Le Secteur Secondaire Ivoirien

07/07/2011 - 08:49 | | | Envoyer à  un ami | | | Imprimer cet article | | | | | | Ayant fait un passé récent, la fierté de la Côte d’Ivoire, les grandes écoles d’enseignement professionnel et technique, construites par l’Etat ivoirien ont perdu de leur crédit. Surtout avec l’arrivée du régime des frontistes. Une situation à laquelle, il faudra rapidement trouver une solution afin de garantir l’insertion sociale des étudiants après leur formation, aussi bien au pays qu’au-delà

PIB en PPA 188e[1] Croissance du PIB 2,3 % (2008) 2 PIB par habitant en PPA 980 $ (2008) 2 PIB par secteur agriculture : 23,9 % industrie : 25,3 % services : 50,8 % (est. 2007) 4 Inflation (IPC) 8,1 % (est. 2008) 2 Pop. sous le seuil de pauvreté 48,9% (est. 2008) 2 Indice de développement humain (IDH) (163e) en 2009 2 Population active 6 502 115[2] Population active par secteur agriculture : 27 % industrie : 18,5 % services : 54,5 % (2006) 1 Taux de chômage 45 % Principales

Polytechnique du Centre (CPC) est la première école supérieure privée agréée créée à Yamoussoukro, la capitale politique. Ce centre Polytechnique est composé de deux grandes écoles qui sont : • L’ESCI : Ecole Secondaire Commerciale et Industrielle, qui est une école secondaire allant de la seconde à la terminale. La formation dans cette école est couronnée à la fin par un BAC technique. Elle a été agréée par l’Etat sous le n°2199/MEN/CAB/SEP. • L’ESACI : Ecole Supérieure D’Administration

général comprend trois degrés : (i) le degré de l'enseignement préscolaire et primaire; (ii) le degré de l'enseignement secondaire général et (iii) le degré de l'enseignement supérieur. L’enseignement technique et la formation professionnelle débutent au secondaire. 2.Après l’adoption de cette loi, la Côte d’Ivoire a élaboré en 1997, le Plan National de Développement du secteur Éducation/Formation (PNDEF 1998-2010). La mise en œuvre de ce plan a été contrariée par les crises successives qu’a connues

compte spécial destinée à soutenir et à pérenniser le processus de production foncière et de logements, sous la pression des institutions financières internationales) ; · La troisième période marquée par l'introduction de réformes profondes dans le secteur de l'aménagement foncier, avec la loi sur la concession d'aménagement foncier qui marque le retrait effectif de l'Etat de la production foncière, de la commercialisation des terrains ; · La quatrième période est plutôt relative à la problématique

transparence visé et d’équité fiscale. En outre l’accroissement des obligations juridiques à la charge de l’entreprise, la prolifération des règles et des lois ainsi que le développement de l’économie, la concurrence accrue au sein des différents secteurs et la législation des échanges internationaux poussent l’entreprise à maîtriser son environnement fiscal ainsi que sa propre fiscalité. Dans cet ordre d’idée, l’entreprise est exposée à un risque énorme d’irrégularité, de choix irrationnels des avantages

terres chaudes du centre de la Côte d’Ivoire, dans cette cuvette de Dimbokro, le vagissement d’un enfant qui venait de naître M on père, Dramane OUATTARA Ivoirien originaire de Kong, au Nord-est de la Côte d’Ivoire, est descendant de Sékou OUATTARA, fondateur de l’empire de Kong au début du 17ème siècle. Ma mère, Nabintou CISSE, est Ivoirienne originaire de Gbéléban au nord-ouest de la Côte d’Ivoire. A la fin du 19 ème siècle, les frontières coloniales, sans tenir compte des limites de l’empire de

300.000 en 1998.Cette forte croissance est certes liée à la forte proportion des étrangers(26%de la population totale en Côte d’Ivoire selon le recensement générale de la population et de l’habitat en 1998)mais à une dynamique de la population ivoirienne du à la forte natalité. Nous constatons en plus de cette immigration internationale, une autre migration cette fois interne .Cette migration interne est principalement motivée par des raisons économiques. Ainsi en fonction des opportunités offertes

individuelle et collective des ivoiriens. 6.La conjugaison de ces efforts et la bonne tenue des cours des matières premières exportées, notamment le café et le cacao, ont permis à la Côte d’Ivoire de connaitre un essor économique remarquable et de réaliser de nombreuses infrastructures socioéconomiques sur la période 1960-1980. Cette dynamique de développement a été qualifiée par certains analystes de « miracle ivoirien ». 7.Cependant, au début des années 1980, l’économie ivoirienne va entrer en récession

direction des ressources humaines et de la communication (DRHC). PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE ECO-LANDE ENVIRONNEMENT 1) HITORIQUE : Dès 1950, COFUNA s’engage dans le secteur du recyclage de résidus organiques en BIO FERTILISANTS pour le compte d’industriels de l’agro-alimentaire (Sucrerie, producteur de café, conserve etc.) par l’utilisation de « ferment industriels »du fait de ses activités et de ses produits. SOCACO