Les Conseil De Vautrin Commentaire

Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui

Attention à la paraphrase (redire ce que dit déjà le texte) et au commentaire trop narratif, descriptif : il faut analyser la manière de faire de l'écrivain Les documents sont si variés qu'il est conseillé de procéder document par document. Cependant, tout souci de réaliser une synthèse pertinente (qui regroupe les documents) a été valorisé (résumé synthétique indispensable dans une brève conclusion) Des erreurs : Vautrin n'est pas Vauquer ! • Les éléments de réponse : deux remarques préalables

père et ambition exacerbée de Rastignac, s’y trouvent liés l’un a l’autre et traités avec le maximum d’intensité. Un double itinéraire s’achève, celui d’une vie de dévouement man récompensée pour le père, et celui d’une éducation pour Eugène. Le commentaire envisagera successivement les deux parties du texte, l’une consacrée au disparu et l’autre à Rastignac. I/ Goriot : les funérailles d’un pauvre Ces funérailles se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte

Eugène a été au bal de Mme de B (faubourg saint germain, aristocratie) où il découvre la haute société Parisienne. Il rencontre Anastasie de Restaud (chaussé d'Antin, richesse) Lorsqu'il rentre la nuit il voit le PG tordre son service de vermeil, Vautrin qui rentre la nuit. Il sait que c'est Goriot qui a payé les dettes de Mme de Restaud et voit Paris comme un « bourbier ». Le lendemain, il va chez Restaud où il est très mal reçu et gène l'amant Maxime. Il se fait exclure car il dit qu'il vit avec

description amène l’auteur à évoquer « les secrètes infortunes » de son personnage éponyme et à tisser un dialogue avec le lecteur pour finalement l’éclairer sur son projet. III) Dialogue entre le lecteur et l’auteur : Le narrateur se manifeste dans les commentaires qu’il apporte : « En quelque discrédit (…) le doute est permis ».Le narrateur s’adresse au lecteur à la fin du texte. On relève la reprise du pronom de la 2e personne « vous ». Le lecteur est désigné par l’expression « main blanche » = main innocente

père et ambition exacerbée de Rastignac, s’y trouvent liés l’un a l’autre et traités avec le maximum d’intensité. Un double itinéraire s’achève, celui d’une vie de dévouement man récompensée pour le père, et celui d’une éducation pour Eugène. Le commentaire envisagera successivement les deux parties du texte, l’une consacrée au disparu et l’autre à rastignac. * Plan : I. Goriot, les funérailles d’un pauvre 1. L’abandon du père 2. La hâte d’en finir 3. La contrainte de l’argent

les interventions du clergé sont chronométrées. Le temps c’est de l’argent ! C’est une cérémonie bâclée, fait au pas de course. C’est accentué par la brièveté des phrases de Balzac. Les faits sont énoncés brièvement dans leur nudité sans aucun commentaire. On assiste là à un enterrement d’une banalité infligente. On va même jusqu’à cacher la descente du corps de Goriot. * Les funérailles sont liées à l’argent : L’argent est un thème dominant et omniprésent dans cet excipit. On est bien ici dans

côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit

heures, le Père Goriot… ». Enfin, tous disparaissent « aussitôt que fut dite la courte prière… ».Cette impression de funérailles au pas de course est accentuée par la notation dépouillée des faits, qui sont dits brièvement, dans leur nudité, sans commentaire. Toute une série de verbes au passé simple établit la succession nue et banale des évènements : « Les deux prêtres… vinrent et donnèrent,… les gens du clergé chantèrent,… deux voitures armoriées mais vides se présentèrent et suivirent… le corps

heures, le Père Goriot… ». Enfin, tous disparaissent « aussitôt que fut dite la courte prière… ».Cette impression de funérailles au pas de course est accentuée par la notation dépouillée des faits, qui sont dits brièvement, dans leur nudité, sans commentaire. Toute une série de verbes au passé simple établit la succession nue et banale des évènements : « Les deux prêtres… vinrent et donnèrent,… les gens du clergé chantèrent,… deux voitures armoriées mais vides se présentèrent et suivirent… le corps