Le Sophiste

empirisme = théorie selon laquelle toute connaissance est fondée sur lʼexpérience) Protagoras : philosophe du Vème siècle avant J-C, il était sophiste. sophistes = sont les premiers qui ont eu lʼidée de se faire payer pour enseigner. Ils ont appuyé leur raisonnement sur un principe qui est celui que lʼHomme nʼattache de la valeur quʼà ce quʼil paye. Les sophistes formaient des médecins et des avocats : par la parole / le raisonnement ils faisaient passer des idées. Pour Protagoras, «lʼHomme est

conséquent conduirait à l'extinction de l'espèce humaine: interdictions vitales. Hume, « la nature est trop puissante pour les principes » = on peut être sceptique en parole, mais on ne peut l'être en acte B) Des sceptiques aux sophistes C'est ce que montraient les sophistes s’est que toutes les opinions se valent parce qu'elles sont valables et il est donc naturel que chacun, d'un point de vue subjectif et personnel, accorde plus de valeur à certaines opinions : les siennes propres. CONCLUSION :

Gorgias par exemple à pour sous-titre, ‘de la rhétorique’, l’art de bien parler. Platon, dans Le Gorgias pose la question : ‘Qu’est-ce que la rhétorique ?’ Gorgias est un sophiste (prof de rhétorique). Platon a construit toute son œuvre contre les sophistes. ‘Sophiste’ est construit sur la même racine que philosophie. Le sophiste est sage, il possède la sagesse, c’est celui qui dit : ‘Moi je sais!’. A l’inverse, le philosophe aime, désire la sagesse. Socrate est connu pour sa phrase ‘Je sais que je

les arts suivants : la poésie, la sculpture, la peinture. Platon compare même l’artiste au sophiste dans sa capacité à nous détourner du monde intelligible. Pourquoi un tel voisinage du sophiste et de l'artiste ? Une telle condamnation de l'art ? D’une part parce que l'artiste comme le sophiste possède un savoir-faire qui est un savoir-tromper. Le savoir-faire de l'artiste est semblable à celui du sophiste puisqu'il permet de produire l'illusion du vrai, de présenter comme vrai ce qui ne l'est pas

lui-même par le dialogue, style cher à Platon jusque dans ses écrits. Les dialogues platoniciens ne mettent jamais en scène Platon lui-même, mais ils ont pour figures centrales le philosophe, le plus souvent Socrate, entouré de personnages divers : sophistes, rhéteurs, jeunes nobles d'Athènes, hommes politiques, ou poètes. Le philosophe, parmi eux, met à l'épreuve leurs savoirs et en dénonce les prétentions. Car, avant de savoir si l'on sait véritablement quelque chose, il faut savoir qu'on ne sait rien

Hermogène et Prothagoras sont tout les deux des philosophes et des maîtres de la sagesse . Ils enseignent la rhétorique et l'art du discours. Chaque sophiste a une pensée différente. Cependant, ces deux sophistes ont quelque chose en commun dans leur pensée. Socrate, maître de Platon, combat deux thèses opposées sur la vérité du langage, celle d'Hermogène, qui soutient que les noms sont justes en fonction d'une convention et celle de Cratyle, qui soutient que les noms sont justes par nature. Voici

dictionnaire pourrait être bonne, pourtant, elle ne fait pas l’unanimité car certains philosophes voient la vérité comme n'étant pas le réel. Ceci pose un problème sur le sens de la vérité d'une part. D'autre part, sophistes et philosophes ne partage pas la même opinion étant donné que pour le sophiste la vérité on la possède mais pour le philosophe il est à la recherche de celle-ci par la méthode de la dialectique. Ceci nous amène à nous poser la question suivante: Est-il cohérent, logique, (modérer) de

est le sophiste. Le mot sophiste vient du grec ancien sophistes qui veut dire spécialiste du savoir et qui est formé sur le mot grec sophia qui veut dire sagesse. Un sophiste est un orateur qui vend son enseignement philosophique, enseignement qui consiste à jouer sur les mots et à manipuler les raisonnements de telle sorte que la persuasion soit obtenue par l'effet charismatique de celui qui sait manier la parole et non par la mise en évidence de la vérité. Platon critique ces sophistes parce qu'ils

confiance en l'homme et en les progrès de la connaissance. L'auteur confronte dans les chapitres 21 et 23 de son œuvre deux types d'enseignements. Le premier est plutôt placé à une époque d'avant imprimerie, ou plutot d'avant 1420 (donc avant la mort du sophiste). Rabelais confronte ainsi un autre enseignement qu'il présente très clairement comme moyenageux, un enseignement nouveau ; donc celui des humanistes de la Renaissance basé essentiellement sur le principe du quadrivium : étude de l'arithmétique,

selon les sophistes, essayer de trouver la vérité est un projet trompeur. Dans le sens que, selon eux, la vérité absolue du monde est inaccessible. Donc, on peut s’induire en erreur en essayant de l’atteindre. Il faut alors se restreindre à l’interpréter. Par contre, cette interprétation ne peut être considérer comme la vérité du monde. Par exemple, un individu qui croit en l’existence de Dieu. Ce dernier assume l’existence de Dieu, mais sait qu’il ne peut le prouver. Par la pensée sophiste, il ne