Les Chants du crépuscule

d’amour heureux », Louis Aragon, Bonheur « J’ai tant rêvé de toi », Robert Desnos, Corps et Bien « Les mains d’Elsa », Louis Aragon, Le Fou d’Elsa « Crépuscule », Victor Hugo, Les Contemplations Les Révoltes « Le Dormeur du val », Arthur Rimbaud, Recueil Demeny « Le Mal », Arthur Rimbaud, Poésies « La Révolte », Emile Verhaeren, Les Flambeaux noirs « Chant des partisans », Maurice Druon & Joseph Kessel Préface Durant notre année de Première, nous avons eu l’occasion d’établir une anthologie

et généreuses. En cela, il prépare la voie d'Émile Zola (affaire Dreyfus) J’accuse. Toujours à la même époque, Hugo compose Notre Dame de Paris, roman historique. En poésie ses recueils les plus importants sont : Les Feuilles d’Automne, Les Chants du Crépuscule, Les Rayons et les Ombres. Grâce à sa position de chef de fil, Hugo s’est à Nodier et donc reçoit chez lui ses disciples. C’est donc chez lui que se tient le cénacle romantique. Hugo est marié et il a 4 enfants. Sa femme le trompe avec

le 18 août 1941, que la radio de la Wehrmacht, émettant de Belgrade, l’a diffusée pour la première fois. En effet  l’Allemagne nazie est en pleine guerre sur plusieurs fronts et changeant brusquement de statut, cette chanson d’amour va devenir un chant de guerre. Les soldats de la Wehrmacht éloignés de leurs foyers et de leurs amies vont immédiatement l’adopter. * Analyse : Ce poème se compose de 5 sizains et d’un refrain qui apparaît 5 fois à chaque fin de strophe. Ces 5 sizains sont réguliers

l’aspect traditionnellement oral de la poésie, puis sur sa dimension écrite, visuelle. Tout d’abord, il nous faut nous interresser aux origines premières de la poésie, avec les mythes, les légendes, les épopées. Tous étaient, à l’époque, racontés, chantés, et cela à voix haute nécessairement, par des aèdes, des griots, des conteurs, des bardes, des troubadours, etc. La poésie est donc originellement rattachée à une tradition orale. C’était ainsi que se transmettait par exemple l’histoire d’un peuple

tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui

ruisseau coulant qui chante sa mélodie à la nuit. Connaître la douleur de trop de tendresse. Être blessé par sa propre intelligence de l'amour ; Et saigner volontiers et joyeusement. Se réveiller à l'aurore avec un coeur ailé et rendre grâce pour une autre journée d'amour ; Se reposer à l'heure de midi et méditer sur l'extase de l'amour ; Rentrer en sa demeure au crépuscule avec gratitude, Et alors dormir avec en son coeur une prière pour le bien-aimé, Et sur les lèvres un chant de louange.".

Thérèse pour ne plus cacher cet amour. Mais Camille assassiné hantera leur vie jusqu’à leurs morts. Le passage a commenté est une partie du chapitre XI de ce livre entre “Le crépuscule venait…“ à “…remuer comme il le faisait…“. Cet extrait est le moment ou Thérèse, Camille et Laurent sont sur la Seine dans une barque au crépuscule et où Laurent assassine Camille. C’est un tournant dans l’histoire car désormais Thérèse et Laurent sont des criminels et ne peuvent plus revenir en arrière. Nous pouvons

fait la joie et le bonheur pour une nature d'âne : braire et péter, se rouler par terre et ruer... Aussi demandèrent-elles un jour à Bour, prétextant les grandes chaleurs, l'autorisation, qui leur fut accordée, d'aller se baigner tous les jours au crépuscule dans le lac. Ramassant les calebasses, les mammites et tous les ustensiles sales, elles allaient ainsi, tous les soirs, au lac où, rejetant boubous et pagnes, elles pénétraient dans l'eau en chantant : • Fari hi ! han ! Fari hi

politique français) qui inspira également Lord Byron ou Delacroix. Dès les Feuilles d'automne (1832), les Chants du crépuscule (1835) Les Voix intérieures (1837), jusqu'au recueil les Rayons et les Ombres(1840), se dessinent les thèmes majeurs d'une poésie encore lyrique — le poète est une « âme aux mille voix » qui s'adresse à la femme, à Dieu, aux amis, à la Nature et enfin (avec les Chants du crépuscule) aux puissants qui sont comptables des injustices de ce monde. En 1853, il publie Les Châtiments,

« Oh ! N'insultez jamais une femmes qui tombe... » Victor HUGO Les Chants du crépuscule, 1835. Pour l'introduction : Présenter l'auteur : Victor HUGO, chef de file du mouvement romantique (dates), écrivain polygraphe (= écrivant avec un égal talent du théâtre avec Hernani, de la poésie – lyrique ou engagée -avec les Contemplations ou Châtiments, des romans Les Misérables, des discours politiques à la Chambre, etc). Mais également un homme de combat, s'étant engagé dans de nombreuses causes