Le Sénégal Entre Les Deux Guerres Mondiales

Composition : Des cartes pour comprendre le monde. L’analyse du monde était plus simple avant, car depuis la fin de la Guerre Froide, le monde n’est plus bipolaire mais multipolaire. Ce changement a entraîné une multiplication des guerres civiles, conflits au sein d’un même état, ainsi que l’émergence du terrorisme. Les cartes sont une représentation graphique en réduction de la surface de la Terre, où d’une partie, qui a pour but de représenter la réalité en la simplifiant, ainsi qu’en changeant

puissance du Nord, affirmation du Sud Plan du chapitre : traitement de la problématique Notions clés Repères A- Le Bassin Caraïbe : interface américaine, interface mondiale Interface, tourisme, migrations, trafics (drogue, armes, argent…), paradis fiscaux 5 documents (cartes, texte, photographies) B- Le continent américain entre tensions et intégrations régionales 1- Intégration ou désintégration ? 2- Les tensions Unions, accords, ALENA Frontières, tensions agraires, réformes agraires

QUESTION 2 : .Comment expliquez-vous la croissance rapide de la population mondiale? Entre 1950 et 2000, la population a crû de manière phénoménale. Jamais la population de la planète n’a augmenté aussi rapidement qu’en cette deuxième moitié du 20ème siècle : elle est passée de 2,5 à plus de 6 milliards. Les principales raisons de l'accroissement de la population sont : - l'élévation du niveau de vie avec des transformations économiques( qui facilitent l’accessibilite au pouvoir d’achat)

commencé à «comparer » les peuples entre eux. On peut noter que le racisme n’a pas toujours été un clivage noir blanc car les esclaves dans l’antiquité étaient de toutes les couleurs. En Grèce une majorité d’esclaves étaient des grecs eux même. Le racisme blanc noir en particulier viendra donc plus tard avec l’expansion coloniale de l’Europe. Alors que les égyptiens, les Perses, les Grecs et les Romains considéraient l’esclavage comme un état résultant de la guerre et de ses conséquences, les européens

recherche de gain honnête de cette acquisition de bien être se fait par le biais des échanges grâce à la monnaie qui constitue un des piliers les plus importants du système économique mondial. Au début des années 1980, les pays de la zone UEMOA subissent une crise de la dette qui émane de la crise mondiale. Celle-ci se traduit par des déséquilibres économiques profonds, un niveau de dette publique extérieure très élevée. Un service de la dette qui pèse fortement sur leurs finances publiques

et se restructurent. Au Sénégal, la fusion, qui est la forme la plus utilisé, peut être définie selon l’article 189 de l’acte uniforme du 17 avril 1997 sur le droit des sociétés commerciales et du groupement d’intérêt économique comme : «l’opération par laquelle deux sociétés se réunissent pour n’en former qu’une seule soit par création d’une société nouvelle soit par absorption l’une par l’autre». Cependant elle peut être définie comme l’opération par laquelle deux ou plusieurs entreprises mettent

généralement, à forte croissance démographique. La situation se trouve évidemment aggravée dés lors que l’un des pays riverains ou sus-jacents entend jouer un rôle hégémonique en raison de sa situation dominante, qu’elle soit géographique ou politique, les deux pouvant combiner. * La dégradation de l’Etat des grands fleuves internationaux D’une manière plus générale, la dégradation des grands fleuves internationaux –tels le Nil, le Gange, le Rio Grande- s’amplifie aux termes des analyses concordants

pétrole uniquement par des raisons géopolitiques ou conjoncturelles (guerres, embargo) et d’oublier les raisons structurelles. Pour les raisons géopolitiques ou conjoncturelles, nous avons l’escalade de violences au Nigeria, premier producteur de pétrole brut africain. Il y a également l’instabilité géopolitique notamment dans les régions productrices de pétrole du Moyen Orient (Iran, Irak). Il faut voir au delà des guerres et des crises les raisons structurelles de la hausse du prix du pétrole :

CHAPITRE 7 : L'AFRIQUE :LES DÉFIS DU DÉVELOPPEMENT Si l'Afrique reste le continent le plus en retard à la vue des indicateurs socio-économiques à l'échelle mondiale, ce continent est entré dans une nouvelle ère depuis le début des années 2000. Depuis 2001, le PIB progresse en moyenne de 5% par an. C'est donc une rupture qui tranche avec les discours pessimistes à propos de l'avenir de l'Afrique. Ce continent participe bien à la mondialisation, il est relié par des flux divers aux autres régions

monothéismes : ni l’islam ni le christianisme n’ont jamais été monolithiques. Les grandes divisions qui les traversent, et parfois les agitent, se retrouvent dans une Afrique qui fut, notamment à l’époque des rivalités coloniales, le théâtre de compétitions entre catholiques et protestants, et qui, plus que jamais, est travaillée par les multiples courants mondialistes de l’islam et des églises chrétiennes. Mais l’Afrique n’est plus seulement une caisse de résonance : elle participe à la création du religieux