Le Vieux Fusil

cousine, en échange du pécule qu’elle lui offre, et part chercher fortune aux Indes, laissant son amante seule. Un soir, le ton devient orageux entre l'avare et sa fille; la mère, alarmée, tombe malade et meurt au bout de quelques mois. Grandet, très vieux, meurt lui aussi peu après, poursuivi par sa passion de l'or jusque dans l'agonie; il laisse un énorme héritage à sa fille. Charles revient d'Orient où il a fait fortune par des moyens peu orthodoxes et ne s'intéresse absolument plus à Eugénie. Il

dans sa ville Paris, mon cœur, trois ans vainement fusillé ! Heureuse et forte enfin qui portez pour écharpe Cet arc-en-ciel témoin qu’il ne tonnera plus, Liberté dont frémit le silence des harpes, Ma France d’au-delà le déluge, salut ! Le musée grevin, louis aragon 1943 Louis Aragon écrit le poème « Strophes pour se souvenir », dans lequel il rend hommage à ces résistants « étrangers » arrêtés par les Allemands et fusillés le 21 février 1944. Onze ans après la fin du conflit

Lettre du lieutenant Charles de Gaulle à sa mère, le 20 novembre 1914. In Istra, Multilivre CE2, 1994. Extrait d’un journal de guerre d’un soldat en 1914 « A 7 heures, la relève arrive ! Mais en sortant des tranchées, nous sommes fusillés comme des lapins. Notre camarade Fersit est tué raide. Revenons en arrière. Toute la journée, ça tire et à la tombée de la nuit surtout où l’ennemi nous reprend sa tranchée. Canons, mitrailleuses, charges à la baïonnette, rien ne manque et nous perdons

semblaient endormis et couchés.Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quêteA regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,Lui que jamais ici on ne vit en défaut,A déclaré tout bas que ces marques récentesAnnonçait la démarche et les griffes puissantesDe deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.Nous avons tous alors préparé nos couteaux,Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,Nous allions pas à pas en écartant les branches.Trois

ne bruissait donc lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant; bientôt, Lui que jamais ici l'on ne vit en défaut, 20 A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçaient la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, 25 Nous allions pas à pas

mouvement pacifiste et nous transmettent un mème message ,celui de l'unité d'un peuple face à un ennemi commun , jusque dans le sacrifice . Dans l'oeuvre de Goya il mets en scène ce sacrifice par un homme en blanc sans armes qui est prét à se faire fusiller par des soldats. Dans celle de boris Vian , ce sacrifice est exprimé au trois derniers vers , le déserteur annonce au président “prévenez vos gendarmes que je n'aurai pas d'armes et qu'ils pourront tirer “ . On peut aussi leur assimiler le fait

garçon est décrit avec des détails tellement précis que ça en devient pittoresque. Nous apprenons donc qu'il est vétu de pauvres habits "Un jeune homme, aussi pauvre d'habits que riche de mine " (l.13-14) , qu'il pratique le braconage "portait un grand fusil sur son épaule, dont il avait assassiné plusieurs pies, geais et corneilles " (l.16-17) Les figures de l'ordre sont nommés soit par "canaille" (l.35) ou soit par " bourgeois" (l.35) ou " honorables bourgemestres" (l.36-37) qui montrent une opposition

3ème DP 6H : Comment et pourquoi les personnages des nouvelles de Paule du Bouchet sont-ils transformés par la guerre, dans leur vie et dans leur personnalité ? LES CENTRES D’INTERET DU RECUEIL  Des personnages représentatifs d’une société : - Un vieux paysan: le Père Florent ; - Des jeunes femmes : Juliette, vendeuse dans un grand magasin parisien ; Rose, sage-femme de son village ; - Des enfants et des adolescents : François, jeune paysan ; Pierre, Jean et Lucien : lycéens parisiens; Manuel et

de violence, comme on peut le voir à la page 24 : « Mon frère ignorait autant que moi si nous avions assez de sous parce que notre père ne nous amenait jamais avec lui au village pour acheter des provisions à cheval. Il en revenait toujours en beau fusil. Nous n'aimions pas cela, il nous flanquait des horions ». De plus, son ignorance face au monde réel est une fois de plus montré par l'éducation religieuse dans les livres saints que son père l’obligeait à relire et à retranscrire à chaque jour depuis

donner les deux cents pistoles » que les deux valets cherchaient à lui extorquer… C’est le stratagème, tant de fois repris dans les comédies de Molière et si efficace, du jeune amoureux qui s’introduit déguisé chez sa belle, sous les yeux même du vieux père : Cléonte, amoureux de Lucile, fille du Bourgeois gentilhomme réussit, déguisé en Turc, ainsi à épouser la jeune fille. Dans Le Malade imaginaire, la servante Toinette fait passer Cléante pour un envoyé du maître de musique, venu donner, à