Le Vieux Chagrin

calme je puis vous raconter toute l’histoire. Il est impossible de dire comment l’idée entra primitivement dans ma cervelle ; mais, une fois conçue, elle me hanta nuit et jour. D’objet, il n’y en avait pas. La passion n’y était pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! oui, c’était cela ! Un de ses yeux ressemblait à celui d’un vautour, – un œil bleu pâle, avec une taie dessus

en recherchent les « principes ». Scènes de la vie de privée : fautes commises moins par volonté que par inexpérience des mœurs & ignorance du train du monde ». -importante découverte : personnages renaissants : surprises pr lecteur personnage vieux jeunes avt, familiarité (Nucingen : ds 30’s œuvres). « Mille et Une Nuits de l’Occident » cf PG Castex 1975 : « univers de la Comédie Humaine ». dc mémoire des romans plus anciens. Anticipations de destinée, multiplications & vides. : donne aux héros

continuaient leur marche silencieuse, dociles comme un grand troupeau […] 2. Une clameur s’éleva ! Tous les hommes et toutes les gaffes se figèrent, immobiles…Ainsi que les longues quenouilles sèches avant les frissons glacés de l’automne. 3. Le vieux les observait à la dérobée, l’un après l’autre. Personne, cependant, ne semblait voir l’ombre de mépris qui, petit à petit, comme une brume d’automne, envahissait les traits de son visage austère. 4. Sa voix cassée ressemblait au bruit que fait une

temps est voyage avec moi. Tu découvriras Marie de France qui grâce à sa plume t’aidera dans ta quête en te contant ses malheurs. Ensuite il te suffira d’un pas pour trouver le bien las Corneille qui en compagnie de la cour de Versailles médite le chagrin que lui fait subir une femme. Mais lorsque il s’agit de l’amour quoi de mieux que les romantiques ? C’est pour cela que je t’offre un séjour au jardin du Luxembourg pour y trouver Gérard de Nerval qui surs ses superbes allés, se fait frapper par une

cette seconde édition : Les derniers jours de Vauban Colas, le valet de Vauban, qui fut interné pendant un mois au Châtelet, raconte dans une déposition conservée aux archives la réaction du vieux maréchal, le 24 mars, quand il commence à s’inquiéter : « Toute cette après-dînée, le Maréchal parut fort chagrin de la nouvelle que M. le Chancelier faisait chercher son livre ». Sa réaction fut d’ordonner à son valet « d’aller promptement chez la veuve Fétil retirer les quarante exemplaires restés chez

appartient à son maître, l'oiseau dans l'air est à moi, n'étant à aucun autre.     Et j'entrai dans le jardin. Oh ! le charmant jardin avec ses estrades superposées, ses espaliers aux longs bras de martyrs crucifiés, ses touffes de genêts d'or, et deux vieux figuiers au bout de chaque terrasse.     Quand je fus sur la dernière, je regardai l'horizon. La petite plage s'étendait à mes pieds, ronde et sablonneuse, séparée de la haute mer par trois rochers lourds et bruns qui en fermaient l'entrée et devaient

n’aurais pas envie d’y aller, ni d’en parler, ni même d’y penser. » (p.133) La culpabilité de Frank : on voit bien dans le film le poids du secret qu’il porte (55:09 à 55:32). Elle est le désespoir de Mrs Danvers : « Pourquoi me soucierai-je de son chagrin? Il ne s’est jamais soucié du mien. Croyez-vous que c’est une vie pour moi de vous voir assise à sa place, marcher sur ses pas, toucher ses affaires? » (p.275) Elle est omniprésente. On ne peut pas l’oublier, malgré tous les efforts faits par les

à Soledad, après avoir fui la région de Weed où les habitants poursuivaient Lennie pour un attentat qu’il n’avait pas commis. George et Lennie travaillent pour réaliser leur rêve : amasser assez d’argent pour s’acheter une petite ferme. Candy, un vieux manchot, et Crook, un Noir infirme, voudraient se joindre à eux. Mais Lennie ne peut contrôler ni sa force ni ses envies. Il écrase la main de Curley, le fils du patron, qui le provoquait. Puis il fait mo Of mice and men fut publié en 1937. La traduction

qu’elle lui fit grand peur et qu’il ne pût regarder sans trembler la grosse verrue, ornée de quatre poils gris, qu’elle avait au bout du nez. Comme la tante de Wolff était connue de toute la ville pour avoir pignon sur rue et de l’or plein 5 un vieux bas de laine, elle n’avait pas osé envoyer son neveu à l’école des pauvres ; mais elle avait tellement chicané, pour obtenir un rabais, avec le magister chez qui le petit Wolff allait en classe, que ce mauvais pédant, vexé d’avoir un élève si

à la malchance, le méchant est à plaindre. Et d’ailleurs dans la vie de tous les jours on constate que le méchant est malheureux, c’est le jaloux, l’envieux, Othello qui étrangle la femme qu’il aime. Les vieux qui sont jaloux des jeunes, Freud dit que c’est pour ca qu’il y a des guerre, les vieux décident d’envoyer les jeunes se faire tuer. Pour la Rochefoucauld, la vanité joue un grand rôle, « il ne se soucie que d’être pourvu qu’il soit il veut bien être son propre ennemi ». La méchanceté se retourne