Le Vieux Fusil

courte, répétée, déchirante et la petite bête épargnée se mit à tourner dans le ciel au-dessus d’eux en regardant sa compagne morte qu’il tenait dans ses mains. Karl, le fusil à la main, le guettait, attendant qu’il fût assez proche. Il ne s’en allait pas, il tournoyait, et pleurait autour d’eux. Il s’enfuyait sous la menace du fusil. Il semblait vouloir continuer sa route seul mais ne pouvant décider il revenait pour chercher sa femelle. Quelques minutes plus tard, Karl le tua. Ce fut comme si il avait

garde vieux, sang de gauche ». Ainsi le respect se montre non seulement parmi les hommes mais aussi envers le sang versé pour leur cause commune. C’est d’ailleurs un objet de fierté et l’on observe dans chez certains personnages une certaine adoration pour les blessures de guerre : les blessés qui ne changent pas leur bandeaux ensanglantés par exemple sont bien « trop heureux de leur sang » pour tenter d’en changer. Cela explique aussi le geste d’un paysan qui use du sang des ennemis fusillés pour

Le vieux qui lisait des romans d’amour, de Luis Sepulveda. | Le cadavre d'un homme est retrouvé sur une pirogue, en pleine forêt amazonienne, et les habitants d'El Idilio accusent aussitôt les indiens. Antonio José Bolivar reconnait pourtant là l'œuvre d'un félin. Ce passionné de romans d'amour va s'enfoncer dans la forêt, à la poursuite de la bête. ------------------------------------------------- Résumé Antonio José Bolivar Proaño vivait dans une ville de la Cordillère des Andes. Mais, pour

figure de style, nous allons donc les travailler afin de comprendre les sentiments de l’auteur face à ce qui l’écrit. Dans le premier vers on relève une métaphore « les crachats rouges de la mitraille » ; « la mitraille » représente ici les coups de fusil donc la guerre, et « les crachats rouges » qui représentent la blessure humaine, le sang qui coule, les morts au combat. On a donc a guerre qui est comparé grâce à la métaphore au mort. On a ensuite une deuxième métaphore au vers 4 : « Croulent les

soleil d'hiver éclaire la colline Que la nature est belle et que le coeur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur coeur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant. Louis Aragon, Le Roman Inachevé

Messieurs-les-Administrateurs coloniaux ! Mais il arrive que les dieux se fâchent… La drôle et triste histoire du soldat Banana de Biyi Bandele-Thomas 1944. A peine sorti de l'enfance, le fantasque et fanfaron Ali Banana quitte son Nigeria natal pour rejoindre, fleur au fusil, une unité spéciale de la Royal West African Army : la " Brigade Thunder ", improbable commando de bras cassés créé par un colonel dément et chargé de décimer l'ennemi au fin fond de la Birmanie. Notre jeune Candide va faire son voyage qu bout de la

Huit clos : ANALYSEHuis clos est une pièce de théâtre comique en un seul acte écrite par Jean-Paul Sartre vers la fin de 1943.Cette pièce est présentée pour la toute première fois en mai 1944 au théâtre du Vieux-Combier à Paris.Au début du XXe siècle, le mouvement littéraire de l’existentialisme apparaît, cette pièce est symbolique de ce mouvement littéraire où l’être humain est défini par ses propres actes.À cette époque, Sartre a l’impression d’avoir écrit une pièce comique avec pour but de faire

bâton ferré, Quand l'altier Winckelried, ouvrant ses bras épiques, Meurt dans l'embrassement formidable des piques, Quand Washington combat, quand Bolivar paraît, Quand Pélage rugit au fond de sa forêt, Quand Manin, réveillant les tombes, galvanise Ce vieux dormeur d'airain, le lion de Venise, Quand le grand paysan chasse à coups de sabot Lautrec de Lombardie et de France Talbot, Quand Garibaldi, rude au vil prêtre hypocrite, Montre un héros d'Homère aux monts de Théocrite, Et fait subitement flamboyer

Un mendiant nommé Tellmarch reconnaît immédiatement le marquis comme étant son ancien seigneur. Il lui sauve la vie et l'héberge dans sa modeste cachette. Le lendemain, le marquis découvre une troupe de 7000 Vendéens (royalistes) qui viennent de fusiller la moitié du Bataillon du Bonnet Rouge et font prisonnier les enfants. La troupe se soumet au marquis, convaincue de sa grande valeur militaire. Peu après, Tellmarch vient en aide à Michelle Fléchard grièvement blessée, mais en vie. 2ème Partie

Dictées de groupes de mots (pour le maître) Dictée n° 1 [ ] • Marc est tellement mignon qu'il a reçu une belle récompense. • Je conserve mes vieux souvenirs au grenier. Dans une malle, j'ai même la trompette de mon grand-oncle. • Assise dans la forêt, Mélanie admirait le tronc des bouleaux, tout en jouant avec son bâton. • Qu'il fait sombre, dans cette prison ! • En maths, parfois, nous comparons des nombres. • Nicolas aime voir le chocolat fondre dans la casserole. • D'un bond, j’ai