Les Approches Théoriques De La Monnaie

américain, M. Conally, a pu déclarer : « le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème ». Cette formule, qui traduisait l’hégémonie du dollar dans l’ordre monétaire mondial, n’est plus valable aujourd’hui. De fait, il existe désormais un face-à-face euro/dollar, qui porte sur deux points : le premier réside dans la supériorité de l’une des deux monnaies sur l’autre ; le second, sur le poids relatif de chacune des deux monnaies sur la scène internationale. Nous nous proposons ici d’examiner

matériels la sphère de l’économie s’étend progressivement à tout ce qui satisfait un besoin. L’utilité se reconnait au fait que les biens rares sont tous ceux qui s’échange contre de la monnaie ou tout bien de même nature. Cette définition inclus les services et tout ce qui permet d’acquérir des utilités (la monnaie, les titres financiers, les créances, les droits,…) ; le terme économie recouvre deux sens proches : D’après Jean Batiste Say : il s’agit de l’ensemble des phénomènes liés à la production

possible de comprendre la façon dont elle est mobilisée aujourd'hui pour analyser les secteurs fonciers et immobiliers sans faire référence aux grands courants de pensée qui lui ont donné naissance. 1. Définition de l'analyse économique En première approche, on peut définir l'analyse économique comme l'ensemble des théories qui ont comme objectif de proposer une explication de la production et de la répartition des richesses. L'analyse économique ne s'intéresse donc qu'aux biens rares, c'est à dire

terme de science. Ce terme, peut paraître ambitieux pour une matière pour laquelle les incertitudes sont grandes et les débats théoriques constants et jamais totalement résolus. Il est vrai qu’en économie, une idée considérée comme vrai à une époque, peut perdre de sa pertinence par la suite avant d’être réhabilitée (généralement sous une autre forme). Le va et vient théorique en économie n’est pas concevable dans une science dure comme la physique. En physique, il y a eu des révolutions scientifiques ;

quels sont les arguments théoriques permettant de penser qu’une baisse des taux d’intérêt réels à long terme est susceptible de favoriser un redémarrage de l’investissement matériel. Les approches néoclassique et keynésienne convergent sur ce point, même si les moyens préconisés pour y parvenir sont différents. Les interférences qui peuvent intervenir concrètement pour contrarier ce lien de causalité théorique sont présentées en seconde partie. I -La démonstration théorique du principe 1-La loi

d'expérience monétaire ayant souvent connu des périodes de forte inflation et la construction de l'euro, ont enfin, accéléré la régionalisation des monnaies. De manière plus générale, la dollarisation s'adresse à des pays, notamment des pays en voie de développement, dont les économies souffrent d'un manque de crédibilité. Personne n'a confiance dans la monnaie, ni les citoyens, qui pour échapper à l'inflation mettent tous leurs avoirs à l'abri en les convertissant en dollars, ni les investisseurs

à analyser un phénomène économique càd de décrire ses caractéristiques et d’en déterminer les causes et conséquences. 2°/ identifier les diverses théories qui vont expliquer le phénomène sur lequel je me confronte. 3°/ Confronter les approches théoriques (entre elles ou aux données empiriques), selon le sujet. 4°/ Construire un plan structuré 4°) Comment construire un plan 1°/ détermination de la problématique C‘est l’art de poser le problème) et problématiser c’est être capable

Chapitre 6 : Monnaie et financement de l’économie I/ Qu’est ce que la monnaie ? A/ Approche fonctionnaliste Cette approche remonte à Aristote. Il distingue ce qui relève de l’économie et ce qui relève de la chrémastique c'est-à-dire l’art de s’enrichir d’accumuler des richesses. Il parle alors de déshumanisation de ces individus qui accumulent les richesses car ils confondent la fin et les moyens. Pour Aristote, la monnaie doit être avant tout un instrument de transmission des richesses. Ces individus

ceux pour qui l’épargne réduisant la consommation et les raisons d’investir, constitue un frein à la croissance économique ; c’est-à-dire à l’augmentation de la richesse créée par un pays pendant une période. Suite à ces divergences entre les approches théoriques, nous sommes amenés à nous demander s’il paraît appréciable d’épargner ou de consommer ? L’épargne constitue-t-elle un vice ou vertu pour la croissance économique ? Pour cela nous verrons dans un premier temps que selon les théorise classiques

qui concerne la construction des savoirs, la macro-économie est une science humaine déductive. On raisonne àpd théories, on se trouve dans un cadre fixé. Les chercheurs commencent par construire un cadre général théorique, ils partent d'une chose vraie, un postulat. Ce cadre théorique permet de raisonner et de formuler des hypothèses. Ces hypothèses vont être argumentées et enfin on développera des lois générales. Ensuite, il faut retourner à la réalité en vérifiant les lois et après réaménager