Leon Blum Accords De Munich

populaire (1936-1938) A) La formation Les partis démocrates réagissent en 1934-1935. En mai 1936, il y a de nouvelles législatives et c’est la victoire du Front populaire. Léon Blum est le président du conseil. Il y a de grandes grèves avec des occupations d’usines. B) Les réformes du Front populaire Le 7 juin 1936, c’est les Accords de Matignon avec une augmentation de salaire, droit syndical reconnu plus des grèves, conventions collectives, délégués du personnel. Ils sont complétés par des lois sociales

rencontre des difficultés en son sein. (c'est très mal dit, ne vous inquiétez pas, je reformulerai quand Camille m'aura envoyé sa partie) III.La fin du Front populaire. A. La chute de Léon Blum. Premièrement la guerre en Espagne qui éclate dès juillet 1936 met à l'épreuve la détermination du Front Populaire. Blum désire venir en aide a la rep espagnole et se heurte a l'opposition de la plupart des ministres radicaux et d'une partie des socialistes qui redoutent que l'intervention ne conduise

communiste, SFIO et radicaux) obtiennent la majorité absolue à la Chambre des députés. Avec 147 élus, les députés de la SFIO sont les plus nombreux et pour la première fois un socialiste, Léon Blum (chef de la SFIO), devient le Président du Conseil d'un gouvernement formé de socialistes et de radicaux. Léon Blum vient de former un nouveau gouvernement, que les communistes soutiennent au parlement mais auquel ils ne participent pas. À l'annonce de la victoire du Front populaire, un vaste mouvement

1934, un accord est conclu entre la SFIO et le PCF et rejoint par la Parti radical en 1935. Le Front populaire est né. En janvier 1936, un programme commun est présenté, adoptant pour mot d’ordre : « le pain, la paix et la liberté ». II- L’ŒUVRE DU FRONT POPULAIRE : ENTRE ESPOIRS ET DESILLUSIONS A- UNE VCTOIRE PLEINE D’ESPOIRS Les élections législatives de mai 1936 sont un triomphe pour la gauche. La SFIO devient le premier parti de l’Assemblée nationale avec 180 députés. Léon Blum est nommé

travail et de manifestations. Dès le 7 juin au soir, Léon Blum réunit à Matignon les représentants des travailleurs et les responsables patronaux. Dans la nuit, les accords Matignon sont signés. Ils prévoient une hausse des salaires de 12 % en moyenne (15 % pour les plus bas, 7 % pour les plus élevés), la reconnaissance du droit syndical et l’institution de délégués du personnel dans les établissements de plus de dix salariés. Les accords Matignon n’entraînent pas immédiatement la fin des grèves

cru à un coup d'Etat fasciste... Du coup, ils forment une coalition politique pour faire face à la crise autour de deux piliers : l'antifascisme et les progrès sociaux. Le 14 juillet 1935, les trois partis défilent en suivant Daladier les radicaux), Blum (SFIO) et Thorez (les Communistes). Cette manifestation regroupe 500 000 français. C'est la naissance du Front Populaire. Leur but est de gagner les élections législatives de 1936. Ils adoptent un slogan "Pain, Paix et Liberté". Ils veulent lutter

grandissante les partis de gauche se rassemblent. Léon Blum, Maurice Thorez et Daladier vont s’unir pour lutter contre les fascistes. Les communistes du PCF s’allient avec les socialistes du SFIO et les radicaux. Au lendemain des manifestations anti fascistes et de défense de la république du 12 février 1934, ils constituent le Front populaire, autour du programme électoral « pain, paix et liberté ». Ils y défendent les valeurs de la démocratie. Ainsi, Léon Blum soutenu par les communistes, remporte les

la position de Maurras relative aux accords de Munich ne l'en éloigne. Ainsi, Paul Reynaud, qui rencontra en captivité en Allemagne la sœur du général de Gaulle, Marie-Agnès Caillau, note dans ses carnets de captivité parlant de cette dernière30 : « Très franche, intelligente et bonne, [elle] nous raconte que Charles était monarchiste, qu'il défendait Maurras contre son frère Pierre jusqu'à en avoir les larmes aux yeux dans une discussion. Mais au moment de Munich, il a désapprouvé entièrement l'attitude

-Manifestation des ligues d’extrême-droite : 6 février 1934 -Le Front populaire au pouvoir(gouvernement de L. Blum) : mai 1936-juin 1937 -Accords Matignon : Juin 1936 -Hitler chancelier : 30 janvier 1933 -Lois de Nuremberg : Septembre 1935 -Nuit de cristal :10 novembre 1938 -Anschluss : mars 1938 -Annexion des Sudètes : septembre 1938 Connaître les personnages essentiels -Léon Blum : Chef de la SFIO(Section Française de l’Internationale Ouvrière), il est président du conseil de mai 1936 à

de Feu. Formation et victoire du Front Populaire Le 6 février 1934, les Ligues d'extrême droite manifestent à Paris et se rendent devant l'Assemblée Nationale. Cette tentative de coup d'Etat fasciste provoque la mobilisation de la gauche : Léon Blum pour le parti socialiste (SFIO), Maurice Thorez pour les communistes (SFIC) et Edouard Daladier pour les Radicaux (centre) forment le Front Populaire, une alliance électorale, qui remporte les élections législatives de mai 1936, en promettant du