Les Comédiens sans le savoir

une réflexion sur le métier d’acteur. On trouve par ailleurs une réflexion sur la représentation théâtrale. Premièrement, on peut rapprocher ces trois textes de par leur réflexion sur le métier d’acteur. En effet, on trouve un éloge du métier de comédien dans l’Illusion Comique, il est désigné par les groupes nominaux « ce noble métier », et « ce haut rang d’honneur » qui prouvent qu’il s’agit d’un métier valorisant et peu ordinaire. Il est également décrit comme divers : « L’un tue, et l’autre meurt

règles d’unité de temps, de lieu et d’action. Le premier assistant réalisateur a en charge les repérages des décors principaux, il doit comprendre les intentions artistiques du réalisateur et axer ses recherches dans la bonne direction. Il doit savoir présenter ses repérages, proposer plusieurs possibilités, argumenter et convaincre le réalisateur de se déplacer sur les lieux proposés si le décor en question entre dans le cadre budgétaire du film. Par la suite, il délèguera la poursuite des repérages

Le 18 décembre 1637, il prête le serment de tapissier royal, reprenant ainsi la charge de son père auprès de Louis XIII. On ne sait si Molière exerce ou non son nouveau métier, toujours est-il qu'en 1640 il fait la connaissance d'une famille de comédiens, les Béjart, et il tombe amoureux de Madeleine, protégée du duc de Modène. La même année, il rencontre Tiberio Fiorelli, le célèbre Scaramouche, et prend peut-être des leçons auprès de lui. Sur ses études et sa formation littéraire, Molière n’a

fondation, le Watermill Center, près de New-York, qui accueille des artistes en résidence. De plus, ses dessins, sculptures et installations sont régulièrement montrés dans des musées tels que le Centre Georges Pompidou ou le musée Guggenheim. Il faut savoir que Rober Wilson déteste le théâtre à la base en tout cas ce qu’il a vu du théâtre quand il était jeune, d’ailleurs à l’époque au Texas le théâtre n’était pas très généralisé et peu populaire voir même pêché et immorale. Le théâtre ne l’intéressé

des yeux, voit cette dentelle sortir du sein de la reine. Ruy Blas, éperdu (…) regardant le morceau de dentelle. C'était bien sur son cœur ! » Les objets sont donc essentiels, indices ou preuves de l’amour. Enfin on notera l’importance du jeu des comédiens qui par leurs échanges de regards et leurs silences permettront d’intensifier l’émotion. La rencontre des regards est un moment conventionnel des histoires d’amour. L’originalité de notre scène vient du fait qu’il ne s’agit pas d’un coup de foudre

moi imaginaire du personnage fictif au moi du spectateur en passant par le moi du comédien, telle est l’image que se ferait volontiers le spectateur de théâtre. L’illusion est de croire que le person- nage de théâtre est une âme individuelle, à laquelle le comédien s’identifie – identification qui prélude à celle du spectateur. Contrairement à ce qu’on imagine, la prudence de Stanislavski mettait déjà le comédien en garde contre ce type d’adhérence fallacieuse. Brecht dénonce cette illusion dans

| |Les soldats amènent quatre autres otages. Deux sont présentés : une mère dont les jeunes enfants sont restés seuls à la maison, un comédien| |espagnol, qui a joué dans une tragédie devant Izquierdo. | |

la flamme qu'elle avait en elle. Sans cela, Anna serait restée dans son dépérissement. Toute fois, certaines personnes même si elles sont heureuses aiment se rendre au théâtre afin de vivre une histoire qui n'est pas la leur en s'identifiant aux comédiens de la pièce. Certains éléments tels que l'âge, le prénom, la situation des personnages peuvent faciliter cette identification. J'ai moi même vécu cette expérience lors d'une représentation de l'éveil du printemps mise en scène par Guillaume Vincent

non-présents lors de la représentation sont : • Un spectateur, un garde, Bertrandou le Fifre, le capucin, deux musiciens, les pages, Sœur Marthe, Lise, La distributrice des douces liqueurs, Mère Marguerite de Jésus, la duègne, Sœur Claire, une comédienne, la soubrette, la bouquetière, un espagnol, une dame, une précieuse, une sœur et foule constituée de tous ces types de personnages. L’action : Cyrano de Bergerac est un turbulent mousquetaire de la compagnie des Cadets de Gascogne. Il est

de Pierre Beauchamp, les décors de Carlo Vigarani et les costumes turcs du chevalier d'Arvieux. Cette pièce incarne le genre de la comédie-ballet à la perfection et reste même l'un des seuls chefs-d'œuvre du genre en regroupant les meilleurs comédiens et musiciens du temps. Elle répondait au goût de l'époque pour ce qui était nommé les turqueries, l'Empire ottoman étant alors un sujet de préoccupation universel dans les esprits, et que l'on cherchait à apprivoiser. L'origine de l'œuvre est