Le Silence De La Mer Incipit

des pas dans une église Où est Cremnitz qui s'engagea Peut-être sont-ils morts déjà De souvenirs mon âme est pleine Le jet d'eau pleure sur ma peine. Ceux qui sont partis à la guerre au Nord se battent maintenant Le soir tombe Ô sanglante mer Jardins où saignent abondamment  le laurier rose fleur guerrière. LECTURES COMPLEMENTAIRES (SUITE) « La chevelure », Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire   (1821-1867) Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure ! Ô boucles ! Ô parfum

« La Ville », Les Campagnes hallucinées - Leclerc, « La ville ? c’est… », Pieds nus dans l’aube - Nougaro, Bidonville HATIER Annabac STG 2008 HATIER Annabac STG 2007 « La musique des vers » (ES/S – avril 2006) - Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures - Michaux, « Le Grand Combat », Qui je fus - Aragon, « Le Conscrit des cent villages », La Diane française - Leiris, Langage, tangage ou Ce que les mots me disent HACHETTE Annales Bac 2007 NATHAN Annales 2007 « Douze

urbaines. • Métaphores surréalistes. • Les expressions imagées. • Le détournement de sens. • Imaginer des répliques. • Un mot pour un autre. • Compléter les répliques. • Les incipit. • La nouvelle à chute. • Le titre imposé. • Décrire un lieu imaginaire. • Rédiger un plaidoyer. • Défendre la langue française. Atelier d’écriture : faire son autoportrait. Le grand écrivain

cette chanson dialoguée, met-il son écriture poétique au service de son engagement ? Question : Pour chacun des poèmes du corpus, repérez le jeu sonore dominant et dites en quoi il participe au sens. Commentaire : Hugo, « Une nuit qu’on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures Dissertation : La poésie est-elle faite pour être lue à voix haute ? Invention : Michel Leiris défend le caractère poétique de son œuvre Langage, tangage ou Ce que les mots me disent, auprès de son éditeur qui refuse

et mange à mes dépens Morte visible Nusch invisible et plus dure Que la faim et la soif à mon corps épuisé Masque de neige sur la terre et sous la terre Source des larmes dans la nuit masque d'aveugle Mon passé se dissout je fais place au silence. S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - texte 4 Dès que je me lève Jacques ROUBAUD, Quelque chose noir, 1986 Dès que je me lève (quatre heures et demie, cinq heures), je prends mon bol sur la table de la cuisine. Je l’ai

de l’Ingénu ; le passé simple, renvoie au contraire aux actions rapides et brèves et met en relief l’arrivée de l’Ingénu : « Comme ils s’attendrissaient l’un et l’autre à ce souvenir, ils virent entrer dans la baie de Rance… » (p. 12). 2 Cet incipit mêle réalisme et merveilleux. Relevez les passages qui en témoignent. Le réalisme apparaît à travers des indications géographiques précises (« Irlande », « Notre-Dame de la Montagne »), ou encore à travers les activités des personnages : les Kerkabon

dire? NARCISSE Elle s'en est vantée assez publiquement. NERON De quoi? NARCISSE Qu'elle n'avait qu'à vous voir un moment, Qu'à tout ce grand éclat, à ce courroux funeste, On verrait succéder un silence modeste; Que vous-même à la paix souscririez la premier, Heureux que sa bonté daignât tout oublier. NERON Mais, Narcisse, dis-moi, que veux-tu que je fasse? Je n'ai que trop de pente à punir son audace, Et

il y a quelques mauvaises peintures qui n'ont pas même le mérite de dater de l'époque où la naïveté était une école. Celle que nous visitions était décorée de toute l'histoire de Guillaume Tell et de Mechtal. Le plafond représentait le passage de la mer Rouge par les Hébreux : je n'ai jamais pu comprendre quelle analogie il y avait entre Moïse et Guillaume Tell, si ce n'est que tous deux avaient délivré un peuple. Et, comme le sacristain n'en savait pas plus que moi sur cet article, je suis forcé de

b. La mention de l’« énorme imprudence » a un effet de suspense. 10 Analyser un incipit a. L’incipit commence in medias res au moment de la mort du narrateur qui est le personnage principal de l’histoire (narration à la première personne). La narration se situe après les événements relatés, mais le narrateur ne précise pas combien de temps après. Le récit commence donc sous forme d’analepse. b. Dans cet incipit, le narrateur bien vivant raconte sa propre mort ! Peut-être est-il tombé dans le coma

construit par ses gestes et sa tenue pourrait bien être décrit selon le point de vue du douanier qui justement observe la scène. ■ Le genre du roman Cette histoire commence en pleine tempête, en plein vent et ce champ lexical rencontre celui de la mer et des bateaux dans ce décor de port breton : on en fera aisément le relevé. Ce cadre tourmenté, la nuit et le fait que tout le monde – presque tout le monde – dorme se révèle propice à des événements mystérieux, violents, un meurtre par exemple comme