Les Chocs Pétroliers Et La Stagflation

entraînant la destruction de fait d’une grande partie des moyens de production, la montée en flèche du chômage et une baisse catastrophique du niveau de vie des travailleurs ( application de New Deal • Crise des années 70 : choc pétrolier de 1974 à 1979 – stagflation – politique financière restrictive • Crise de la dette de 1982 : Les pays du Tiers Monde, qui s'étaient beaucoup endettés dans les années 1970 au moment du crédit facile et qui ne peuvent refinancer leurs prêts entrent

des syndicats et de la productivité du travail dans chaque économie . Si l'on en croit cette théorie, les gouvernements doivent choisir entre inflation et chômage. La crise des années 70 nous a pourtant montré le contraire avec l'apparition de la stagflation (du chômage et de l'inflation en même temps). 2. La vision libérale du chômage d'équilibre. La différence de vision entre keynésiens et libéraux sur la notion de chômage d'équilibre se trouve tout d'abord dans l'appellation. A l'instar de Friedman

pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une diminution générale et durable des prix => inflation négative. Désinflation: baisse de l'inflation  baisse du taux d'accroissement du niveau moyen des prix. Evolution des prix Temps Stagflation : situation dans laquelle une économie connait une croissance nulle et de l’inflation Savoir être pour agir avec Sens 19 Inflation : Définition et Mesures Comment mesure-t-on la variation des prix? Calcul de l’indice des prix à la consommation

objectifs aussi se rabat-on sur 2 objectifs. L’arbitrage est très difficile. 2 / les arbitrages A)   La difficulté d’arbitrer entre inflation et chômage. A partir de 70’s, cet arbitrage apparait. L’arbitrage commence à se dégrader lors du 1er choc pétrolier. Car le taux de chômage augmentait de plus en plus. Si la croissance augmentait à l’issue d’une politique de relance, le taux d’inflation augmentait aussi. On ne pouvait pas atteindre de conjoncture où la croissance n’était pas inflationniste. On

sous développement. Problème 6 : Le pouvoir d’achat est-il constant ou amputé ? Les économistes s’interrogent sur le bon prix d’émission de la monnaie, compatible avec la stabilité du prix. La stagflation est souvent u couplage entre une stagflation et une certaine évolution des prix. La théorie des prix = s’attache à l’émission des prix. Problème 4, 5 et 6 = analyse macro-économique = étude des grands agrégats économiques (PIB). C – Les agents de décision

d’activité économique d’un pays. Par conséquent, la plupart des pays développés ont mené depuis les années 1930 des politiques de relance budgétaire lors des périodes de récession ou de moindre croissance. À compter de la crise consécutive au choc pétrolier de 1973, les théoriciens néoclassiques ont cependant souligné les limites de la politique budgétaire et, notamment, les effets néfastes des déficits et de la dette publique. (Ensemble des dettes de l’Etat résultant des emprunts que ce dernier a émis

ont été prévus (donc on ne prévoit pas la réduction de l'OG) Nota: c'est fondamentalement optimiste, puisque cela sous-entend qu'il n'y a pas de baisse du PIB potentiel, mais seulement des chocs de demande qui influent sur le PIB effectif. - La Banque de Tunisie est moins optimiste: pour elle, les chocs sont structurels, et l'OG ne peut être évaluée à plus de 1% du PIB. Nota: là aussi et inversement, c'est un enjeu institutionnel, puisque l'existence d'un fort OG diminue le risque de tensions

distribution stationnaire. Mais on peut aussi envisager des hypothèses de tendance paraboliques, exponentielles, logistiques de dépendance de la série par rapport au temps. Dans ce cas de dépendance par rapport au temps, on peut démontrer que des chocs ayant lieu à une période donnée n’ont aucune conséquence sur l’évolution ultérieure, la série revenant toujours vers sa tendance de long terme. Ainsi, d’un point de vue technique comme théorique, les travaux délimitent la croissance du cycle et les

quasi inévitable en particulier, les emprunteurs avaient la possibilité de gager leurs emprunts sur la valeur des actifs qu’ils acquéraient. La propagation internationale de la crise : le rôle des chocs déflationnistes La crise peut s’interpréter comme le résultat de deux chocs déflationnistes successifs : D’une part la chute des prix des actifs boursiers, qui va entrainer une très forte réduction des X de K américains et même un rapatriement vers les US du K étranger en particulier

développées pour lesquelles le pétrole est la première source d'énergie. Les deux « chocs pétroliers» montrent ainsi la fragilité des économies développées face aux aléas de la conjoncture politique internationale. Les entreprises, dont les coûts de fabrication augmentent, perdent de leur compétitivité et sont amenées à ralentir leur activité. L’inflation est forte (10%) et le nombre de chômeurs augmente. C’est la stagflation. Après l’envolée des Trente Glorieuses, les économies occidentales connaissent