Le Sensible Est Il Trompeur

doute) Beaucoup d'idées fausses depuis l'enfance et d'autres bâties sur celles-ci. Établir qq chose de ferme dans les sciences, âge atteint pour cela. Trouver qq éléments faux suffit, idées bâties dessus tombent aussi (dominos). Sens trompeurs souvent mais ne peut pas douter de lui devant le feu en train d'écrire. (seuls les fous doutent et se trompent sur ce qu'ils sont ) Toutefois mêmes impressions dans le rêve, voit les mêmes choses, croit être dans la réalité alors qu'il rêve

principes des opinions. L’un de ces principes est que toute connaissance dérive de l’expérience, il s’agit de la thèse empiriste. Descartes va donc se demander s’il peut douter de l’expérience, c’est-à-dire de l’apparence et de l’existence des choses sensibles. A) « Des choses que l'on peut révoquer en doute.» De quoi peut-on douter ? 1) Le doute existentiel (Méditation I, §3 à 5.) Peut-on douter de l'apparence et de l'existence su monde ? a) Peut-on douter des sens ? b) L'argument de la folie

précisément aux sciences qui supposent une certaine observation, à savoir les sciences de la nature et les sciences expérimentales (physique, biologie...). Le terme "voir" renvoie quant à lui au sens de la vue. Il peut alors être synonyme d'expérience sensible, de perception. La vue est le sens qui nous permet d'entrer en contact direct avec l'essence des choses. Pour pouvoir connaître, il suffit donc de voir. Mais, sans la raison, la vue n'est rien ; de plus, les apparences sont souvent trompeuses. C'est

monde avec des questions de nature métaphysique Il comment par le plus simple en remettant d’abord en cause toutes les réalités sensibles qui l’entourent ( ce qu’il voit, ce qu’il sent…)—> les sens sont pas fiables donc révocables Mais le fait que les choses soient sensibles par nous méme comme notre corps ne suffit plus a motiver le doute donc la nature sensible des corps et le rapport qu’on entretient avec eux ne peuvent plus être remis en cause —> car sinon risque d’entrer dans la folie

première formation est donc le résultat de notre expérience sensible, qui nous permet donc de concevoir une connaissance objective. On peut donc dire que nos sens sont primordiaux pour nous épanouir dans le monde, et donc acquérir des connaissances. .Par ailleurs les connaissances que nous acquérons avec nos sens sont limités au monde sensible . Pourtant une autre fonction qui nous différencie des animaux, nous permet d'aller au delà du monde sensible, c'est la fonction de penser. Quel est donc ce parallèle

idée. = (Leibniz) : représentation du multiple dans l’unité) ° Formes de l’affection= modification de nos états psychiques sous l’action d’une cause extérieure - Sensation= l’influence du réel sur nous par nos 5 sens ( sensibles propres (à 1 sens) ( sensibles communs (sciences, explication du réel) - Impression : agréable (jouissance, joie) ou désagréable (douleur, chagrin, tristesse) ( de sensation = l'impression que donnent les sens (couleurs, sons) ( de réflexion = l'impression

extérieur des choses telles qu'on les voit et pas forcément telles qu'elles sont. Tromper, c'est induire en erreur en faisant croire à une fausse réalité. Est trompeur celui qui nous ment, celui qui dissimule ou qui travestit la réalité dans le but de nous abuser. Mais rapporté à l’apparence, que peut bien signifier ici l'adjectif « trompeur » ? L'apparence, sans doute, est trompeuse dès lors qu'elle nous montre des phénomènes qui n'existent pas, comme des mirages par exemple, ou un aspect partiel

Méditations métaphysiques I – II, Descartes Remise en cause de nos sens qui seraient trompeurs, et en même temps, affirmation d’un Dieu omniscient et omnipotent. Il faut passer par l’étonnement pour être capable de prendre la distance par rapport au texte, et le comprendre vraiment. Quelles intentions président à la rédaction du texte ? Recherche d’un indubitable, Dex n’est pas le premier à vouloir cela. En revanche, il est le premier à traiter les choses de la manière suivante : « la

faux, ce qui n'est que douteux. Le doute comporte plusieurs étapes. Personne n’échappe à son enfance et à ses préjugés. L’opinion, c’est un savoir qui n’est pas fondé. Pour le sceptique, le doute est l’aboutissement. l) La connaissance sensible. Sensible = qui vient des sens (cf. empirisme avec CODILLAC). Le doute cartésien porte d'abord sur les données sensorielles. On sait que nos sens nous trompent quelque fois : par exemple les mirages, les illusions d'optique. Si l'on peut raisonnablement

) Chaque fois, on bute donc sur quelque chose qui, au moins, devrait être certain; et chaque fois, Descartes va plus loin dans le doute (cf. rêve = dérivé de quelque chose de réel; math ...car rêve pas bon argument pour en douter)   3) Le dieu trompeur et le malin génie (§9 et 10) § 9 et 10 (9) Non. Car peut-être un Dieu omnipotent m’a créé de telle sorte que j’hallucine le monde physique et me trompe, même en faisant des mathématiques. Si vous dites qu’un Dieu suprêmement bon ne me décevrait