Léonidas aux Thermopyles

chaque personnage soit représenté. Goût pour la physionomie avec des livres pseudo-scientifiques. Trait des personnages pour définir son caractère. David recherche des traits bien particuliers. => Léonidas aux Thermopyles en 1814. Commande du libre choix de David. C'est le sacrifice du roi de Sparte Léonidas contre l'armée Perse. Mais on n’est pas loin de la chute de l'empire. on voit ici une sorte de prémonition. Permet à David de représenter des soldats sur le modèle grec (totalement nu, armé d'un

leurs avancées dans les terres grecques. 2.2.1.1 La bataille du défilé des Thermopyles Encore une fois, comme durant la bataille de Marathon, le gros des Lacédémoniens étant retenus à cause des fêtes de Karneia et les autres Grecs étant retenus par les jeux olympiques ont pour conséquences que très peu de Grecs gardent les passages maritimes et terrestres au défilé des Thermopyles. C’est le roi de Sparte Léonidas qui était posté avec une armée dont les hommes provenaient de plusieurs cités différentes

prussienne[réf. nécessaire] et barre la route de Paris. Il exploite la difficulté du terrain en faisant barrer les défilés de l’Argonne par des paysans armés8. Son objectif est de faire des clairières de l'Argonne un Thermopyles de la France, mais « mais nous serons plus heureux que Léonidas »8. Il enjoint à Kellermann de l’assister depuis Metz[réf. nécessaire]. Kellermann se rapproche lentement[réf. nécessaire] et, avant qu’il n'arrive, l’armée coalisée passe par La Croix-aux-Bois, passage du nord de

d'où ils viennent et où il sont peuvent participer . III. Le cinquième siècle 1) Les guerres médiques La première = 490 = la bataille de Marathon , remportée par les Perses contre les Grecques La deuxième = 480 = bataille des Thermopyles , le roi spartiate Léonidas et 300 de ses soldats se sacrifient pour bloquer l'accès . 2) De l'alliance à l'empire Athénien 478= création de la ligue de Delos = alliance des cités grecques autour d'Athènes 454 = transfert du trésor commun

de l'Eubée. Sur le front terrestre, les Alliés avaient décidé d'envoyer une avant-garde commandée par la roi de Sparte Léonidas afin de suirveiller le défilé des Thermopyles, par lequel les Perses devaient obligatoirement passer. L'épisode, l'un des plus fameux et des plus loués de l'histoire grecque, ne fut pas un sacrifice inutile et glorieux. D'abord par le fait que Léonidas, sentant l'affaire perdue, renvoya l'essentiel des troupes péloponnésiennes, ensuite par le fait que les trois jours durant

inachevé (Louvre, Paris) 1800 Bonaparte au mont St Bernard(musée de Versailles) 1805 Le pape Pie VII (Louvre, Paris) 1805 - 1807 Le Sacre (Louvre, Paris) 1810 La distribution des Aigles (musée de Versailles) 1814 Léonidas aux Thermopyles (Louvre, Paris) Source : Jacques-Louis David.org Wikipédia Monsieur Biographie.com CDI (Encyclopédie)

Napoléon. Cette histoire qui commence, en quelque sorte, avec le tableau « L’Intercession des Sabines » qui, à la fin de la Révolution, marque l’achèvement des divisions entre les français et qui se poursuit ensuite, à la fin de l’Empire, avec « Léonidas aux Thermopyles », symbolisant la fatigue des héros, mais aussi, marquant le vieillissement d’un peintre, David, qui commence déjà à être sur le déclin et à être concurrencé par ses jeunes élèves, devenus eux aussi peintres officiels de l’Empire. »

effectifs, créé un bataillon d'élite, lui fait suivre un entrainement strict, la dote d'un armement moderne, et pose les fondements de la phalange macédonienne. Il étend rapidement son hégémonie sur la Grèce classique en battant d'abord Athènes aux Thermopyles en -352, puis en triomphant d'une coalition d'Athènes et de Thèbes à la bataille de Chéronée en -338, où le jeune Alexandre s'illustre à la tête de la cavalerie, exterminant le célèbre Bataillon Sacré de Thèbes. A l'issue de cette victoire, Philippe

d’une coalition panhellénique, contre l’empire perse de Xerxès. Sparte, cité la plus puissante, est désignée, naturellement comme ‘hégémon’. La puissance de l’armée spartiate est décisive dans les combats sur terre, comme aux Thermopyles (480) où le sacrifice du roi Léonidas et de ses 300 hippeis permet la retraite du gros des troupes. C’est surtout à Platée (479), que les lacédémoniens, commandés par Pausanias, soutiennent le choc le plus rude de la bataille, qui met un terme à la présence perse

Aussi les chefs grecs décident unanimement de quitter l’Artémision, d’autant que Léonidas est mort et que l’armée terrestre des cités grecques coalisées se retire vers le sud. La situation pour les Grecs n’est pas encourageante, comme le rapporte Diodore de Sicile. La défaite des Thermopyles, la soumission de la Béotie, la prise d’Athènes sèment le découragement dans les esprits. Cléombrote Ier, le frère de Léonidas et roi des Spartiates, ne songe qu’à protéger le Péloponnèse par la construction