibéraux du 19e et 20e siècle, le présent travail se veut être une ébauche rétrospective sur les 500 ans d´histoire de la pensée économique dont les différentes approches tant empiriques que théoriques portées sur les