Les Choses

Ces informations très péjoratives qu‘elle nous donne sur sa vie nous laisse à penser qu’elle n’est pas heureuse en tant que concierge solitaire. Cette solitude est souligné par le fait que la simple apparition « du dieu DVD, changea radicalement les choses dans le sens de sa félicité ». Chez Perec cette tristesse est mis en avant par le fait que son personnage « traîne dans les rues, la nuit, le jour » : cette action nous laisse à penser que cet homme mène une vie ennuyeuse. Il subit cette vie sans

autre ne sont plus rythmés pareils. Dans les documents, il y en a un qui date des années soixante face à trois autres textes récents des années 2000. Il a été publié en 1965 et écrit par l'écrivain Georges Perec. C'est un roman qui s'intitule Les Choses et il raconte la vie d'un couple dans les années soixante. Le second est écrit en 2006 par un sociologue qui s'appelle François Cusset. C'est un essai qui explique l'évolution des stratégies pour inclure les jeunes dans l'environnement économique

pas. Mais somme nous certains de désirer les « bonnes » choses ? Ou somme nous confronté a des désirs que nous « croyons » bons par faute de « connaissance » ? . Pour traiter le sujet , nous fonderons notre analyse sur le faite que l’homme désir les choses bonnes pour lui même c’est-à-dire qui sont « nécessaire au bonheur » ou « nécessaire a sa survie » , ensuite suite nous démontrerons que parfois l’homme arrive a désirs ne désirs des choses pas bonnes parce que nous ne procédons a aucune estimation

« Les mots, dans leur signification première ou immédiate, ne tiennent lieu de rien d’autre que des idées dans l’esprit de celui qui s’en sert, quels que soient l’imperfection et le manque de soin avec lesquels ces idées sont tirées des choses qu’elles sont supposées représenter. Quand un homme parle à un autre, c’est pour être compris, et la finalité de son discours est que ces sons, en tant que marques, fassent connaître ses idées à son auditeur. Ainsi, ce dont les mots sont les marques, ce sont

mais ne savait pas juger les choses de lui-même. C’était pour cela qu’elle lui en voulait. Tout le monde savait à présent. Ça lui apprendra. Ça lui apprendra à faire trop vite confiance aux gens. Il n’avait pas le droit, il devait apprendre à faire la part des choses ! Elle n’était pas sa petite amie, même pas sa meilleure amie, alors il ne pouvait pas raconter sa vie à tout le monde. Il n’aimerait pas qu’elle raconte la sienne alors pourquoi faisait-il ce genre de choses ? Il était loin d’être bête

bonheur est dans le plaisir des gestes, des mouvements Importance des verbes de gestes ==> bonheur de retrouver les mouvements. B/Le bonheur est dans les choses simples Commenter vers 11-12 et vers 17-18 ==> évadé nous réapprend que le bonheur est dans les choses simples. Il faut savoir savourer. C/Pour apprécier ces choses simples, il faut les vivre à fond. Evadé profite de chaque moment, il vit à fond parce qu'il sait qu'il va mourir. Leçon du poème ==> on devrait faire comme

le bonheur. Oeuvres de charités, actions sociales... L'argent que nous possédons, s'il est utilisé à bon escient et justement mesuré peut servir à notre bonheur. Ainsi, possédant nombre d'argent, m'imposant des limites je me satisfait des choses simples, des choses de la vie, ne me séparant en rien de mes compères moins honnis que moi. Aussi, n'étant coupé du monde réelle, j'agis comme si mon argent n'était rien, car qu'est-ce qu'argent si ce n'est papier? De plus, posséder de l'argent n'est en soi

les occasions de s’éloigner de la maison, mais il la fuyait, comme si le sol lui eût brulé les pieds, comme si les choses familières, jadis hors de prix, à ses yeux, s’y fussent ternies et n’eussent plus porté leur valeurs.» (p. 27) Donc, être nomade permet d’aider à oublier de mauvais souvenirs. Puisque, lorsque l’on reste au même endroit tout ce qui nous entour ne rappelle des choses que nous avons vécue. Dans cette citation Didace n’est plus heureux chez lui, puisque tout lui rappelle sa défunte

dans le deuxième et troisième moments. Il va tout d’abord commencer par énoncer l’égocentrisme naturel de l’Homme et le définir comme la cause de la distinction entre les bonnes et les mauvaises choses, car c’est ce qui va nous permettre d’être heureux ou non. « Il nous est naturel de considérer les choses selon leur propriétés à accroître ou diminuer notre propre bonheur » (ligne2-3). Il aurait simplement pu utiliser notre bonheur mais va plutôt décider d’utiliser « notre propre bonheur » pour insister

Mon Monde à moi. Je t'ai toujours fais confiance, alors le voilà, mon petit rêve, mon petit monde à moi. Celui ou les gens trouverais les choses les plus simples aussi belles que je les vois, moi. Du simple nuage au plus bizarre des arbres.. Un monde où ce qui est mal n'existerait plus, tels que les maladies, les méchants, la guerre, la pollution, la pauvreté, les cœurs brisés. Un monde où on n'aurait pas tout se que l'on veux, quand on le veux. Où il faudrait se battre pour obtenir le droit d'exister