Les Courants Liberal Keynes

productivité donc la baisse du coût de Y à la base des grandes phases de croissance. Ex : Pdn les Petites 30G (1850 à 1870)avec l'activité férovière. Quand l'on parle des chocs d'offre et de leur rôles, on a plus le raisonnement d'un économiste libéral, ils vont considérer les fluctuations économiques comme qqch de normales dans le système économique. Ils insistent bcq sur les caractère exogène des chocs d'offre (cad qu'ils sont indépendant du système économique). Ex : Cyclone Katrina en Nouvelle

au sujet du déficit courant, le degré de réussite du code d’incitation aux investissements, la possibilité de l’équilibre budgétaire de l’Etat dans le contexte d’une poursuite de la politique libérale 7-Novembriste… Quelques mesures sont suggérées, parmi lesquelles : * Limiter les importations de marchandises futiles pour avoir une balance excédentaire et pour payer la dette. * Assujettir la convertibilité courante du Dinar à la condition d’avoir une balance courante positive. * Réformer

THEORIE ECONOMIQUE THEORIES LIBERAUX + NEO CLASSIQUES : demande rencontre offre de façon équilibrée => concurrence pure et parfaite ECONOMIE DE MARCHE : repose sur marché biens et services + marché du travail + marché financier THEORIE LIBERALE CLASSIQUE : chaque individu effectue choix rationnels et cherche son intérêt personnel. La loi des marchés harmonise intérêts particuliers et intérêt général THEORIE KEYNESIENNE : Marché n’est pas toujours équilibré. La Demande détermine la Production

avons la théorie macroéconomique qui apporte des conclusions inconciliables, il n'y a aucune passerelle entre les deux. 1. Première Partie : La pensée classique : origine et développement Chapitre 1 : Les précurseurs Section 1 : Les courants mercantilistes * Un ensemble d'auteurs qui racontent en gros la même chose : John Hales (1549),Antoine Monchrétien (1616),Thomas Mun, William Petty, Josiah Child, Colbert, … * conseillers du Prince, des gens dans l'action politique et

Formé par son père, James Mill, il adopta aussi les principes de la philosophie utilitariste de Bentham qu’il interpréta avec une largeur de vue nouvelle. Bien qu’individualiste et libéral, il prôna l’intervention de l’État en faveur de la classe déshéritée, proposa une modification du droit de propriété et la formation de coopératives de production. Il fut un partisan de la libération politique de la femme. Les thèmes directeurs : 1°) La politique économique. Son problème : arriver au meilleur

proportionnel au revenu. Vauban (17e s 1633-1707) : C’est un des 1ers statisticiens. Elabore un projet de dîme royale : il faudrait prélever 10% des revenus de l’ensemble des français. b) Les physiocrates (18e s) Grecs « phusis » = nature. Courant de pensée porté par un des médecins de Louis XV, le docteur Quesnay (1694-1774). Il estime que les mercantilistes se trompent, que l’or et l’argent ne sont pas des sources de richesses mais la Terre qui est « mère de tous les biens » (Mirabeau)

crise est devenue la crise des finances publiques. Parmi les fonctions de l’état (allocation, distribution, régulation) : la fonction de régulation de l’activité économique : il y a ceux qui pensent que l’état ne doit pas participer à ceci (approche libérale : la crise est utile, l’état assure ses fonctions régaliennes), et d’autre part, une approche keynésienne : la crise économique a les conséquences sociales très négatives, donc, l’état doit intervenir à travers la politique budgétaire. Ne pas confondre

flexibiliser le travail pourra s’avérer bénéfique pour l’emploi ? Si la flexibilité du travail semble au premier abord favoriser la réduction du chômage (I), il semble également qu’elle ait des effets pervers (II). Partie 1 D’après l’analyse libérale classique, la flexibilité du travail est facteur d’emploi. Cette première partie sera consacrée à l’étude de cette théorie. Après l’avoir présentée (A), nous verrons qu’il existe différentes formes de flexibilité du travail (B). Puis, nous intéresserons

d’instabilité, ce que Keynes avait prévu dès 1941 et qu’il avait tenté justement de prévenir par l’idée d’une unité monétaire commune internationale. Ce phénomène d’instabilité a été amplifié par la mutation des institutions qui avaient été mises en place à l’époque, le FMI et la Banque Mondiale. À partir de la « crise de la dette » de 1982, elles se transformèrent en instruments d’une libéralisation financière et économique toujours plus poussée au service d’une idéologie néo-libérale dont le « Consensus

droite, souvent divisés en plusieurs partis chacun. Evidemment en désaccord sur le rôle de l’Etat, ces deux courants de pensées, hérités des années post-révolutionnaires, ne sauraient se résumer à « plus d’Etat » d’un côté et « moins d’Etat » de l’autre. Dès lors, il convient tout d’abord de présenter d’analyser le premier mode de pensée, hérité de Keynes (A), avant de s’attarder sur le modèle libéral (B). A – « Plus d’Etat » : l’Etat providence et les relances keynésiennes La base de la pensée keynésienne