Les Amants réguliers

Face à une querelle qui s’envenime, l’Académie française intervient en s’imposant comme une autorité légitime en décidant de valoriser la littérature française. La fin de la querelle du Cid est tardive et annonce finalement la victoire du théâtre régulier. 5) Le monologue peut aider le héros tragique à faire le point, à poser son dilemme. C’est le cas de Dom Rodrigue où la question se pose si le héros doit obéir à son père et le venger en tuant Dom Diegue qui est aussi le père de sa bien aimée :

Restaud et la baronne de Nucingen, dont il devient l'amant. Locataire de Mme Vauquer, protecteur de Goriot, protégé de Vautrin, ami de Bianchon, confident de Mme de Beauséant, soupirant d'Anastasie de Restaud, prétendant de Victorine Taillefer, amant de Delphine de Nucingen, Rastignac établit le contact entre les personnages et leurs intrigues, entre les lieux et les scènes multiples du roman dont l'histoire se fragmente en un drame à plusieurs destinées qui se croisent et se rejoignent sans s'opposer

habite, puis enfin dans une garçonnière qu’elle loue pour qu’ils puissent donner libre court à leurs ébats. Le peu d’argent que possède Duroy est vite dilapidé dans les plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy se sauve

puis enfin dans une garçonnière qu’elle loue pour qu’ils puissent donner libre court à leurs ébats. Le peu d’argent que possède Duroy est vite dilapidé dans les plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy se sauve

vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris de la grande beauté de Mlle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l’on n’a jamais vu qu’à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes. Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 (Tome 1)  « Il parut alors une beauté à la cour » : une métonymie avec « une beauté » pour dire que c’est ce qui frappe d’emblée

sensorielle, le bonheur est donc la sensation pure, brute, non réfléchie ou imaginaire (« je ne parlerai pas » « je ne penserai à rien »). → Ascension progressive vers une exaltation sensorielle : Le 1e et 2e vers de la 1e strophe a un rythme régulier (avec césure à l’hémistiche), le 3e vers a une rupture de rythme, le rythme de la fin de la phrase est donc allongé, et le 4e vers se lit d’un seul tenant. → intensité croissante. CQFR : Fonctions de la poésie : - Explorer le monde (poésie

moiteurs de mon front blême », avec les allitérations en me suggèrent la maladie ou la fièvre d’un enfant, devant lesquelles une mère réagirait par l’inquiétude et les pleurs. L’idéalisation est ici évidente, la femme rêvée est à la fois mère et amante, et la multiplication des « elle » dans la seconde strophe peut aussi de lire comme une incantation. L’interjection « hélas » qui vient cependant interrompre le deuxième vers du second quatrain assimile le poème à une plainte, dans la mesure ou cette

l’action. On reprocha aussi à Corneille de ne pas respecter « l’unité de péril » : Rodrigue risque deux fois sa vie ( duel, bataille ( sans enchaînement logique. A ces reproches on pourrait objecter que tous les événements influent sur le sort des amants ( de ce point de vue il y a bien unité ( et que tous les dangers affrontés par Rodrigue ne sont que des étapes indispensables à son affirmation en tant que héros. • Les bienséances : cf. supra : ce fut surtout le comportement de Chimène qui

s'évader du monde réel pour accéder au rêve puis à l'aspect harmonieux et idéalisé de l'univers dépeint par Baudelaire. La femme est médiatrice entre le réel et le rêve tout au long de ce sonnet. Il évoque un moment heureux d'intimité entre les amants, moment idéal pour rêver. Au premier vers on aperçoit les conditions propices à la rêveries dans lesquelles Baudelaire se trouve : « Quand les deux yeux fermés en un soir chaud d'automne ». L'attitude de la rêverie est exposée avec « les deux yeux

nasales (« les Muses me donnaient ») et les liquides (« Je les menais danser aux rayons de la lune ») + assonances en [i] et [u]. ► Harmonie du rythme avec enjambements constants qui miment le mouvement régulier de la danse. - Un cadre amoureux : évocation d’un cadre naturel propice aux amants : « nuit », « rivage écarté » + présence féminine des Muses. Evocation de « doux plaisirs » > inspiration quasiment uniquement amoureuse dans les recueils précédents. Le poète a écrit dans ses jeunes