Les Chocs Pétroliers Et La Stagflation

sociales , risques écologiques. 2.2 – Les 20 piteuses 2.2.1 – Caractéristiques économiques et sociales Les 30 glorieuses ont laissé place aux 20 piteuses (ou désastreuses). En 1974 le premier choc pétrolier met fin à cette époque bénie et annonce des jours beaucoup plus sombres. Les chocs pétroliers ont fragilisé les économies occidentales très dépendantes du pétrole. De plus, le dérèglement monétaire, et la fin de la convertibilité du dollar en or annoncée par Nixon en 1971 (la fin des parités

politiques différentes ne sont pas parvenues à régler. 1. Les aspects de la crise. La suspension de la convertibilité or-dollar en 1971 provoque une instabilité monétaire mondiale qui pénalise le commerce et donc l’économie mondiale. Les chocs pétroliers (quadruplement du prix en 1973, doublement en 1979) révèlent la dépendance de la France (70% de l’énergie importée) et les limites de la croissance déjà affectée par l’endettement des entreprises, le ralentissement des investissements et l’apparition

Banques Centrales interviennent toujours pour éviter des fluctuations trop brutales des parités monétaires. On parle de " flottement impur ". Chocs d’offre, chocs de demande : désigne une hausse ou baisse inattendue de la production (par l’intermédiaire d’une hausse de la productivité) ou de la demande. Exemple : les chocs pétroliers ont constitué des chocs d’offre négatifs en augmentant les coûts de production, diminuant la productivité et la production. Chômage : état d’un travailleur sans emploi

Mitterrand : -P. Bérégovoy : ministre de l'économie et des finances. S'agit-il d'une branche particulière du neo-keynesianisme ? Arguments en défaveur : -Il s'agit d'une « contre-révolution libérale ». -Elle est permise par une situation de « stagflation ». Faible croissance économique et persistance d'une inflation importante. Accroissement du chômage. -On assiste à une remise en cause des outils néo-keynésiens. IS-LM Courbe de Philips Arguments en faveur : -Le raisonnement reste insèré

envisageables pour augmenter le pouvoir d’achat : dont le principe général serait d’augmenter les salaires, baisser les prix avec notamment : - une baisse de la T.V.A.[4] - une baisse de la Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers (T.I.P.P.) - une hausse du S.M.I.C. et des retraites - une baisse des impôts sur le revenu - le développement de la participation et de l’intéressement des salariés - S’affranchir des accords de branche sur

du capital humain améliorant l’efficacité du travail. Si le progrès technologique est purement “labor-augmenting”3 c’est-à-dire n’affecte pas Mt et que le ratio capital sur valeur ajoutée est constant alors le partage demeurera constant. Seuls des chocs sur le ratio capital/valeur ajoutée ou un progrès technologique biaisé dû par exemple aux dysfonctionnements du marché du travail (Blanchard, 2005), peuvent modifier le partage capital/travail. Des estimations empiriques confirment ce lien (Bentolila

économistes s’accordent généralement à considérer que le premier conflit mondial a marqué le début d’une période de 60 ans qui a pris fin avec le grand retournement de 1974, qui a été bien davantage que ce que l’on appelle ordinairement le “premier choc pétrolier”. Il est permis, du reste, de penser que la tourmente financière internationale actuelle, qui a son origine aux Etats-Unis, et ont un nombre croissant d’observateurs estiment qu’elle est la plus grave survenue depuis 1929, va vraisemblablement ouvrir

Nicholas Kaldor (1908-1986) : croissance (forte) + inflation (faible) + chômage (réduit) + commerce extérieur (en excédent). Ces politiques sont mises en œuvre dans les situations de : • récession (ralentissement du taux de croissance du PIB) • stagflation (simultanéité d’une stagnation de la production et d’une hausse des prix) • crise (arrêt brutal de la hausse de la production et montée du chômage). • dépression (baisse durable du taux de croissance). L’alternance de politiques de relance et de

le bon rythme d'émission de la monnaie, qui est compatible avec la croissance économique et avec la stabilité des prix. La croissance pendant les 30 glorieuses à coexister avec l'inflation, la crise de 1974 choc pétrolier, a créé un ralentissement de la croissance aussi appelé la stagflation qui est un mélange de stagnation et d'inflation. On s'oriente actuellement vers la stagdéflation, qui est en recherche. Ces 3 dernières questions sont traité dans l'analyse macro économiques, qui est une discipline

ajoutent les anticipations et un fondement micro des modèles macro. 3) Les fluctuations chez les nouveaux classiques : cycles d’équilibre et chocs exogènes On est dans un contexte où les marchés sont parfaits. Les causes des fluctuations sont ici exogènes, elles vont influencer les agents économiques. L’économie est en permanence à l’équilibre. a) Les chocs monétaires dans la théorie des anticipations rationnelles CHAPITRE IV : FLUCTUATIONS ET CRISES Page 15 Correspond au 1er modèle chez