Le Vieillard Et La Mort

La Mort et le Mourant Présentation: Méditation sur la mort, le livre VIII s'ouvre par le même thème que dans le livre I: La mort et le Malheureux et la Mort et le Bucheron. Le thème de la mort, est un thème important, car La Fontaine essaye de conjurer la mort. On est dans une époque où la mort est commun. Il veut pas de tragédie. Il met en scène la Mort, il va proposer le point de vue du sage. I- La mort très proche 1) Le Mourant: titre = mot de même famille, ils ont la même importance

et désespéré, entre dans un magasin d’antiquité en attendant le soir pour se jeter dans la Seine. Il s’extasie face à l’abondant bric-à-brac de trésors de ce magasin où « toutes les œuvres humaines et divines se heurtaient ». L’antiquaire, un vieillard, lui présente la Peau de Chagrin, tous deux l’observent à présent. Une atmosphère fantastique s’est déjà installée. QUESTIONS POSSIBLES : - En quoi ce texte relève-t-il du fantastique et d’un discours argumentatif ? - En quoi

Bougainville ne sera publié qu’après la mort de Diderot en 1796. Dans le chapitre 2 (Les Adieux du vieillard), Diderot donne la parole à un vieux Tahitien mentionné par le récit de Bougainville (qui soulignait son comportement réservé à son arrivée). Le discours du vieil homme, évidemment inventé de toutes pièces par Diderot, est un violent réquisitoire contre la colonisation. Nous étudierons les moyens argumentatifs et rhétoriques mis en œuvre par le vieillard dans ce discours. ANALYSE (quelques

« fragmentation » dans la structure du récit, nous avons une fragmentation des corps, le vieillard assassiné n'est qu'un œil au début « un œil bleu pâle avec une taie dessus », « ressemblait à un œil de vautour » et un cœur sur la fin de la nouvelle. Il est en quelque sorte réifié car un œil n'a pas de vie propre, il est aussi animalisé car comparé à un vautour. Mais ne ressemble pas à un être humain, trop peu d'éléments. Une fois mort l'homme sera aussi une tête, des bras et des jambes, mais découpés, séparés

Commentaire : Supplément au voyage de Bougainville Le texte 5 est extrait du Supplément au voyage de Bougainville écrit par Denis Diderot (né le 5 octobre 1713 et mort le 31 juillet 1784) en 1772. C’est un commentaire sous la forme d’un dialogue entre A et B : Diderot imagine l’intervention d’un vieillard tahitien qui s’adresse au navigateur et à son équipage au moment de leurs adieux. C’est également un texte fondamental sur l’idée de tolérance et qui dénonce l’esclavage et un conte philosophique

fabulistes nous apportent leurs propres visions de la mort. Par exemple, dans « La mort et le mourant », Jean de La Fontaine insiste sur l'importance du fait que la mort est proche de nous et qu'à tout moment de la vie elle puisse nous prendre, ceci étant une fatalité que peu d'entre nous acceptent. Il traite aussi de nos relations même face à la disparition, dans « La mort et le bûcheron » ( qui fonctionne exactement de la même manière que « La mort et le malheureux » sauf qu'à la place du bûcheron

le bonheur, en lien avec le vieillissement. La question qui se pose est la suivante. Avec tous ce qu’implique le fait de vieillir, peut-on trouver le bonheur? Plus précisément, vivre la vieillesse comme une croissance, incluant la conscience de la mort, et malgré tout y trouver un sens suffisamment solide pour supporter cette réalité et être relativement heureux? L’objectif de cet exposé est de faire ressortir les points principaux de trois auteurs afin de chercher à démontrer s’il est possible de

10:56 Administrateur CPGE - Les Choéphores et Les Euménides Résumé de l’Orestie, trilogie d’Eschyle. "Les trois pièces de l'Orestie vont dans un crescendo terrible.On jouait du matin au soir pendant les fêtes. On put tout jouer en un jour : la mort d'Agamemnon le matin, celle de Clytemnestre à midi, le soir les Euménides. De drame en drame, de terreur en terreur, l'auditoire ne respira plus. Les plus fermes frémirent. Les femmes s'évanouissaient, et plusieurs, dit-on avortèrent. Le soir tout

Electre Euripide PERSONNAGES LE LABOUREUR MYCÉNIEN. ÉLECTRE. ORESTE. PYLADE (personnage muet). LE CHŒUR. LE VIEILLARD. LE MESSAGER. CLYTEMNESTRE. LES DIOSCURES. En pleine montagne, à la frontière de l'Argolide, non loin de la source du fleuve Inachos (83). La chaumière d'un paysan pauvre. Le jour va se lever. LE LABOUREUR O terre antique d'Argos (84), eaux de l'Inachos ! C'est d'ici que jadis, emmenant Arès (85) sur mille vaisseaux, le roi Agamemnon fit voile vers la terre troyenne

Comment on meurt écrit par Zola décrit la mort d’un paysan. Tout d’abord, la mort de cet homme ne met en avant aucun sentiment : « les enfants eux-mêmes n’ont pas une grosse douleur » l.82-83. Cette citation montre que la disparition prochaine du vieil homme de préoccupe personne, pas même sa famille. De plus, le champ lexical des sentiments n’est que très peu présent dans ce texte et montre donc le peu d’importance que l’auteur attache à leur description. A la mort du vieil homme, aucun sentiment n’est