Leon Blum Accords De Munich

(journal socialiste français, crée en 1916, par des opposants à la guerre). Ce discours est prononcé par Léon Blum le 20 Septembre 1938, et nous décrit un homme partagé. En effet Léon Blum est “soulagé” d’avoir évité une guerre, mais à quel prix ? Le gouvernement français a donné son accord pour laisser la tchécoslovaquie, leur allié depuis de nombreuses années, à l’armée du Reich. Ainsi, Léon Blum se “[...] sens partagé entre un lâche soulagement et la honte [...]” Document 2. Ce document est

ou les grands magasins, des compagnies de théâtre (comme le groupe Octobre de Jacques Prévert) jouent des pièces. On compte 12 000 grèves, dont 9 000 avec occupation, entraînant environ 2 millions de grévistes. Malgré les paroles rassurantes de Léon Blum, le climat qui règne alors en France a des connotations clairement révolutionnaires. Peu ou pas encadré par des organisations politiques ou syndicales, le mouvement trouve des causes multiples et fortement localisées, mais a aussi un côté festif

elles auraient dû faire preuve sur le plan extérieur pour empêcher la marche triomphale des dictatures à partir de 1935 ? I - Les causes de la politique de l'appeasement II - La pente de l'appeasement : les étapes jusqu'à la conférence de Munich III – Munich (septembre 1938), apogée de l'appeasement I - Les causes de la politique de l'apaisement - Politique de l'apaisement comme ligne de politique extérieure est à replacer dans le contexte général des démocraties dans les années trente  développement

Blum face à la conférence de MunichLors de la signature des accords de Munich (fin septembre 1938), Léon Blum n'exerçait aucune fonction gouvernementale. Il était président du groupe SFIO à la Chambre des députés et principal éditorialiste du journal Le Populaire. Son attitude a longtemps été controversée : il est tantôt qualifié de munichois, tantôt (le plus souvent) d'antimunichois. Il apparaît aujourd'hui comme acquis qu'étant intimement opposé aux accords, il a cédé à l'ivresse générale qui s'est

a)-Un gouvernement qui illustre la volonté de changement. Le 4 juin Léon Blum forme son gouvernement. Il a appelé des femmes: Mme Brunschvicg -la femme du philosophe-, sous-secrétaire de Etat à l’Education; Irène Joliot-Curie, sous-secrétaire d’Etat à la Recherche scientifique; Suzanne Lacore, sous-secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance. Il crée un sous-secrétariat d’Etat aux Sports et aux Loisirs qu’il confie à Léon Lagrange (SFIO). Jean Zay a en charge le portefeuille de l’Instruction

du député Stavisky, les ligues manifestent devant l'assemblé pour essayaient de faire tombé la République . Cela fini par une émeute . 3 Formation du Front populaire Voient dans les émeutes de -PS ( Partie Socialiste) avec Léon Blum Février 1934 une tentative pour -PC (Partie Communiste) renverser la République -PR (Partie Radical) avec Edouard Daladier →Il faut s'unir pour faire front commun. →Création du Front populaire. Leurs buts

(protectionnisme très marqué), chute de la production, chômage… le succès des nazis aux élections de 29 renforce les inquiétudes et accélère le retrait des capitaux étrangers, qui accentue la dépression et renforce Hitler - l’Allemagne nazie : politique qui accorde une place démesurée à la production de biens non consommables (armes, infrastructures) et qui se traduit donc nécessairement par un recul de la consommation (baisse des salaires réels et baisse en part du revenu national) ; si l’on veut finir par

victoire du front populaire 369 député contre 236 pour la droite, le président de la république désigne donc León devient président du conseil, avant même la formation du gouvernement un mouvement de grève déferle en France. 2) l’été 1936 : En France il y a deux millions de grévistes. Ces grève sont particulaires elles ce déroulent dans une ambiance de fête « grève de la joie ». Léon bloum compose un gouvernement qui ne comprend pas de ministre communiste car ces derniers décident de na pas participé

le SFIO et le Parti communiste. Le 12 février 1934, une manifestation est organisée avec ces 3 partis. Les élections d'avril et mai 1936 apporte à alliance politique du front populaire la majorité. On parle du gouvernement du front populaire. Léon Blum, un socialiste, devient président du conseil. II- Le front populaire: 1) Une situation politique et sociale nouvelle: C'est la première fois qu'un socialiste obtient le poste de président du conseil. Un gouvernement se forme avec des ministres

remporte la majorité absolue à la chambre des députés. La SFIO obtient le plus de sièges, c'est donc son dirigeant, Leon Blum, qui devient le Président du Conseil.  Il instaure une politique de gauche. Des grèves spontanées sont déclenchées, avec occupation des lieux de travail. Léon Blum organise des négociations entre le patronat et la CGT, le syndicat ouvrier. Ils signent les accords Matignon le 7 juin 1936: augmentation des salaires, liberté syndicale, délégués du personnel, conventions collectives…