Le Village des ombres

grand jour du mariage. Les circonstances de leur rencontre sont ensuite racontées : vingt ans plus tôt, alors que Tsongor est un jeune homme conquérant (veroveraar) qui consacre son temps aux guerres et aux pillages (plundering), il arrive dans le village des Rampants. Katabolongo, dernier survivant, se présente au roi en lui disant qu'il mérite la mort parce qu'il lui a volé ses biens et ses terres. Tsongor déclare qu'il arrête la guerre, accepte la sentence tout en proposant à Katabolonga de devenir

» d' Émile ZolaL.8 à 21 : observez comment s’organise la description. Quels lieux sont successivement décrits par le narrateur ? Les différents lieux sont: le moulin, élément central de la description auquel viennent s'ajouter les descriptifs du village ainsi que sa périphérie (nature verdoyante). De plus, le narrateur fait une description du temps permettant ainsi de donner vie au décor mais aussi de le rendre plus chaleureux et accessible au lecteur. L.10 à 21, relevez les différents adjectifs

l’année 1784. Fantôme d’amour Je me composai donc une femme de toutes les femmes que j’avais vues : elle avait la taille, les cheveux et le sourire de l’étrangère qui m’avait pressé contre son sein ; je lui donnai les yeux de telle jeune fille du village, la fraîcheur de telle autre. Les portraits des grandes dames du temps de François 1er, de Henri IV et de Louis XIV, dont le salon était orné, m’avaient fourni d’autres traits, et j’avais dérobé des grâces jusqu’aux tableaux des Vierges suspendues

des chevaux et des taureaux qu'une femme, tendant au bout de son bras une lampe à pétrole, chasse de la place du village par ses cris. Je pense que picasso représente par le noir et le blanc les photos des camps de concentrations et autres malheur de guerre. La mère qui tient son enfant mort renvoie au tableau du « Massacre des innocents » de Nicolas Poussin. En arrière plan, des ombres semblent représenter des maisons, sans sortir de l’abstraction. En bas du tableau l’homme terrassé tiens une fleur

Ayant pour but de me changer les idées , j’allai dans un troquet du cente-village . J’en poussai la porte , me dirigeai directement au bar afin de m’assoir sur un de ces hauts tabourets bancals et poisseux ,et commandai un Whisky . Je remarquai que la salle était essentiellement occupée par des hommes âgés , tous avachis sur leur table .Un énorme billard ,au tapis déchiré, trônait au milieu de la pièce . Mes voisins du bar étaient ivres , les autres fixaient la télévision : une activité qui me semblait

LE MESSAGER Maxime Chattam © Maxime Chattam. Tous droits réservés. Juillet 2001. 1. A courte distance de l’océan, au milieu des hautes herbes or et émeraude, un village est niché dans le bras chaud d’une colline, lové contre sa paroi, presque roulé en boule, il dort face à la lande. Les habitations y sont modestes et se ressemblent : quelques fenêtres de toile, des portes de bois, et des toits de chaume, rien de plus. Ce matin-là, juste avant l’aurore, une silhouette se déplia avec

fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d’usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur

Lors vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de « Ronsard » ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom, de louange immortelle. Je serai sous la terre et fantôme sans os ; Par les ombres Myrteux je prendrai mon repos ; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour, et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain ; Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. VICTOR HUGO (1802 – 1885)

avant d'avoir grandi. lui et marques étaient dans le parc et marques allait tenter sa chance avec Elisabeth. Il a dû rester sur place et Yves (le jardinier) est venu s'excuser du départ de son papa. il n’avait pas fait la couverture du journal du village. Le père d'Yves l'avait abusé et avait commis l'adultère. Tout comme mon papa. Ma mère a trouvé du rouge à lèvres rouge et ils se sont disputés toute la nuit. Je me suis fait un nouvel ami Yves. peu importait qu'il ait 30 à 40 ans de plus. Au 6C tout

Bénissant votre nom de louange immortelle. Le temps s’en va, le temps s’en va, ma dame ; Je serai sous la terre, et, fantôme sans os, Las ! le temps, non, mais nous nous en allons, Par les ombres myrteux je prendrai mon repos : Et tôt serons étendus sous la lame ; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Et des amours desquelles nous parlons, Regrettant mon amour et votre