Légat apostolique

Siège dans l’ordre international Ces prérogatives sont liées à la personnalité international du Saint siège comme toute personne juridique de droit international. A / La reconnaissance du droit de légation du Saint Siège Le pape envoie des légats c’est à dire des représentants à travers le monde. Il est ainsi depuis très longtemps. Ce droit de légation on le justifie par le fait que le pape est la personnalité internationale. La France reconnaît le droit de légation du saint siège, envoie

Les autres provinces (les 3 Gaules) dépendent directement de l’Empereur qui nomme un légat. Chacune d’elle a aussi un gouverneur qui réside à Lyon, Reims et Sainte (puis Bordeaux). Lyon obtient un statut particulier de capitale fédérale (carrefour des Gaules) des 3 Gaules. Lyon devient un centre administratif et religieux. Les 2 provinces de Germanie sont gérées et gouvernées par des magistrats (les légats consulaires) qui sont avant tout des chefs militaires (menace d’invasion étrangère).

autres provinces (les trois Gaules) dépendent directement de l’Empereur, qui nomme un légat. Chacune d’elle a aussi un gouverneur qui réside à Lyon, Reims et Sainte (puis Bordeaux). Lyon obtient un statut particulier de capitale fédérale (carrefour des Gaules) des trois Gaules, en plus de devenir un centre administratif et religieux. Les deux provinces de Germanie sont gérées et gouvernées par des magistrats (les légats consulaires) qui sont avant tout des chefs militaires (menace d’invasion étrangère)

autres provinces (les trois Gaules) dépendent directement de l’Empereur, qui nomme un légat. Chacune d’elle a aussi un gouverneur qui réside à Lyon, Reims et Sainte (puis Bordeaux). Lyon obtient un statut particulier de capitale fédérale (carrefour des Gaules) des trois Gaules, en plus de devenir un centre administratif et religieux. Les deux provinces de Germanie sont gérées et gouvernées par des magistrats (les légats consulaires) qui sont avant tout des chefs militaires (menace d’invasion étrangère)

maintint les Hébreux parmi les peuples : ce fut l'élaboration du Talmud, la domination et l'autorité des docteurs qui enseignèrent une prétendue tradition, mais cette 1. Code Théod., 1. II, t. VII, § 2.--Code Just., 1. I, t. IX, § 2. 2. PHILON, Legat. a Cai. 3. Dig., 1. I, t. III. § 3. (Décisions de Septime Sévère et de Caracalla.) 8 action des docteurs, sur laquelle nous reviendrons, fit aussi des Juifs les êtres farouches, peu sociables et orgueilleux dont Spinoza, qui les connaissait

va bcp inspirer les légistes A. la volonté codificatrice Le décret de Gratien ( ?) = environ 4000 textes, peut être considéré comme une œuvre de codification. Il contient : les Ecritures saintes (ancien et nouveau testament), les canons apostoliques (textes composés fin 2e qui définissent la discipline des chrétiens et une partie du dogme, et qui se réclament des apôtres), les canons des conciles, les décretales ( ?) (= textes rédigés par le pape lui même) et en outre la « patristique » ( 

archevêque qui ont une véritable jur° sur les évêques de leur province. En tant que délégué du St Siège, ils reçoivent de la papauté une insigne spéciale, le pallum cad une écharpe de laine blanche marquée de crois noires, c'est le signe de l'autorité apostolique. L'archevêque est alors qualifié pour recevoir les appels des sentences rendus par les évêques de la province. B – L'évêque Comme à l'époque romaine, l'évêque est tjrs à la tête d'une cité cad à partir du 5ème s, à la t^te d'une ville épiscopale

jamais rien passé ; et la bataille de Tagliacozzo (1268), où Charles Ier vainquit Conradin, fils de Manfred, grâce surtout aux sages conseils d'Alard de Valéry. – 245 – 259 Dolcino Tornielli, de Novare, second chef de la secte des Frères Apostoliques, fondée en 1260, et dont le premier chef, Gerardo Segarelli, avait été brûlé vif en 1296. Cette secte, qui prêchait la communauté des biens et des femmes, s'était fortifiée dans le Piémont, où Dolcino fut poursuivi et assiégé ; mais seul le manque

sévérité extraordinaire et féroce terminée (on sait que, lorsqu'ils manquaient de bandits à exterminer, les légats de Sixte-Quint et ses gouverneurs faisaient couper dans les cimetières les têtes des morts de bas étage et les expédiaient à Rome comme si c'étaient des têtes de malfaiteurs suppliciés), à peine Sixte V mort, tous les chefs de bande qui avaient échappé aux recherches des légats pontificaux reparurent comme par enchantement : Sacripante dans les Maremmes, Battistella dans le Latium, Piccolomini

( d’où leur désignation d’« Albigeois » ), fut combattue par l’Eglise par divers moyens : d’abord par la prédication des moines et par l’inquisition épiscopale ( la juridiction ordinaire de l’évêque ou « Ordinaire » ), puis, après l’assassinat du légat du pape en 1208, par la croisade, dirigée par Simon de Montfort, qui battit le roi d’Aragon et le comte de Toulouse. Les hostilités provoquèrent l’intervention armée du roi de France Louis VIII ( 1226 ). Le traité de Paris, en 1229, entérina le rattachement