Le Verre Panard

Le corpus rassemble quatre poèmes autour du thème de l'objet quotidien. Le premier est extrait du receuil Usage du temps de 1943, écrit par Jean Follain et intitulé « Quincaillerie ». Le second est le poème « Le verre » de Charles-François Panard tiré du receuil Théâtre et oeuvres diverses datant de 1761. Le troisième, écrit par Charles Baudelaire, précurseur du symbolisme en 1869 est un poème en prose du receuil Petits poèmes en prose intitulé « Les Fenêtres ». Enfin le dernier, est celui de Francis

vie en général6.Que pensez-vous de l’attitude de M. Panard face à la vie ? Rédiger votre réponse.Personnellement je trouve que monsieur Pénard ne devrait pas avoir autant peur. Il exagère grandement comme quand il dit que sa femme peut se faire tuer en traversant le trottoir. Il s'intéressait beaucoup à la lecture médicale tellement qu’il en avait peur ; il en a créé une bibliothèque médicale.7.Qualifiez le genre d’existence que mène M. Panard et celle qu’il fait mener à son épouse.Il lui fait mener

TEXTE A : Genre : poésie Thème : le verre Type de texte : Mouvement litteraire : Registre : lyrique, comique, But de l’auteur : Charles-François Panard (ou Pannard) est un poète et dramaturge français né à Courville-sur-Eure le 2 novembre 1689[1] et mort à Paris le 13 juin 1765. Panard occupait un petit emploi de bureau et rimait pour se divertir, sans songer à faire carrière. Le comédien Legrand l'engagea à écrire pour le théâtre. Chansonnier et auteur dramatique fécond, il fut l'auteur

regroupe 4 poème : « Le Verre », écrit par Charles-Francois Panard en­ 1764, « La Pipe », rédigé en 1857 par Baudelaire et enfin deux poèmes écrit au 19eme siecle, « La Valise » de Francis Ponge et Persiennes de Louis Aragon. 1) Malgré des formes poétiques très différentes, ces poèmes ont pour point commun d’être dédié à un objet du quotidien. Baudelaire a choisi la pipe, Aragon évoque une persienne, Ponge se réfère à une valise et enfin le poème de Panard traite d’un verre. A cela s’ajoute l’importance

Texte A : Charles-François Panard, « Le Verre », Théâtre et œuvres diverses, 1764. Texte B : Charles Baudelaire, « Les fenêtres », Petits Poèmes en prose, édition posthume 1869. Texte C : Jean Follain, « Quincaillerie », Usage du temps, 1943. Texte D : Francis Ponge, « L'œillet », La Rage de l'expression, 1952. Texte E : André Wexler, « Le chiffon », Récifs, 1983.   Texte A : Charles-François Panard, « Le Verre », Théâtre et œuvres diverses, 1764.    Le Verre Nous ne pouvons rien trouver

réalité en célébrant un objet comme Baudelaire ou Panard. En effet, dans Les fenêtres de Baudelaire, ce dernier fait une sorte d’éloge sur les fenêtres, insistant beaucoup sur le mystère qu’elles inspirent. Tout lecteur peut identifier, et largement, ce monde à travers le poème car celui concerne les fenêtres, objets que tout lecteur connait et identifie parfaitement. Et c’est pareil pour Panard, qui, dans Le verre, célèbre le verre à vin et le verre à alcool, et fait en même temps part au lecteur

corpus se compose de 5 textes poètiques: Le verre de Panard; les fenêtres de Baudelaire, La quincaillerie de Follain, L'Oeillet de Ponge et enfin le Chiffon de Wexler. Dans les 5 textes, les poètes célèbrent des objets, mais quel en est l'interêt?   Tout d'abord, l'interêt réside sur le plan personnel notamment avec Le verre et La quincaillerie . Ainsi, à travers le Verre, qui fait l'objet d'une métonimie, le poète célèbre le contenu même de ce verre c'est à dire le vin et l'alcool. Il fait part

réalité en célébrant un objet comme Baudelaire ou Panard. En effet, dans Les fenêtres de Baudelaire, ce dernier fait une sorte d’éloge sur les fenêtres, insistant beaucoup sur le mystère qu’elle inspire. Tout lecteur peut identifier, et largement, ce monde à travers le poème car celui concerne les fenêtres, objets que tout lecteur connait et identifie parfaitement. Et c’est pareil pour Panard, qui, dans Le verre, célèbre le verre à vin et le verre à alcool, et fait en même temps part au lecteur de

de la « routine » ; le lui faire redécouvrir, en en faisant l’éloge. Ainsi Baudelaire affirme : « Il n’est pas d’objet plus profond […] qu’une fenêtre »… ; le calligramme de C.-F. Panard commence par cette affirmation : ©HATIER « Nous ne pouvons rien trouver sur la terre, / Qui soit si bon, ni si beau que le verre » ; le chiffon est « bon garçon, le cœur sous la main »… • Au-delà de cette raison « littéraire », il en est une autre, plus profonde et presque philosophique : c’est que ces objets

leur perception du monde quotidien au travers de la poésie. De ce fait, beaucoup d'objets jusqu'ici complètement négligés puisque ordinaires à nos yeux se voient transformés en sujets poétiques que ce soit avec Ronsard, La Fontaine, Charles-François Panard, Rimbaud ou Appolinaire (etc.). Leur poésie, de part sa beauté esthétique, embellit la monotonie, la laideur de notre quotidien, elle dépoussière les objets qui nous entourent de la patine de l'habitude. Cependant, cette thématique de l'objet banal