Le Vieux Saltimbanque Beaudelaire

pour le vieux saltimbanque. Les deux parties sont opposées point par point.   a) De la foule à la solitude ‐ Le poème met en scène le resserrement de la focalisation. Pluriel au début qui renvoie à des types d’artistes (Les queues‐rouges ; Les Jocrisses ; Les Hercules ; les danseuses) ou singulier collectif (le peuple, l.1) ou encore emploi de singulier à valeur généralisante : « L’homme du monde » l. 8, « l’homme occupé de travaux spirituels » l.8.   Au contraire le vieux saltimbanque est un

tiraillé entre le spleen [humeur dépressive] et l’idéal.Le poème « L’Albatros » est le 3ème poème de la première section « Spleen et Idéal » des « Fleurs du mal ». Dans ces quatre quatrains en alexandrins à rimes croisées, Beaudelaire nous décrit la rencontre brutale entre des marins et des albatros.LECTUREVoyons comment dans ce poème Baudelaire utilise la figure de l’Albatros comme le double du poète au sein de la société. Il est structuré en 3 parties : · Le premier

la pomme de leurs mâts."Jules et son frère qui deviendra plus tard officier de marine sont attirés et fascinés par ce monde de l’aventure. Dans les greniers de la maison familiale, ils découvrent des trésors : papiers, objets étranges, pacotilles, vieux uniformes, lunettes, sextants… Leur oncle Prudent qui deviendra uncle Prudent, un des protagonistes de Robur le Conquérant les abonde de récits de voyages qui nourrissent leur imagination. Toute sa vie, Jules Verne aimera la mer, la navigation, la

la deuxième strophe, une équivalence entre l'écrivain et la prostituée. Cf. aussi la deuxième strophe de Au Lecteur. 174. Vents du Nord. 175. Cf. n. 165. 176. Cf. le poème en prose Le Vieux Saltimbanque (Le Spleen de Paris, Pl. I, p. 295), et plus généralement J. Starobinski, Portrait de l'artiste en saltimbanque, Skira, 1970. 177. Appas: cf. L'Idéal (poème XVIII), v. 14. 178. Titre probable, au moins en 1850: Le Tombeau vivant. 179. Allusion à l'une des fresques du Campo Santo de Pise, Le Triomphe

de l’empire Romain, les foires vont devenir des lieux de prédilection pour les troupes saltimbanques qui y trouvent un public et quelques subsides financières. Mais le cirque dans son acceptation moderne – une piste circulaire ou sont présentés des acrobates, des clowns et accessoirement des animaux dressés – est réellement né au 18ème siècle. Issu à la fois de l’académisme équestre et des pratiques saltimbanques en vigueur sur les champs de foire, il se codifie en quelques décennies et offre, au début

dans la tragédie : Qui ça ? Monsieur ? Il va pester un peu, trépigner ; il contera la mésaventure au capitaine général sans manquer un seul détail ; il accablera le maire mais aussi ses compères le chanoine, l'officier des vivres et les vieux maîtres de manège ; ils feront mille procès pour nous trouver43 ; sans succès. Pendant que, nous autres, nous serons en Flandres, en toute sécurité. De là vous lui écrirez, et Monsieur commencera à s'apaiser ; après neuf mois, qu'il apprenne