Les Amoureux Rivaux

dentelle présent sur ces vêtements. Don Guritan provoque Ruy Blas en duel car il lui aussi est amoureux de la reine et veut tuer son rival, cependant la reine l’envoi donner une cassette à son père à Neubourg ce qui, fait repousser ce duel à plus tard. Acte III : Grâce à son énergie et à la protection de la reine, Ruy Blas est devenu premier ministre. Il désir sauver le royaume (conseillers corrompus…). Amoureux, il veut sauver la reine. Il invite les conseillers qui ruinent l'Espagne. La reine lui avoue

Don Diègue et le comte de Gormas ont décidé d’unir leurs enfants qui s’aiment. Mais le comte , jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, donne un soufflet à son rival. Don Diègue, affaibli par l’ âge, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue en duel le père de Chimène. Sans renier son amour, Chimène demande la tête de Rodrigue au roi. Mais l’attaque du royaume

le contraire. Au début de la pièce, Néron se révèle être une personne cruel et sans égard envers sa mère et son frère adoptif Britannicus. Au cours de la pièce, Néron devient de plus en plus mauvais et se montre un Empereur cruel « j’embrasse mon rival, mais c’est pour l’étouffer (Acte 4 scène 3) mais aussi un Empereur sensible « j’aime, que dis je aimer ?’Idolâtre Junie (Acte2 scène2).Néron se manifeste comme le maitre absolu au près de tous les autres personnages mais aux yeux de Rome il est toujours

scène particulière 4A I dans laquelle martine fait ref aux fct , aux qualités de médecin de sgana ainsi que la réussite des TTT envers les différents patients. Parodie de l’apothicaire (5-6 A III ) joué par léandre . Léandre a une double fonction –amoureux positif -parodie de l’apothicaire pour pouvoir approcher sa bien aimée MI : les médecins occupent une place faible quantitativement. Les Diafoirus (père et fils) apparaissent dans 2 scènes (AII

Narcisse, survient et fait emprisonner son rival, tout en maintenant Junie enfermée au palais. Acte IV - Agrippine rencontre enfin Néron et le contraint, par un long plaidoyer-réquisitoire, à lui promettre de se réconcilier avec Britannicus lors d’un festin prochain, promesse qui n’est que feinte de la part de Néron. Si les adjurations de Burrhus parviennent à ébranler Néron, Narcisse finit toutefois par le confirmer dans sa décision de tuer son rival. Acte V - Tandis qu’Agrippine se

monde absurde. Il n’est pas totalement indifférent à tout. Rejet de l’humanité. Met en évident l’inintelligibilité du monde ( critique. Remise en question, refus des clichés. Met à nu les artifices de la parole et du dialogue amoureux. Assez décapant. Le dialogue amoureux est un non-événement textuel. Le crime, lui, constitue l’événement. Réfutation des conventions romanesques. Mise en œuvre d’une pense philosophique préexistante. Texte 4 : Le Bavard (1946 – 1973 re.) L.R Des Forêts Parole

criblé de dettes monstrueuses. De plus, il doit subvenir aux besoins de sa fille Geneviève, atteinte d’une pneumonie incurable, et de son futur gendre, Colomban. Denise, fascinée par " Le Temple de la tentation ", décide d'aller travailler chez le rival de son oncle. Jouve, le chef du personnel à l'œil de lynx, lui propose une place de mannequin. Sur le point d'être renvoyée après une dispute avec Clara, qu'elle a vue par la fenêtre séduire Colomban, Denise est engagée grâce à Mouret. De loin, il

« Pendant ces quatre ans, se plaint Beaumarchais dans sa préface, je ne demandais qu’un censeur ; on m’en accorda cinq ou six. Que virent-ils dans l’ouvrage, objet d’un tel déchaînement ? La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune, sa prodigalité rendent tout-puissants

Guise, éprouvent des sentiments amoureux réciproques depuis leur plus tendre adolescence. La jeune fille, promise au duc, est finalement mariée au prince de Montpensier pour des raisons d’ordre économique et stratégique. Désormais princesse de Montpensier, la jeune femme se résigne à sa situation. Les années passant, elle suscite la convoitise de bien des hommes. Le Comte de Chabanes, ami de son mari, est devenu un confident, un ami et tombe éperdument amoureux d’elle. L’amoureux est éconduit par

Clitandre. - Clitandre (ou Léandre) : C’est un jeune soupirant sentimental et rêveur. - Arlequin : C’est un valet qui symbolise la fantaisie et la ruse. Il est originaire de Bergame. - Pierrot : valet non masqué, naïf et honnête, rival d'Arlequin. Il est amoureux de Colombine et est un peu poltron. Il compense sa tristesse, due à la non réciprocité de son amour, par la nourriture. - Cassandre (ou Pantalon) : C’est un vieillard ridicule que l'on trompe aisément. - Scaramouche : C’est un valet