Les Animaux fantastiques

ÉTUDE DES PERSONNAGES 11 David Eliot Edward et Eileen Eliot Jill Jeffrey Gregor Mr Kilgraw CLÉS DE LECTURE 14 Un roman initiatique et un rêve d’enfant Un conte merveilleux et fantastique Les symboles L’humour et l’absurde PISTES DE RÉFLEXION

la parade de l'enfant ainsi que sur le fait que Gavroche est en train de jouer avec la mort puis nous aborderons dans une deuxième partie le thème de l'enfant extraordinaire et a la conscience presque inhumaine avec les références au fantastique ainsi qu'aux animaux. Intéressons nous donc pour commencer a la réaction de la barricade par rapport au jeu de Gavroche: les insurgés semblent pris d'anxiété tandis que Gavroche file au vent en évitant les balles, ils n'osent pas crier de peur d'attirer

Énumération → grotesque et ridicule Il est ridicule par son physique « laid », « pointu », « regard...fou », comparé à un animal = stupide Il se moque de son apparence, il est négligé « rustique » « inapte à tous les offices de l’Etat » : il paraît stupide et incapable « infortuné en femmes » : il n'a pas de succès « toujours riant, toujours buvant à la santé d’un chacun,

se glissa comme un serpent ». À l’oreille, nous trouvons dans cette phrase une allitération en /s/, rappelant le sifflement des serpent, renforçant l’impression que ces tentacules rampent comme le ferait ce reptile. Ainsi, les serpents étant des animaux très dangereux et attaquant une vitesse conséquente, nous comprenons que les attaques des poulpes seront chargées d’une grande brutalité, la violence du passage en est donc accentuée. De plus, la très grande agressivité dans ce passage nous vient

Basil Hallward de l’exposer ce à quoi Basil Hallward répond « — Je sais que vous allez rire de moi, répondit le peintre, mais il m’est vraiment impossible de l’exposer. J’y ai mis trop de moi-même. » Ce qui annonce clairement la fin qui est un peu fantastique. Le portrait de Dorian vieillira à la place de Dorian et donc celui-ci en profitera pour commettre les pires actions jusqu’à ce qu’il poignarde le portrait ce qui le tue. Le portrait redevient ce qu’il était au premier jour et Dorian Gray meurt

s'agit là d'une figure religieuse imaginaire, tout comme le sont le sphinx, les sirènes ou toute autre créature fabuleuse. Celles-ci s'appuient davantage sur des espèces animales existantes, que l'homme hybride à sa fantaisie, que sur la découverte d'un squelette gigantesque (il est d'ailleurs décrit comme « un animal fantastique […] avec des griffes de lions, des ailes et une queue de serpent » dans le Larousse4). On trouve ainsi des monstres aux formes semblables, mais néanmoins différents, dans

qu'on ait l'impression de succession qui n'en finit pas. On retrouve des liens avec les femmes comme les synonymes loques et guenilles, ou par la déshumanisation, tout d'abord minéral "bloc compact" ainsi qu'un rocher, "déboulèrent" qui roule. Et animal : "mugissement et sabot", mit en évidence par le jeu des allitérations en qu : "confondu. Qu'on ne distinguait que ..les culottes des tricot ". 

 La foule, un être vivant : 

Les hommes ne sont plus qu'un seul bloc. Ils n'ont plus d'individualité

destruction de l’individu, une partie pour le tout) ; enfin, l’expression « sans phrases » (v.31) induit aussi l’idée de déshumanisation liée à la modernité, De plus, cet univers devient inquiétant car il s’anime de manière quasi fantastique. III. La dimension fantastique du texte 1. Un monde qui s’anime de manière inquiétante •Rappel du titre du recueil : les villes sont « tentaculaires », elles étendent leur banlieues comme pieuvre pourrait étendre ses tentacules, •Les personnifications

relief * Champs lexical du relief « vallées »,  « crêtes », « crevasse » * Référence à un sous-sol * « lumière qui couche ses feux » = soleil qui se couche * Description de la mie qui emprunte au règne végétal et animal avec référence à « éponge » (animal mais aspect végétal marin) * 2) * Processus de fabrication du pain = création de la Terre avec « four stellaire » renvoie aux étoiles et donne une dimension cosmique * Dimension cosmique qui revient avec

Définitions des termes : homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. puissance : Faculté de produire un effet, capacité; la force ou le caractère qui en résulte