Le Silence des armes

travaillerait à exciter des soulèvements contre eux ”. Ce texte dissimulait par son silence le problème des gens libres de couleur qui n’étaient pas nommés, ce qui autorisait une interprétation en France favorable à l’égalité des droits entre tous les libres, mais dans les colonies une interprétation favorable à leur exclusion. De plus, les colons et leurs propriétés, y compris les esclaves, étaient mis, grâce ici encore au silence du texte, sous la sauvegarde spéciale de la nation. Enfin, toute critique formulée

donnés au hasard, reçus sans examen et suivis par habitude ; ils sont le fruit de mes profondes réflexions ; je les ai créés, et je puis dire que je suis mon ouvrage.Entrée dans le monde dans le temps où, fille encore, j’étais vouée par état au silence et à l’inaction, j’ai su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu’on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité les discours qu’on s’empressait de me tenir, je recueillais avec soin ceux qu’on cherchait à me cacher.Cette utile

la scène accentué par cet éclairage donnant un caractère tragique aux évènements. Cette première partie se caractérise par une hypotypose : description réaliste, animée, frappante du passage : « d’arracher au sommeil » (vers 390) « les cris/le silence » (antithèse), « ses fiers ravisseurs » (vers 393). Cette figure de style est employée pour donner l’illusion que la scène est vécue au moment où elle est décrite. Le passé composé est utilisé pour raconter le récit : « je l’ai vue », « je l’ai laissé

L’atmosphère est étouffante, aliénante et pénible. Tout semble suspendu, une coupure dans le temps, une attente interminable. Les spectateurs entrent tranquillement et s’installent en silence. La salle intime, l’estrade étroite, la perte de visibilité, la perte de repères, le manteau de fumée étouffant et le lourd silence donnent le ton. Lorsque les lumières s’ouvrent, la scène se dévoile, on y découvre un univers de vestiges. L’espace scénique est découpé en deux. Dans un grand espace dénudé et sombre

véhicules. Nous restons dans le cadre de la narration d’un événement contemporain («hier»), avec l’article défini : «les». La mention : «armes luisantes» nous fait changer d’époque : à la limite, il pouvait s’agit de bohémiens du milieu du XIXè, l’évocation de ces armes réfère le texte à la description d’une migration dans un récit historique. Notons qu’«armes» renvoie aux armes blanches d’attaque, poignards, épées ou de défense : boucliers, voire cuirasses qui, traditionnellement, fulgurent aux rayons du…

verrouillé le périmètre et avaient creusé des trous le long du front, mais n’avait malheureusement plus beaucoup de ravitaillement en nourriture et en artillerie ce qui accentuait leur angoisse. À chaque fois qu’ils partaient en reconnaissance, le silence était particulièrement lourd, il n’y avait aucun bruit. Deuxièmement, dans le « Pacifique », les ennemis étaient qualifiés de barbares. Les japonais étaient sournois et n’hésitaient pas à mettre leur vie en danger pour aller attaquer et tuer les

cartoons (souvent en noir et blanc) le monde technologique et industriel moderne, la pollution et plus particulièrement l’automobile qu’il déteste, tout comme les armes, la discipline ou encore les multinationales. Ces dessins mettent souvent en scène des personnages dans des situations absurdes. Amoureux de la nature, des plantes et du silence, il rêve d’un monde où l'Homme vivrait en harmonie avec son environnement et avec lui-même. Dans cette œuvre intitulée D Day, allusion au Jour J, (jour du débarquement

séjour linguistique chez elle venant du lycée de Tracey (Prescott) de lui donner une lettre en main propre, elle découvre qu’aucune élève de ce nom n'est est n’a été inscrite à ce lycée ! Mandy demande des explications. Après quelques jours de silence et face aux lettres insistantes de Mandy, Tracey finit par écrire la vérité : elle est dans une prison pour mineurs (Garrett) où elle paie cher depuis un an un lourd passé dont elle n'est pas vraiment responsable. Dans ses lettres, elle écrivait uniquement

Corée du Nord ne serait-elle pas finalement une caractéristique primordiale de la communauté internationale, qui après la Guerre Froide et les attentats de New-York et Washington, cherche des repères ? La Corée du Nord semble être un signal que les armes nucléaires appartiennent au présent et que les risques restent réels. Cependant, la menace nucléaire nord-coréenne est-elle une réalité, ou un argument favorable au sécuritarisme à outrance, que le terrorisme seul ne parvient pas à justifier entièrement 

fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies ; quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres. L'obscurité