Les Courants Liberal Keynes

qui manifeste son opposition à la démarche dichotomique. Keynes raisonne en termes d’économie monétaire, il intègre la monnaie dès le départ dans l’analyse du processus économique, car d’après lui les variables monétaires influencent les variables réelles de l’économie. De ce fait, la monnaie est en mesure d’influencer la production et l’emploi. L’approche keynésienne sera elle aussi l’objet de contestations, notamment par le courant libéral qui avec les monétaristes considère que la monnaie peut

dessus de l'individu (Dieu, la « loi morale » chez Kant). On va retrouver cela dans le système libéral avec une liberté surveillée, sous contrainte (Cf. exposé œuvre de Dominique Meda). Au niveau idéologique, il existerait un ordre avec un jeu spontané de forces. On va dénoncer les entraves à l'émergence d'un ordre authentique. C'est une idée retrouvée chez les classiques et chez certains néo-libéraux contemporains. L'idée platonicienne est que l'homme est coupable de dégrader l'ordre spontané. L'opposition

C – L’EQUILIBRE MACROECONOMIQUE KEYNESIEN 1. Les « économistes classiques » libéraux (Adam Smith, David Ricardo, Jean-Baptiste Say…) partent de la production (l’offre) pour analyser le circuit macroéconomique. En 1803, Jean-Baptiste Say élabore sa « Théorie de l'offre » selon laquelle « l'offre crée sa propre demande » ou encore « les produits s'échangent contre des produits ». Autrement dit, la production engendre un montant de revenus égal à la valeur de la production et les revenus engendrent

JOHN MAYNARD KEYNES ? A. SA VIE B. SON ŒUVRE II. LES POSTULATS DE KEYNES A. LA ‘‘THEORIE GENERALE’’ DE KEYNES B. L’ECOLE KEYNESIENNE III. LES OPPOSITIONS AU KEYNESIANISME A. LES THEORIES MARXISTES B. FRIEDMAN VERSUS KEYNES CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION L’histoire de la pensée économique permet de mettre en évidence trois principaux courants : le courant libéral, le courant marxiste et le courant keynésien

niveaux intermédiaires) 3 Grands courants de la pensée économique : L’histoire de la pensée économique retracée Il n’y a pas de théorie unique mais des théories. Plusieurs définitions possibles de la science économique. En fonction des théories, on va privilégier tel ou tel aspect du domaine d’étude. Par exemple, en microéconomie, on s’intéresse à l’offre et à la demande du marché par rapport à la théorie classique. Marx  Conséquence de la théorie capitaliste Keynes  Intervention par l’Etat

Il existe donc une interaction entre consommation et épargne. Nous allons dans un premier temps montrer en quoi la consommation et l’épargne ont un rôle dans l’équilibre offre/demande et dans un deuxième temps comment ces termes sont perçus selon keynes et le classique. 1/ La consommation est nécessaire aux débouchées des entreprises et les incite à investir, en cet équilibre, la demande est égale à la consommation plus l’investissement, donc toute variation de la consommation entraine une variation

développer aussi les premiers principes de la théorie monétaire. Jean Bodin explique l'accroissement des prix au 16eme siècle par l'afflux d'or et d'argent en provenance d'Amérique. A la fin du 18eme siècle il apparaît chez les Physiocrates (c'est un courant de la pensée qui est à l'origine de la conception moderne de l'économie). Adam Smith, Maltus, Ricardo, Jean Baptist Say... ont fondé ce qu'on appel l'économie politique classique. Défenseurs du libéralisme économique, ils ont cependant une vision

POLITIQUES ECONOMIQUES PARTIE 1 : TRANSFORMATIONS ECONOMIQUES ET SOCIALES : CONCEPTS FONDAMENTAUX SUR LE FONCTIONNEMENT D’UNE ECONOMIE ET APPORTS THEORIQUES DES DIFFERENTS COURANTS CHAPITRE I : CONCEPTS FONDAMENTAUX SUR LE FONCTIONNEMENT D’UNE ECONOMIE A. Introduction Pour produire des biens ayant une valeur et les répartir on utilise des ressources rares. On évolue dans un monde de rareté rempli de biens économiques. Rareté : état où les biens sont en quantité limitée. Il faut qu’une

internaliser et donc qu’une force extérieure, " détachée des contingences matérielles " comme disait Keynes, intervienne, à savoir l’État. À ce sujet, les opinions divergent et s’opposent même radicalement à travers l’histoire du XXe siècle notamment. Ainsi, en 1929, après le krach boursier du " jeudi noir ", l’État jouera un rôle indispensable dans l’économie. En effet, en 1936, John Maynard KEYNES dans sa " Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie " lui confère un rôle central

dette publique. Il y a donc des avis divergents. Est-ce qu’il convient d’entreprendre une politique de relance ou alors faut il réduire la dette extérieure ? Le débat est le même entre keynésiens et libéraux. KEYNES est favorable à la relance de l’économie par l’intervention de l’Etat tandis que les libéraux prônent la dés intervention de l’Etat . Il faut selon ces derniers laisser au marché le soin d’établir les équilibres et l’Etat exerce seulement les fonctions régaliennes. Le cadre spatio-temporel