Les Anneaux

dans le chef d'oeuvre Gladiator. Personnage violent, certes, mais également sensible, dévoilant facilement ses sentiments. Il est donc parfait pour incarner l'empereur Titus. Et pour finir, Elijah Wood. Vous l'avez sûrement vu dans Le Seigneur des Anneaux , et vous aurez pu remarquer l'expression triste de son visage, qui colle parfaitement avec l'état d'esprit d'Antiochus tout au long de la pièce. Les acteurs secondaires sont également talentueux, et c'est pour cela qu'ils ont été choisis.

couches géologiques rencontrées, confère au récit une crédibilité tout à fait honnête qui donne au lecteur l’impression de se trouver dans un autre monde. -La sensation de découvrir de nouveaux lieux est également très présente dans Le seigneur des anneaux de John Ronald Reuel Tolkien. Ici, L'histoire se déroule sur la Terre du Milieu, principal continent d'Arda, univers créé de toutes pièces par l'auteur. Tolkien a doté la Terre du Milieu d'une histoire propre, de la création du monde à la naissance

dépaysement. Car en effet ce même dépaysement est à l'origine de la naissance d'un sentiment d'évasion, et le romancier va donc imaginer un monde étranger au lecteur afin de lui procurer ce sentiment. Dans le roman de J.R.R Tolkien, « Le Seigneur Des Anneaux », le monde inventé, la « terre du milieu », est un bon exemple de dépaysement, dans un monde fantastique ou les héros, à travers plusieurs batailles et péripéties, se battent pour récupérer cette terre, gouvernée par la force d'un anneau maléfique

permettent l’observation minutieuse de l’homme et de sa société. Fiction : l’outil qui permet justement d’utiliser le détour de l’imagination pour parvenir à l’observation de l’homme, ou encore à l’écriture de la littérature engagée. Le Seigneur des Anneaux, de JRR Tolkien, image des valeurs bibliques et allegorie du catholicisme, par la reincarnation de Gandalf le gris en Gandalf le Blanc, se sacrifiant devant le Balrog, image du mal et metaphore du demon afin de sauver ses compagnons, l’Elfe, ou bien

l'outil à la formule magique, et l'antibiotique au chamane, nous aurions signé notre malheur. Signalons tout de suite la très grande fréquence de cette double image dans l'esprit occidental contemporain. Il figure par exemple dans le Seigneur des anneaux de Tolkien, où Gandalf "le sage" (gentil et loyal) affronte et vainc Saroumane "le savant" (méchant et traître), mais on en trouvera des décalques dans nombre d'autres oeuvres. Il convient de rapprocher cette conception de celle de Rousseau. Il

sont des personnes courageuses et porteuses de valeurs telles que le courage, l’espoir et l’abnégation, qui est le renoncement partiel ou complet de soi et de ses intérêts personnels. Il est possible de les trouver notamment dans le Seigneur des Anneaux, avec Aragorn, qui représente la lutte au-delà de tout espoir, mais aussi dans Harry Potter, avec son héros éponyme qui livre un combat contre les ténèbres. De plus, le héros peut se distinguer en fonction de sa nature. En effet, le héros tragique

absolument table rase du monde qui nous entoure, ils sont capables de remonter le temps ou de l'accélérer à leur guise, ils peuvent créer des sociétés imaginaires, des êtres différents de nous, dotés de pouvoirs que nous n'avons pas. Le Seigneur des anneaux de Tolkien met ainsi en scène plusieurs types d'êtres merveilleux dont il narre les aventures : elfes, hobbits ou encore orques, et permet au lecteur de s'évader dans un univers irréel. Certains romans jouent d'ailleurs avec art à brouiller les repères

fantastiques tel que « 20 000 lieux sous les mers » de J.Verne par exemple, où nous plongeons littéralement dans un univers sous- marin, un monde de légendes où réalité et fantastique s’affrontent. C’est le cas également de la trilogie « Le seigneur des anneaux » de JRR.Tolkien, où le lecteur se laisse embarquer dans un monde médiéval- fantastique, peuplé d’êtres irréels (trolls, elfes,…) chargés d’accomplir le destin qui leur est dévolu. Ce type de romans d’aventures permet non seulement au lecteur de

auteurs font des néologismes par exemple dans Le Bon Gros Géant de Roald Dahl. Puis parler d'un géant dans son roman n'est pas commun, c'est pourquoi je trouve que ce roman est bon. Dans les romans fantastiques, j'ai beaucoup aimé Le seigneur des anneaux de Tolkien car l'invention des personnages et leurs caractéristiques imaginaires sont très originales. De plus, les descriptions sont très précises, c'est pourquoi on s'en fait une image très claire. Dans les romans qui font rêvés, j'ai beaucoup

de chevalerie). Les origines du roman expliquent qu’il présente des univers différents du nôtre. [Exemples] Rabelais, Gargantua (univers de géants) ; Verne : Voyage au centre de la terre (découverte d’un monde inconnu) ; Tolkien, Le Seigneur des anneaux (anneau qui rend invisible). De même, il propose des péripéties extraordinaires. [Exemples] Dumas, Le Comte de Monte-Cristo (évasion du château d’If). Harry Potter à l’école des sorciers (scènes fantastiques). 2. Dans ce contexte, certains personnages