Les Champs Lexical De La Solitude Sont

individus face au totalitarisme qui mal grès lui devient un héros moderne. Tout d'abord, ce monologue final reprend la tradition théâtrale prônant la solitude qu'illustre une situation tragique. Ici, Béranger est confronté à un dilemme et à une crise d'identité. On peut relever les nombreuses utilisation des pronoms « je » qui marque la solitude du personnage « je ne suis pas beau, je n'ai pas de corne, je voudrais, je me défendrai, je suis le dernier homme, je le resterai jusqu'au bout, je ne capitule

« La autobùs » Dans « L’œil de verre » de Sylvie Massicotte Analyse littéraire Tout d’abord, plusieurs passages de la nouvelle «La autobùs » écrite par Morissette traduisent l’aspect principal du texte soit le profond sentiment de solitude que vit le personnage principal suite à son immigration au Canada. La caractérisation psychologique du personnage, soit la grande nostalgie donc il est empreint, prouve combien le fait d’être séparé de sa famille et de la chaleur de son pays d’origine

Mohamed est triste : et sa boite le rejette a son tour , il est donc seul face à sa solitude et au monde des adultes dans ces instants là | * Passage n°1 * Passage n°2 * Passage n°3 * Passage n°5 * Passage n°6 * Passage n°10 | * Passage n°4 * Passage n°7 * Passage n°8 * Passage n°9 | Champ lexical du 1er group : champ des héros , de prince , de rêves … Champ lexical du 2eme group : champ du cauchemar , des monstres … Conclusion : Les personnages de  La boite à merveille

situation initiale, situation finale, péripéties : la trame est très épurée = un dervis quitte sa solitude pour entreprendre un pèlerinage à la Mecque - situation initiale heureuse : notez le champ lexical de la nature idéalisée de manière hyperbolique => nature idyllique (1 ère moitié du texte jusqu’à la ligne 30 => évocation indirecte du jardin d’Eden) - situation finale inversée : champ lexical de la destruction, morts => nature dévastée - rythme plutôt rapide, récif vif / enlevé => voir

crise, c’est-à-dire quels symptômes sont décrits par l’auteur et comment se traduisent-ils. D’une part, Baudelaire décrit une sensation d’enfermement qui constitue la première étape d’une crise de Spleen. Situé dans la première moitié du poème, le champ lexical de l’enfermement et de l’oppression est composé des termes « lourd », « pèse », « couvercle », « cercle », « murs », « plafond », « barreaux », « filets » et laisse apparaître une oppression de plus en plus marquée. Ainsi l’enfermement devient

but préci, port = solitude. Il n ‘y a pas d’action, il y a une monotonie de la promenade. verbes d’action au passé simple au en mouvement «  se dirigea » «  marchait »  « arriva » «  hésita » «  itinéraire dans l’obscurité". Une promenade lente «  il s’en vin lentement vers la façade illuminé » il existe avec l 'adverbe "lentement" répéter 2 fois=> montre le ralentissement , absence de dynamisme. Il se passe beaucoup de chose dans sa tête. Son errance « rue … » Solitude Il se sent attiré

mécanique d’argumentation III / Imprégnation humaniste du texte Idée : Montaigne développe l’idée d’un équilibre de l’éducation au fur et à mesure de la journée de l’élève. _ balancement l21 « un cabinet// un jardin » ; « la table// le lit » ; « la solitude// la compagnie » ; « Le matin// la vèpre. » _ parallélisme l22 « toutes les heures lui seront une/ toutes places lui seront études. » Des structures équilibrées pour montrer que l’élève ne doit pas passer sa vie à étudier. Idée : Une mise en

reflètent sa désolation. (L.19-24) : Il désire suivre les oiseaux qui volent vers le ciel, mais l’absence du vent de la mort ne le permet pas. (L.25-28) : Découragé, il continua de marcher dans la forêt. Plus rien ne peut combler sa solitude et le délivrer de sa dépression , ni pluie, ni frimascomme possédé par le démon . (l.27-28) (L.29-37) : Malgré les conditions météorologiques, le vent qui souffle fort sur sa maison et la pluie qui tombe sur son toit

l'échec d'une relation qui laisse le poète désemparé. I) La rencontre 1) Décor la rencontre se fait dans un contexte sonore particulier : allitération en -r / hyatus - atmosphère lourde : assonance. communication verbale impossible: trop de bruit - solitude du poète « autour de moi » v.1 Tr : alors que le cadre du sonnet semble hostile , l'apparition d'une passante va, par un saisissant contraste, effacer cette cacophonie urbaine. 2) Personnages il y a une alternance des pronoms personnels : je/elle/elle/moi/elle/moi/moi/moi

COI « moi »). 1è et dernière phrase : « parmi les jeunes gens dont j'attirais les regards » / « le jeune homme que je laissais derrière moi » > tout tourne autour d'elle, elle est au centre de la scène, au coeur des regards, au coeur du récit. Champ lexical du regard : 1er vecteur de l'amour > 1er sens intervenant dans le coup de foudre. 2) Une pause intense dans le récit Temps verbaux : jeu entre le passé simple et l'imparfait = focalisation sur un court instant = le moment de la rencontre = PAUSE