Les Choses

nous poser jusqu’au quel point, il mérite la peine ce que nos fassions. Notre vie est : un absurde complet, et est absurde absurde parce qu’elle est fugace, et dedans cette fugacité de chaque moment, il s’enferme un complet sens. Nous profitons les choses par un instant très concrets, et nous la rappelons beaucoup de fois comme nous voulons ou nous pouvons, mais à la fin, tout ce qui ne soit propre de cette existence, la propre réalité d’être, est un absurde sans sens qui ne nous apporte pas absolument

bon ou mauvais, me feront toujours pleurer et que les mots ne seront jamais aussi fort que les sentiments que l'on éprouve ... L'amour n'est pas l'amour s'il fane lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne, quand la vie devient dure, quand les choses changent, le vrai amour reste inchangé.

Gorgias, Socrate explique ceci en montrant qu’essayer de satisfaire tous ses désirs est comme vouloir remplir incessamment des tonneaux percés. La recherche du bonheur est donc perpétuelle et n’a pas de fin. C’est ce que Georges Perec affirme dans les choses ou il raconte la vie d’un jeune couple cherchant le bonheur. C’est leur désir d’avoir une vie faite de luxe et d’argent qui les plonge dans un certain marasme. C’est ainsi qu’il affirme que « L’horizon de leurs désirs était impitoyablement bouché :

plaisirs de la nature et de la campagne contre les tracas de la vie d'écrivain. Un bonheur qu'il idéalise et qu'il souhaite fixer par l'écriture. Dans quoi réside le bonheur selon Rousseau ? Dans un premier temps, nous verrons qu'il réside dans les choses simples, nous verrons ensuite que celui-ci réside dans le passé, pour finir, nous affirmerons que l'écriture est un moyen de faire demeurer les instants heureux. Premièrement, nous remarquons que le bonheur est un état privilégié pour l'auteur

même dans les conditions les plus modestes. Sans attendre demain, on peut être heureux aujourd’hui malgré les difficultés grâce à l’estime de soi et aux principes moraux élevés.       Avec des sens bien entraînés, on apprend à jouir de toutes les choses de la vie même de la haine quand elle est saine. C’est que le bonheur affermit la personne, la perfectionne et la libère. En acquérant cette aptitude au bonheur, on parvient à le générer même au sein du malheur, grâce à l’activité positive de l’âme

QUESTIONS 1) L’ensemble des textes critique la supériorité de l’homme sur l’autre et révèle son désir de pouvoir sur les choses ou les personnes qui l’entourent. Cette critique se révèle être que le plus fort exploite toujours le plus faible, mais que la force d’un homme par rapport à quelqu’un ou quelque chose d’autre est tout à fait relative. 2) Dans le texte A, Cyrano de Bergerac met en face à face un animal et un chasseur. Il démontre que l’homme se permet de blesser cet oiseau puisqu’il

vous étiez d’une maladie incurable et que vos jours étaient comptés… comment agiriez-vous ? Si maintenant, pleins de vie et déjà s’enfermant à la vie, alors à quoi bon vivre ? Ce monde est fait de joie et de peines. Il faut juste accepter les choses et les vivre tel qu’elles viennent. Ainsi, cette énigme qui est « la vie » n’aura plus aucun secret…

s'est accompli quelque chose de beau, de grand ou de remarquable à tout autre égard, tout cela est ici par écrit, depuis l'antiquité, dans les temples, et la mémoire en a été sauvée. Mais, chez vous et chez les autres peuples, à chaque fois que les choses se trouvent un peu organisées en ce qui touche l'écriture et tout le reste de ce qui est nécessaire aux États, voici que de nouveau, à des intervalles réglés, comme une maladie, les flots du ciel retombent sur vous et ne laissent survivre d'entre

est-ce que c'est toi ? Jess, je suis presque sur que c'est toi et je suis presque sur que tu ne diras rien mais qu'enfaite tu as envie de dire quelque chose. Allo ? Bon, tu as l'intention de te taire, bien ! Je parlerais. Tu n'as pas bien su gérer les choses, tu aurais pu venir me trouver, tu aurais pu me dire que tu avais des problèmes à l'école et que tu serais recalé, et que ton père était présent mais... tu n'as rien dit et tu ne m'as même pas emmené au bal... et tu n'es pas venu à ma remise de diplôme

terriblement faible, impuissante, anéantie même. Je suis une femme forte, qui a toujours tout contrôlé avec facilité. Tout, sauf toi ! Avant, c’était si facile. Ta grand- maman me disait que tout allait bien se passer, que le temps arrangerait les choses et que je devais être patiente de ta venue. Malheureusement, le temps n’arrange pas tout et maman a beaucoup de difficultés à accepter cette réalité. Je suis terrorisé face à la naïveté que j’ai lorsque j’écoute ta grand-maman me bercer par son réconfort