Les Atrides

« l'idéal moral du parfait chevalier homérique. Agamemnon, Roi d'Argos et de Mycène, petit-fils du fameux Pélops, et frère de Ménélas. Tous deux étaient fils de Plisthène, frère d'Atrée, et c'est apparemment pour cette raison qu’Homère les nomme Atrides. Alcinoos, fils de Nausithoos et le roi des mythiques Phéaciens. Il épouse sa nièce Arété, fille de son frère Rhexénor. Il en a cinq fils et une fille, Nausicaa. Arété, fille de Rhexénor, elle est l’épouse et nièce d'Alcinoos, roi des Phéaciens

qui, directement, s’attachent à : vengeance / injuste/ injustice/ ordre / désordre / lois / justice…des Dieux, des hommes.  Eclaircissez tous les points relatifs à la mythologie, à la guerre de Troie, aux personnages … Voyez bien la légende des Atrides. Pour cela, un site remarquable, celui d’Ariane Mnouchkine, et du Théâtre du soleil, où des images précieuses et des textes ont été mis à la disposition des élèves de Théâtre, et à la vôtre maintenant : http://www.theatre-du-soleil.fr/thsol/nos-s

comprennent et, faisant taire leur ressentiment, interrompent l'enchaînement funeste des meurtres et deviennent les Euménides (les Bienveillantes) à qui désormais un culte sera rendu à Athènes. Commentaire Le dénouement est heureux : l’histoire des Atrides s’achève dans le pardon et l’apaisement voulus par les dieux, conclusion qui faisait écho à la réforme contemporaine du droit athénien. Tous les personnages sont à la fois victimes et coupables, et seule l'intervention divine peut ramener un équilibre

Pyrénées, erreurs au-delà.» La raison d'état qui fait «condamner tant d'espagnols à la mort». Les Choéphores nous plongent dans un univers cruel dans lequel le crime de sang est une question d'honneur. Ainsi Oreste doit poursuivre le cycle infernal des Atrides, qui a vu se succéder les meurtres, donc Oreste sera également un meurtrier. Le Coryphée assure même à Electre que souhaiter la venue d'un justicier n'a rien d'impie: Electre v122 «Puis-je en prier les Dieux sans impiété?» Le Coryphée v123 «aux

une non-ingérence du pouvoir dans la sphère privée (prémices de l'état libéral). Je suis libre de faire ce qu'il me plaît tant que je ne cause pas du tort ni à autrui, ni à moi-même. Exemple :L'Orestie d'Eschyle et la malédiction des Atrides. Dans la mythologie grecque, la lignée des Atrée a été maudite par les dieux. Cette malédiction se poursuit de génération en génération jusqu'à l'arrière petit-fils d'Atrée : le parricide Oreste. Athéna mettra fin à cette malédiction en créant

comprennent et, faisant taire leur ressentiment, interrompent l'enchaînement funeste des meurtres et deviennent les Euménides (les Bienveillantes) à qui désormais un culte sera rendu à Athènes. Commentaire Le dénouement est heureux : l’histoire des Atrides s’achève dans le pardon et l’apaisement voulus par les dieux, conclusion qui faisait écho à la réforme contemporaine du droit athénien. Tous les personnages sont à la fois victimes et coupables, et seule l'intervention divine peut ramener un équilibre

au même titre de Philiscos, au IIIe siècle[54]. Hormis Les Bacchantes et Les Perses, toutes les tragédies qui nous sont parvenues sont donc basées sur des mythes. Encore ceux-ci ne sont-ils pas tous autant représentés. Ainsi, la malédiction des Atrides est elle la plus illustrée par les tragiques : les trois pièces constituant l'Orestie chez Eschyle, Électre chez Sophocle, et, chez Euripide, une Électre, un Oreste, mais aussi deux pièces consacrées à Iphigénie : Iphigénie en Tauride et Iphigénie

d'Eschyle est essentiellement remarqué pour sa force dramatique, la tension, l'angoisse qui habite ses pièces. C'est pour cela qu'il est inscrit dans le courant esthétique baroque. Agamemnon est un récit effrayant de la malédiction des Atrides dans lequel Agamemnon raconte le meurtre du roi d'Argos, commandant des troupes grecques, a son retour de la guerre de trois. Il est ainsi tué par sa femme, Clytemnestre qui ne lui à pas pardonner le sacrifice de leur fille Iphygénie. Dans ce

pas…Je te caresse. Je t’appelle à la vie » (l20). L’amour qu’elle porte à son frère se confond entre passion amoureuse, et tendresse maternelle, bien loin de l’affection attendue d’une sœur pour son frère. Bien sur la légende de la famille des Atrides est un premier élément de réponse à l’attraction et l’intensité du lien qui les uni. Cependant, ce passage met résolument l’accent sur l’ambiguïté sentimentale qui agite l’héroïne. Ses sens sont troublés comme à la vue de l’être aimé ; un bonheur

en venant même à regretter de n'être pas mort sur le champ de bataille, où il aurait à coup sûr obtenu gloire et honneur pour son sacrifice: « Trois , quatre fois plus heureux les Danaëns qui ont péri dans la plaine de Troie, pour le service des Atrides! Plût au ciel que j'eusse trouvé la mort et mon destin le jour que les Troyens en nombre m'accablaient de leurs lances de bronze auprès du cadavre d'Achille! J'eusse obtenu les honneurs militaires, on eût changé ma gloire... Maintenant , le destin