Les Atrides

pourtant la gaieté même, n’en dort plus. Tu es le seul à ne pas le voir, le truc d’Égisthe. Il veut repasser sur la famille des Théocathoclès tout ce qui risque de jeter quelque jour un lustre fâcheux sur la famille des Atrides. L’ÉTRANGER Qu’a-t-elle à craindre, la famille des Atrides ? 37 LE PRÉSIDENT Rien. Rien que je sache. Mais elle est comme toute famille heureuse, comme tout couple puissant, comme tout individu satisfait. Elle a à craindre l’ennemi le plus redoutable du monde, qui ne laissera

dimension épique, de part l’exagération, l’emploi de métaphores et d’antithèses : son intervention est un moment fort de le pièce. Les sujets des tragédies sont pour l’essentiel issus de quatre grands cycles légendaires : - La guerre de Troie - Les Atrides - Le cycle thébain - Le mythe d’Héraclès Mais on pourrait aussi y ajouter le cycle des Danaïdes, pour Eschyle, ou encore celui de Prométhée et des Argonautes. Les conditions de la représentation Les grandes Dionysies, où l’on jouait les pièces

pourtant la gaieté même, n’en dort plus. Tu es le seul à ne pas le voir, le truc d’Égisthe. Il veut repasser sur la famille des Théocathoclès tout ce qui risque de jeter quelque jour un lustre fâcheux sur la famille des Atrides. L’ÉTRANGER. – Qu’a-t-elle à craindre, la famille des Atrides ? LE PRÉSIDENT. – Rien. Rien que je sache. Mais elle est comme toute famille heureuse, comme tout couple puissant, comme tout individu satisfait. Elle a à craindre l’ennemi le plus redoutable du monde, qui ne laissera

pourtant la gaieté même, n’en dort plus. Tu es le seul à ne pas le voir, le truc d’Égisthe. Il veut repasser sur la famille des Théocathoclès tout ce qui risque de jeter quelque jour un lustre fâcheux sur la famille des Atrides. L’ÉTRANGER. – Qu’a-t-elle à craindre, la famille des Atrides ? LE PRÉSIDENT. – Rien. Rien que je sache. Mais elle est comme toute famille heureuse, comme tout couple puissant, comme tout individu satisfait. Elle a à craindre l’ennemi le plus redoutable du monde, qui ne laissera

Élisabeth pousse alors la tragédie à son paroxysme : elle contemple son frère avec intensité, un révolver à la main. En ce moment, «ils montent côte à côte. Élisabeth emporte sa proie. Sur les hauts patins des acteurs grecs, ils quittent l'enfer des Atrides. [...] Encore quelques secondes de courage et ils aboutiront où les chairs se dissolvent, où les âmes s'épousent, où l'inceste ne rôde plus». Ainsi, scrutant son dernier souffle, Élisabeth se tire une balle au moment où son frère succombe

femmes tuant leurs maris», des histoires privées, sans doute secrètes, qui concernent les membres d’une même famille : mères, pères, enfants, maris sont concernés au premier chef. Ces histoires sont à l’image des tragédies antiques comme celle des Atrides. L’expression « des femmes tuant leurs maris afin de vivre en paix avec un amant » fait penser à Clytemnestre tuant Agamemnon. On peut se demander quelle est la place du destin dans ces histoires. C’est ici que l’on retrouve la fatalité évoquée

d'Hadès" qui est le roi des Enfers et des morts. Il a l’occasion de parler au devin Tirésias "Thébain Tirésias devin aveugle mais encore doué de sens", mais aussi à sa mère " alors l'ême survint d'Anticlée, ma mère défunte", à Agamemnon "très glorieux Atrides, Agememnon, roi des guerriers" ce qui lui permet de retourner sur certaines étapes de son passé et qui lui permet de plus une remise en question grave aux personne defuntes a qui il peu parler. Ces « rencontres » lui permettent de préparer à son

on peut parler de complexe d’Œdipe au féminin. Développement : I. Les fondements du mythe Dans un premier temps, il est important de présenter le personnage d’Électre. Dans la mythologie grecque, Électre est une femme de la famille des Atrides, elle est fille d’Agamemnon (Le roi de Mycènes) et de Clytemnestre. Selon les croyances, elle se serait absentée pendant la période ou son père revint de la Guerre de Troie, et celui ci se fit tué par sa femme Clytemnestre. C’est alors à sa vingtième

Jardinier dans ce palais qu’il connait déjà. Puis arrivent le Président et sa femme Agathe qui s’opposent à ce mariage en disant qu’Egisthe souhaite ce mariage pour se débarrasser des Dieux et de leur malédiction en la faisant passer sur la famille des Atrides. Puis, c’est l’entrée du mendiant, qui va s’intégrer peu à peu au groupe. Egisthe sermonne le Président qui s’oppose au mariage d’Electre avec le Jardinier. Il lui explique que ce mariage n’attirera aucune malédiction ni désordre sur Argos. Lors

ses chevaux, Xanthos, lui annonce qu’il survivra à ce combat, mais que sa fin est proche. Passage apprécié Le passage que nous avons choisi est celui où, au chant XIX, Achille refuse de manger et de boire avant d’avoir vengé Patrocle. Illustre Atride, roi de guerriers Agamemnon, d’autres moments sont préférables pour vous occuper de cela, quand le combat se relâchera, et que l’ardeur ne sera pas si grande en ma poitrine. Mais maintenant, ils gisent, transpercés, ceux qu’a domptés Hector fils de