Léon-Paul Fargue

Alphonse Daudet (1881), ou Verlaine (1874). Le Guide littéraire des passages de Paris[14], pour sa part, cite dans sa bibliographie une vingtaine d’auteurs majeurs du XXe siècle, parmi lesquels Breton (1928), Colette (1945), Blanchot (1948) ou Léon-Paul Fargue (1961). Nous en avons retenu quatre pour leur importance documentaire et leur valeur littéraire. Nous les abordons en suivant un ordre chronologique. Illusions perdues[15] d’Honoré de Balzac (1836-1843), Thérèse Raquin[16] d’Émile Zola (1867)

enthousiasme forcené, Ravel connaîtra Odilon Redon, l’œuvre de Nonell, les Histoires extraordinaires de Poe, ou Gaspard de la Nuit d’Aloysius Bertrand. Cet émerveillement quasi enfantin devant certaines œuvres, Viñes le conservera toute sa vie. Léon-Paul Fargue, écrira dans un hommage post-mortem : « Parmi ceux qui l’ont connu à tel ou tel moment de leur vie, qui pourrait résister à l’image d’un Ricardo volubile, emballé, sautant littéralement sur ses amis, les empoignant avec force

d'idée." [ Jean-Paul Sartre ] "Nous avons besoin d'hommes qui savent rêver à des choses inédites." [ John Fitzgerald Kennedy ] "Savoir si l'on aimerait mieux mourir de faim ou de soif est une question qui apparemment plaît toujours." [ Pierre Daninos ] "Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se disent "au revoir" au téléphone." [ Albert Willemetz ] "Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix." [ Benjamin Franklin ] "Bien mal acquis profite toujours à quelqu'un." [ Paul Léautaud ] "La

lorsque ces phrases ont un intérêt stratégique évident. Éviter les citations trop connues Certaines citations ont été tellement utilisées qu’elles sont devenues des « clichés ». Et de ce fait il n’est plus tellement opportun de les reprendre. Depuis Paul Valéry, nous savons tous que « le temps du monde fini commence ». Cette assertion est évidemment encore beaucoup plus vraie à l’ère de la mondialisation. Mais elle a été trop souvent citée à tort et à travers par des millions de candidats… Il en va

d'idée." [ Jean-Paul Sartre ] "Nous avons besoin d'hommes qui savent rêver à des choses inédites." [ John Fitzgerald Kennedy ] "Savoir si l'on aimerait mieux mourir de faim ou de soif est une question qui apparemment plaît toujours." [ Pierre Daninos ] "Je n'ai jamais compris pourquoi les gens se disent "au revoir" au téléphone." [ Albert Willemetz ] "Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix." [ Benjamin Franklin ] "Bien mal acquis profite toujours à quelqu'un." [ Paul Léautaud ] "La

étaient initialement prévus dans le projet présenté au concours de mai 1886, ayant été rejetés par le jury, Gustave Eiffel fait appel à trois nouveaux fournisseurs : Roux-Combaluzier et Lepape (devenus Schindler), la société américaine Otis et enfin Léon Edoux (qui a fait ses études dans la même promotion que Gustave Eiffel). Le fer puddlé de la tour Au pied de la tour Eiffel à Paris Le fer puddlé de la tour Eiffel a été produit dans les ateliers de Dupont et Fould de Pompey, en Lorraine.

sur lui une grande influence par sa défense de l’individualisme, qui lui fit connaître Schopenhauer et qu’il allait évoquer dans ‘’Les plaisirs et les jours’’. Il noua au lycée des amitiés fidèles avec des camarades qui étaient férus de littérature : Léon Brunschvig, Louis de La Salle, Abel Desjardins, Jean de Tinan, Jacques Bizet, Daniel Halévy, Fernand Gregh, Robert de Flers, Robert Dreyfus, Gaston de Caillavet ; ils commentaient passionnément les auteurs contemporains, France, Barrès, Dierx, Maeterlinck

has produced innumerable poets of the kind and quality of Pomairols. While discussing this period it occurs to me to ask: Where was the Prince of Poetry in those days? The God of the Closerie des Lilas, did he have no influence in America? I think Paul Fort is too intensely French to travel. In certain formal and syntactical ways, yes, but in any real sense, no. Amy Lowell wrote a book titled Six French Poets (Regnier, Samain, Spire, Fort, Jammes and Verhaeren). In it she pays tribute to Fort. She

l’auteur du livre des Actes des apôtres. Il a été le compagnon de l’apôtre Paul durant certains de ses voyages et son fidèle collaborateur7. Il est aussi appelé par lui « Luc, le médecin bien-aimé8 » (Col 4.14). Sa bonne pratique du grec de la koinè9, « a souvent fait penser qu’il était Grec10 ». Selon le texte de Col 4. 11, il serait d’origine païenne, puisque son nom ne figure pas parmi les compagnons circoncis de l’apôtre Paul. 2. Date et lieu de rédaction Nous ne pouvons pas dater le livre

diverses représentations d’où renait le cycle d’Ubu qui aura subi plusieurs retouches pour arriver à sa forme quasi-définitive. C’est alors que le Père Hébert devient le Père Ubu.     En 1891-1892, il est élève d’Henri Bergson et condisciple de Léon-Paul Fargue et d’Albert Thibaudet au lycée Henri-IV. Il échoue au concours d'entrée de l’École normale supérieure (trois échecs successifs suivis de deux échecs pour la licence en lettres). Par ses publications, Jarry rencontre Marcel Schwob (à qui est adressée