Le Secteur Tertiaire Paca

économique : une affirmation du rôle de l'échelle locale dans le fonctionnement et les performances des entreprises d'une part, et, d'autre par, un élargissement de l'horizon à l'échelle mondiale. Si ces tendances sont observables dans l'ensemble des secteurs économiques, qui sont de moins en moins, distincts les uns par rapport aux autres, il n'en demeure pas moins que les territoires français restent inégaux face au développement économique et au fondement de leur richesse.I. Le local : un élément décisif

désindustrialisation : En une génération le poids de l’agriculture dans l’économie française a été divisé par deux alors que celui des services a augmenté de 50%. On assiste actuellement à un exode industriel vers les activités tertiaires. Évolution de l'emploi par grands secteurs d'activités entre 1978 et 2002 (en milliers): Agriculture 2 063,5 => 978,3 Industrie 5 275,7 => 3 742,6 - 1,5 millions Énergie

réajustements des coûts… Le reste des investissements reste stable avec autant de projets annoncés que de projets finalisés ou abandonnés. L’année 2010 est caractérisée par un léger rebond d’investissements du privé sans pour autant compenser le recul du secteur public, et par un grand nombre d’annonces dans le domaine industriel. C’est logiquement l’ouest du département qui capte ces investissements. La plupart des projets avancent : débat public pour Fos Faster et Cap Tonkin, premiers coups de pioche pour

projets, des investissements (publics ou privés)… Dans le cas présent, la réflexion portera essentiellement sur le champ économique et tout particulièrement sur l’attractivité à l’égard des entreprises. La précision est importante dans le cadre du SRDE : PACA est déjà une région attractive ; tant au plan démographique qu’au plan touristique, mais c’est la combinaison équilibrée et réussie de ces différentes attractivités (et de leurs conséquences territoriales) qui constitue l’enjeu majeur du développement

|● Plus de 2 000 salariés : les très grandes entreprises | |Secteur d'activité économique |● Secteur primaire : entreprises exploitant les ressources | | |naturelles (agriculture, pêche, mine…) | | |● Secteur secondaire : entreprises transformant les matières | |

Espagne. Architecte : Joaquin Sierra de Ingenieria Torrella - Illustration GSE A compter de la fin des années 1990, le marché de l’immobilier se doit de fournir des installations modernes et polyvalentes adaptées aux besoins des logisticiens. Le secteur de l’immobilier logistique se structure alors avec l’intervention des promoteurs et investisseurs. Ceux-ci contribuent au développement du marché locatif et accélèrent la normalisation des bâtis (cellules 6.000m², hauteur 10m), rendue nécessaire tant

collectivités territoriales et les entreprises. 2) La recomposition des espaces de production En France, les activités productrices sont très concentrées : 4 régions assurent 52% de la production nationale (Ile de France 28%, Rhône-Alpes 10%, PACA et Nord-Pas-de-Calais 14%) La modernisation de l’économie entraîne une redistribution en faveur des grandes villes de l’ouest et du sud (PIB en hausse dans ces régions), et accentue le phénomène de métropolisation (transformation des paysages ruraux

Gandonne ou encore de la Crau). En ce sens, Salon de Provence est en fait une zone ou les activités sont essentiellement à vocation tertiaires (cette proportion est évaluée à 64,7 % du secteur d’activité global selon les chiffres de l’INSEE paru en 2011). Cette constatation étant faite, il devient alors judicieux d’utiliser comme élément fédérateur le secteur tertiaire pour notre pré-zonage. Afin de distinguer au mieux les communes qui respecteront ce critère, on a créé un coefficient de spécialisation

économique). Il y a une surconcentration des activités économiques dans cette région. 44% des emplois stratégiques sont situés à Paris. Au niveau de la recherche, plus de 50% des chercheurs sont dans la région parisienne. Plus de 50% des emplois du secteur culturel sont situés en IDF. 30% de la Valeur Ajoutée brute nationale est produite par la région IDF. Et enfin, 30% des étudiants du second et troisième cycle sont dans la région IDF. Poids écrasant de la région IDF. Le système productif francilien

agro-alimentaires, réparation navale... C’est la conséquence, non seulement du déclin des industries coloniales traditionnelles (huileries, sucreries, meuneries) mais aussi de la restructuration des industries navales dans le contexte de crise mondiale de ce secteur. III. Le relancement de la ville De nouveau enjeux urbains sont décidés: Si le taux de chômage et le déclin démographique sont spectaculaires, si Marseille s’est appauvrie, la ville montre cependant des signes positifs tels que ses potentialités