Le Violon D Ingres

c’est ce qu’il confirme ds la poétique en affirmant que les arts « sont tous d’une manière général des imitations ». Pendant des siècles la haute fidélité de l’art était d’imiter la nature (ex Zeuxis . Ainsi Ingres affirme que « l’art n’est jamais plus parfait que quand on peut le prendre pr la nature elle-même. Texte5 p223, Léonard De Vinci. « La peinture la plus digne d’éloge est celle qui a le plus de ressemblance avec ce qu’elle imite » Texte15 p223

finalité logique. - opposé à la nature, conçue comme puissance produisant sans réflexion . L’art imitera la nature. La technique dans l'art : - ensemble de procédés exigés pour l'emploi de certains instruments ou matériaux (ex : la technique du violon) - ensemble des procédés relatifs à une certaine forme d'art (ex : la technique du style gothique). Les activités de l’artisan ou de l’artiste sont confondues sous ce terme jusqu’au dix-huitième siècle. Mais l'art est un dépassement de la technique

développe en parallèle avec le néoclassicisme (mouvement littéraire et artistique du début du XIXème siècle qui s’est inspiré des styles de l’Antiquité). Apparition du paysage en tant que reflet de l'âme par exemple le tableau de Jean Auguste Dominique Ingres: Songe d'Ossian (1819). Deuxièmement, l'apogée du romantisme (1820-1850): la France est le pays le plus puissant au niveau romantisme picturale, et à ce moment-là la société se sent en crise. Cela se ressent alors dans les toiles, comme par exemple

artistes les plus complexes du 19 e siècle. Il s’impose comme u homme libre, dont l’œuvre milite pour donne à l’artiste une place centrale dans la société de son temps. Il apporte une contribution décisive au réalisme des années 50 en bousculant le duo Ingres/Delacroix. Il voulait purger l’art de l’académisme qui se veut classique. Sa protestation contre le goût officiel au second empire en fait le personnage centrale de le peinture des années 50-60. Son œuvre a servis de référence aux artistes indépendants

faisant quand même cette association! ! *…..*! *…..*! Mêmes types de portrait => inachevé chez david! Diadème comme femmes de l’antiquité! Première comme prise sur le vif! seconde est plus frontale, posée! ! Jean-Auguste Dominique Ingres! ! *Portrait de Napoléon sur le trône impérial*! Très frontal! Pas très apprécié à l’époque=> critiqué car très statique dans l’oeuvre de l’auteur! Jeux avec les diagonales! Bcp de symboles de pouvoir, il joue avec (ex: madonne et main de

(XVIIIème-XIXème siècle) Allegret, Eliane. Turner [Livre]. Nouvelles éditions françaises, 1981. Direction des musées de France. Voir et découvrir Turner [Livre]. Ministère de la Culture, 1985. w Un dessin à la mine de plomb de Jean Auguste Dominique Ingres (XIXème siècle) Pas de référence disponible actuellement. 4 w Un dessin au fusain de Georges Seurat (XIXème siècle) Etude pour le chahut ; Au concert. In Cogeval, Guy. Les Années post-impressionnistes [Livre]. Nouvelles éditions françaises

répondre à son énigme. Dans ces dernières représentations, Oedipe paraît plus orgueilleux, il domine un peu le Sphinx, par sa beauté, et sa carrure : il est représenté comme un macho, qui serait plus courageux que tout homme, comme nous le montre Ingres, qui ajoute à la scène un homme effrayé par la créature qui souligne la bravoure d'Oedipe. Il comprenait enfin. « Tout était vrai. Pour moi le jour va maintenant se changer en nuit. Je suis maudit. » Il avait tué son père, épousé la femme de son

début de l’année 1907. Beaucoup de travaux préparatoires. Dynamisme de la touche. Finitions différentes. Séparation des plans. Influences : Les grandes baigneuses de CEZANNE et La joie de vivre MATISSE. DERAIN. Série des scènes de Bordel (depuis Ingres, le bain turc, 1905 : rétrospective d’Ingres, Olympia de Manet en 1905 au salon d’automne) Matisse est dans la recherche de la couleur et Picasso utilise la couleur comme le moyen d’une construction spatiale. Il répond au tableau de Matisse en éliminant

Gouthière, Pierre (orf) Greuze, Jean-Baptiste (pt) Gros, Antoine-Jean (pt) Guérin, Baron Pierre Narcisse (pt) Guersan, Louis (lut-v) Hepplewhite, George (éb) Hope, Thomas (his, éb) Houdon, Jean Antoine (sc) Huet, Jean-Baptiste (pt, déc, tex) Ingres, Jean Auguste Dominique (pt) Jacob (Jacob-Desmalter), François-Honoré (éb) Jacob, Georges (éb) Kent, William (arch) Ledoux, Claude-Nicolas (arch) Lelarge, Jean-Baptiste III (éb) Leleu, Jean-François (éb) Le Lorrain, Louis-Joseph (pt, déc)

de musique, Ambroise Thomas apprend la musique avec son père (piano et violon) en même temps que l’alphabet ! Sa mère devenue veuve l’emmène à Paris en 1827. Ambroise fait alors de brillantes études musicales au Conservatoire de Paris couronnées par le 1er Grand Prix de Rome obtenu en 1832 avec la cantate Herman et Katy. Il compose surtout de la musique de chambre. Après son séjour à la Villa Médicis où il rencontre Ingres, il voyage en Europe. Selon les souvenirs de Léon Escudier « ce svelte