Les Cadavres

horloge de marbre en forme d'ours tombée de la chambre de Véra pendant que celle-ci et Lombard étaient à l’autre bout de l’île. Les deux survivants pensent donc qu'Armstrong se cache dans la maison. Mais quelques heures plus tard, ils retrouvent le cadavre du médecin rejeté par la mer. Chapitre 16: Mort de Lombard et de Véra Il ne reste donc que 2 survivants: Véra Claythorne et Philip Lombard. Chacun d'eux se dit que l'autre est le meurtrier. Grâce à une feinte, Véra réussit à subtiliser son

douze membres un jury désert, onze anglo-américains et un afro-américain, ils(elles) ont pardonné, d'un compte, l'agent assassin. Il(Elle) était cumpliedo avec son devoir Avec une arme désavouée ? En tuant par le dos En essayant de cacher le cadavre L'incident illustre l'histoire croissante antinmigratoria et antimexicaine à elle une longueur commune de la frontière tendue entre le Mexique et les États-Unis non une frontière, j'ai écrit une fois, mais une cicatrice. La blessure est ouverte à

Emilie sortie de la salle très rapidement, et on entendit soudainement un hurlement aigu, puis très rapidement, Emilie était de retour en criant: “Maman! Regarde ce qu’Alice a fait! Elle a tué mon bébé! Elle lui a tranché le cou!”. Maman pris le cadavre de Linette dans ces bras et déclara qu’elle n’avait rien, que les piles étaient juste sorties de la boîte, et qu’elle avait le cou intact. “Je ne l’ai pas tuée?, demandai-je avec une vague de soulagement qui me parcourait le dos. -Non, bien sur

guerre » de Desnos, ressemblant plus à un chant de révolte. Mais il y a aussi la vie quotidienne, et ce que l'on croise au détour d'un chemin, qui peut être inspirant. Comme « Une Charogne » de Baudelaire, où celui-ci nous décrit avec habileté un cadavre en décomposition, il reconstruit au travers des mots ce que le réel a détruit. Grand Corps Malade et « Chercheur de phrases » s'y prête bien aussi, où il nous montre son « chemin » pour faire des textes. Ainsi nous pouvons en conclure que diverses

et vint se loger dans la boîte crânienne, la brisant sous l’impact dans un filet de sang qui se répandit sur le sol marbré. Le corps s’écroula, inanimé, dans un choc sourd sur le sol. Une mare rougeâtre apparût progressivement autour de la tête du cadavre. Puis, la douille qui s’était éjectée du pistolet vint tomber sur le sol dans un cliquetis métallique. Djibril abaissa son arme, observa le macchabé avec haine et lui lança : « Requiescat in pace comme on dit chez toi ». Avant de sortie, il s’arrêta

de bestioles qui se nourrissent avidement de la mort. L’auteur ne se contente pas de solliciter la vue, il fait aussi appel à l’odorat : « La puanteur était si forte, que sur l’herbe / Vous crûtes vous évanouir » (v. 15-16). L’effet de l’odeur du cadavre en putréfaction sur une personne sensible est assez marquant, puisqu’elle manque de s’évanouir. Cela indique la puissance du relent. Il n’y a rien dans cette observation qui puisse laisser place à autre chose qu’à l’horreur. Bref, l’auteur met bien

de sa compagne, en la décrivant comme une fleur : « Mais battue, ou de pluie, ou d’excessive ardeur. ;Languissante elle meurt, feuille à feuille déclose. ;Afin que vit et mort ton corps ne soit que roses » (v.7-8, et v.14) Il évoque la réalité du cadavre de Marie : « cendres tu reposes » (v.11), ce qui montre qu’il accepte cette mort, même si elle lui est difficile . A l’inverse, Hugo nie la mort de sa fille : alors qu’il écrit la veille de l’anniversaire de la mort de sa fille Léopoldine, il lui

l’extérieur. Pour lui, son âme est une « (…) charogne éparse au champs des jours, Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier » (ligne 13-14). Cette allégorie facilite la compréhension d’une représentation figurée de l’âme. L’âme y étant évoquée comme un cadavre servant de nourriture pour les corbeaux. La mort y est donc représentée de façon assez drastique. Pour Saint-Denys Garneau, la mort se fait plutôt à l’intérieur de lui. En d’autres mots, elle est déjà captive en lui : « L’oiseau dans ma cage ; C’est

à un cercueil sans en être un. J’étais à la fois apeurée et excitée de découvrir ce qu’il y avait dans cette boite. Ma curiosité l’emporta. J’ouvris la mystérieuse boite et là, un corps humain ! J’étais horrifiée comment il pouvait vivre avec un cadavre dans son garage ! Je pris mon rateau, et je rentrais chez moi. Sur le chemin je rencontrais l’étrange dame. Elle s’approcha de moi et dit : « Alors n’avais-je pas raison ? » Je lui dis, en tremblant, encore

qui souligne qu'il s'agit d'une conséquence du meurtre. Mais il ne prend pas conscience de l'horreur de son acte et semble se complaire dans une curiosité malsaine. « où les balles s'enfonçaient dans qu'il y parût ». Il se contente de tirer sur le cadavre «  pour voir »... Le monde est les comportements n'ont pour lui pas de sens. Conclusion Ce passage, centré sur le thème du meurtre, pose le problème de la responsabilité. Meursault devient un personnage étranger à ses propres actes, et à lui-même