Les Ames Grises

images que les princes de la palette ont inventées pour peindre la passion soufferte au bénéfice des mondes par le Sauveur des hommes. » Là encore, il y a inflation du propos : si Goriot rachète quelque chose, ce sont les dettes de ses filles, non leurs âmes. Ainsi Goriot aime beaucoup mais il aime mal. Il aime d’un amour baroque dans sa démesure. Le romancier ne s’y trompe pas, il fait de Goriot une victime, un faible sans volonté ni intelligence. Mené par son instinct7, Goriot s’achemine vers une

des Assemblées de Dieu de France B. P. 13598 31035 TOULOUSE CEDEX (France) Maintenant que je suis disciple de JESUS... 1. JE SUIS NE DE NOUVEAU, JE SUIS UN ENFANT DE DIEU... Lc. 9/56: Le Fils de l'Homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les SAUVER. Pourquoi avais-je besoin d'être sauvé ? a) J'étais un pécheur b) Je ne pouvais me sauver moi-même. Ro.3/23: "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu." Seul Jésus a pu me sauver. Ro

l’ouragan » joue sur le motif si Baudelaire du regard. Celui-ci est agrandi à la dimension d’un ciel d’orage, frère des « ciels brouillés » par les larmes de l’aimée, dans le poème « L’invitation au voyage ». Ici, l’œil de la passante, de couleur bleu-gris ( sens étymologique de « livide »), contient à la fois la menace de la violence (« ouragan », v. 7, repris par « plaisir qui tue », v.8) et la promesse de la tendresse charmeuse (« douceur qui fascine », v .8). Nous retrouvons les composantes de l’amour

qu’elle distille. L’influence doit savoir envahir les âmes légères “De même que les bouleaux légers et frivoles cachent la vue des rudes branchages et des fûts sévères d’où découlent la santé et la vie, l’art d’influencer doit savoir s’entourer de dehors aimables et, pour mieux pénétrer les âmes, il doit renoncer à être uniquement fait des vertus farouches et brutales que tant de philosophes préconisent. “L’influence doit savoir envahir les âmes légères à la façon dont ces senteurs balsamiques viennent

viennent de Paris ; On me consulte, on a cent choses à me dire, On parle, on cause, on rit surtout ; – j’aime le rire, Non le rire ironique aux sarcasmes moqueurs, Mais le doux rire honnête ouvrant bouches et cœurs, Qui montre en même temps des âmes et des perles.   J’admire les crayons, l’album, les nids de merles ; Et quelquefois on dit quand j’ai bien admiré : « Il est du même avis que monsieur le curé. » Puis, lorsqu’ils ont jasé tous ensemble à leur aise, Ils font soudain, les grands

qui viennent de Paris ; On me consulte, on a cent choses à me dire, On parle, on cause, on rit surtout ; – j’aime le rire, Non le rire ironique aux sarcasmes moqueurs, Mais le doux rire honnête ouvrant bouches et cœurs, Qui montre en même temps des âmes et des perles. J’admire les crayons, l’album, les nids de merles ; Et quelquefois on dit quand j’ai bien admiré : « Il est du même avis que monsieur le curé. » Puis, lorsqu’ils ont jasé tous ensemble à leur aise, Ils font soudain, les grands s’appuyant

l’ambiance macabre de sa mise en scène : l’instrument d’exécution, la guillotine, ainsi que le sol sont rouge sang ; les personnages reconnaissables sont vêtus de noir de la tête aux pieds ; la peau des personnages est blanche, livide ; l’arrière plan est gris-acier. Dans cette pièce de théâtre morbide qui se joue sous nos yeux, chaque personnage tient un rôle. Sur la gauche de la scène, il est possible d’identifier Thomas Woodrow Wilson, Président des Etats-Unis qui joue le rôle du procureur. Il est représenté

plutôt baroque, noyé dans une profusion de métaphores, forces élémentaires de ce bouillonnement de sensations. Le poète cède volontiers à l'onirisme, une manière habituelle pour lui de résister à l'amertume, à la désillusion en composant avec les zones grises de la réalité où se côtoient la force et la vitalité de l'amour et en même temps les faiblesses de sa personnalité.Le poème est un sonnet d'une facture classique, qui se présente sous la forme d'un dialogue plutôt étrange, une causerie. Le titre du

dʼEspard et de Bargeton qui regardèrent Lucien dʼun air étonné, mais auxquels il lança le coup dʼœil méprisant du poète qui pressent sa gloire. » plus loin Lucien réfléchit au cours quʼil veut donner à sa vie « Travailler nʼest-ce pas la mort pour les âmes avides de jouissance ? Aussi avec quelle facilité les écrivains ne glissent-ils pas dans le farniente, dans la bonne chère et les délices de la vie luxueuse (…) Lucien sentit une irrésistible envie de continuer la vie de ces deux folles journées. »

la lumière soit fort à cause du soleil de midi soit plus atténuée par la brume ou l’ambiance du matin/soir. Image 1 : dans la brume (couleurs plus sombres) Image 2 : soleil matinal Image 3 : effet du matin Image 4 : plein soleil Image 5 : temps gris Même si les impressions du peintre sont plus présentes, il y a toujours un côté réaliste puisque Monet veut montrer que la cathédrale n’est jamais la même tout le temps et que pour représenter la cathédrale d’une manière réelle, il faut la représenter