Les Amants diaboliques

qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !Introduction :Nous allons étudier le poème « La Beauté » rédigé par Charles Baudelaire en 1857. Baudelaire est un poète français romantique du

de ton amour pour cible, /Je les (les couteaux) planterai tous dans ton Cœur pantelant, / dans ton Cœur sanglotant, dans ton Cœur ruisselant ! ». Enfin dans une des pièces condamnées, « les métamorphoses du vampire », la femme est perçue comme diabolique aux pouvoirs surnaturels ; la réduisant encore une fois à son pouvoir érotique « Moi j’ai la lèvre humide, et je sais la science/de perdre au fond d’un lit l’antique conscience ». Ainsi la femme devient l’incarnation du Mal – être de tentation

Paris. Thérèse las de sa vie monotone et de son mari, elle prend pour amant Laurent, un ami de la famille. Les deux amants ne peuvent plus se donner de rendez-vous, ils ne se voient plus. Lors d’une balade sur la Seine, Laurent étrangle Camille devant Thérèse et le jette à l’eau, ils feront croire à un accident. Pendant deux ans, ils feront tout pour que madame Raquin décide de les marier. Le soir de leur mariage, les amants sont hantés par le cadavre de Camille, ils ne dorment plus et n’ont plus

tigré, appartenant à Madame Raquin ( page 17 ). Il est muni d'un prénom humain, qui représente pour Thérèse, le seul ayant un caractère humain, lors des soirées du Jeudi ( page 36 ). Il dévoile son aspect diabolique, après la mort de Camille, connaissant tout des relations entre les deux amants. Il hante Thérèse, qui sombre peu à peu dans la superstition, et Laurent finit par croire que le spectre de Camille est entré dans la chat. Il le tue. • • Parmi tout ces personnages, certains interviennent

de l’intelligence, de la logique, qqch de structuré : l.37/40 et l.12 : elle demande un service faisait croire qu’elle accorde une faveur. ( Après son plan, elle finit par présenter Cécile : « vmt joli ! » C) Une vengeance raffiné ( Vengeance diabolique mais raconter d’une manière raffinée : « prouvons lui qu’il n’est qu’un sot » II- Le couple V/M A) Complicité/passé ( « Vous abusez de mes bontés… » Allusion à l’ancienne aventure : « fidèle chevalier », « vous avez été ennuyé ». ( Note

des genres propre au drame romantique qui mélange le comique et le tragique Claudio et Tibia : => bouffon Claudio => bourgeois, aucune remise en question 1) Exagération : disproportion entre acte et conséquence ( tuer Marianne à cause de son amant) 2) Complicité impossible ( Maître -Valet ) 3) Retournement d'une expression pour l'adopter à sa propre pensée PAS COMPRIS 4) Répétitions des mêmes formules grammaticales 5) Hypallage Claudio et Octave : Comique => Jeu sur le sens propre et figuré

I_Le portrait de Mme de Merteuil a. Une femme diabolique La marquise de Merteuil est un personnage phare de l'oeuvre. C'est une femme de caractère avec un esprit de décisions, dans ses lettres elle s'exprime par un ton catégorique, elle affirme. Elle est une libertine accomplie qui, dès son plus jeune âge, comprend que sa condition de femme est une faiblesse et fait d'elle une proie. Au fil des lettres, nous découvrons en Mme de Merteuil un personnage avide de revanche qui a très vite

puisqu'il sera son amant). Heathcliff fait preuve d'un grd stoïcisme : il résiste à la douleur, et semble insensible : il ne "donne pas le moindre signe de gratitude". Il donne des ordres. On l'a surnommé "suppôt de Satan" (Mlle Parker a un jour dit ça de Raines, plus d'une fois même elle l'a comparé au Diable). Heathcliff est orgueilleux et farouche. Certaines rumeurs courrent : "on eût dit, à cette époque, que ce graçon était réellement possédé de quelque esprit diabolique". Il est "pire qu'une

femme dotté d’une pur beauté, munie d’un « cœur à la blancheur des signe » et qui fascine « ces dociles amants ». Tandis que dans « Hymne a la beauté », la aussi la femme est décrite comme d’une pur beauté (« fée aux yeux de velours »v26 …) mais ici, Baudelaire est plus intrigué a savoir si cette femme est réel ou si elle a été envoyée des « abimes » ou de « l’enfer ». C’est une femme diabolique qui « marche sur de mort » et qui incite au péché. 3- Dans « Don Juan aux enfers », Baudelaire laisse

qu’elle n’est pas équilibrée. Elle se défoule et extériorise la colère qu’elle a en elle dans sa relation avec Laurent. « Elle pleurait, elle embrassait Laurent, elle continuait avec une haine sourde. » « Thérèse respirait fortement, elle serrait son amants à pleins bras, elle se vengeait, et ses narines minces et souples avaient de petits battements nerveux. » « Parfois elle était comme folle, elle délirait » La gravité, l’immobilité et le fait qu’elle ne parlait rarement et écoutait ce qu’on lui disait