Le Savoir S Oppose T Il à La Croyance

Méthodes pédagogiques  Savoir, Comprendre, Expérimenter    Notre  société  nous   permet  d’accéder  à  un  niveau  de  connaissance  extraordinaire  :  généralisation  des  moyens  de  télécommunication  ;  relative  gratuité  de  l’accès  à  l’information  et  à   la  culture  ;  l’accès  à  une  masse  de  connaissances  inégalée  dans  l’ensemble des civilisations humaines...  Cette  révolution de  la connaissance se doit  d’être  accompagnée  par  un accroissement  de la  conscience, à la  fois  collective et 

Les époques en proie à de graves crises morales voient renaître, sous l'inquiétude et l'absence de repères, nombre de manifestations d'un besoin parfois très vif de se raccrocher à des certitudes. François Jacob dans « Le jeu des possibles » s'en prend violemment à "la vérité considérée comme un absolu", c'est-à-dire à la certitude d'avoir raison. Comment justifier ses propos ? Malgré les conséquences souvent néfastes que la certitude ne manque de provoquer lorsqu'elle tourne au fanatisme, ne présente-t-elle

humains avaient leurs croyances, leurs rites, leurs entité supérieure qui les régissait. Aujourd’hui encore, une majorité d’hommes et de femmes vivent l’esprit profondément ancré dans la religion, pratiquants ou non, ils croient en un ou plusieurs dieux, y consacrent de leur temps et se laissent guider par ces tous-puissants. Jamais néanmoins l’existence d’un être immortel, parfait, n’a pu être démontrée, et c’est pour cela que l’on ne peut accorder à la religion le rôle de « savoir ». Il ne s’agit donc

diverses religions= croyance en une divinité ? Non, religion athée est possible (bouddhisme primitif) Notion inséparable de la religion : notion de sacré. Le sacré oppose le profane. Il est l’objet de respect/crainte, il circonscrit le permis et le défendu (tabou). L’esprit religieux est dualiste : il sépare le ciel et la Terre, Dieu et les hommes, le bien et le mal… Peuvent être sacrés : des êtres, des choses, un espace, un temps. Une religion : L’ensemble des croyances et des rites en relation

notre capacité en tant qu’humain à nuancer par la réflexion notre conception du monde et à donner un jugement et une valeur à ce que l’on observe. C’est la faculté de saisir la dépendance logique entre les idées, de comprendre les lois régissant les phénomènes qui nous entourent. La raison a toujours été érigée comme apanage de l’homme. On retrouve donc la raison au centre des idéaux des philosophes grecs et romains antiques. Celle- ci conduirait l’homme à s’échapper de sa bestialité et de ses

inconditionnel, sans lien à autre chose qui lui-même, incomparable, intransgressable. Ex. : Le pouvoir absolu2) Est absolu ce qui est achevé, total, intégral et qui contient en lui-même sa raison d'être ( = parfait). Ex. : Le concept de Dieu, en tant qu'il est le concept d'un être parfait est le concept d'un être absolu en ce sens. | Relatif | 1) Est relatif ce qui dépend d'autre chose (opposé à absolu au sens 1). Ex. : Cause et effet sont deux termes relatifs l'un à l'autre2) Est relatif ce

Les époques en proie à de graves crises morales voient renaître, sous l'inquiétude et l'absence de repères, nombre de manifestations d'un besoin parfois très vif de se raccrocher à des certitudes. François Jacob, dans Le jeu des possibles, s'en prend violemment à "la vérité considérée comme un absolu", c'est-à-dire à la certitude d'avoir raison. Comment justifier ses propos ? Malgré les conséquences souvent néfastes que la certitude ne manque de provoquer lorsqu'elle tourne au fanatisme, ne présente-t-elle

conforme à la réalité. Un croyant peut même être intransigeant ou sectaire de son jugement : il n’accepte pas de critique quant à la vérité de ce qu’il croit. De la même façon, mais pour d’autres raisons, un savant, un scientifique ne remettra pas en doute une théorie largement prouvée. La différence réside dans la modalité de ce rapport à la vérité. La vérité du savoir exige la clarté, la cohérence, un caractère d’objectivité : elle est partagée par tous grâce à des démonstrations et à des preuves

Krishnamurti - 1933- 1968/ CW - Vol. 1 - L'art d'écouter/CW -Italie 1933/09-07-1933 -Alpino, Italie.4ème Causerie Krishnamurti/ Les Œuvres Collectées de J. Krishnamurti - 1933- 1968/ CW - Vol. 1 - L'art d'écouter/CW -Norvège 1933/05-09-1933 -Causerie à l'Université d'Oslo, Norvège Krishnamurti/ Les Œuvres Collectées de J. Krishnamurti - 1933- 1968/ CW - Vol. 1 - L'art d'écouter/CW -Norvège 1933/06-09-1933 -Frognersetèren, Norvège.1ère Causerie Krishnamurti/ Les Œuvres Collectées de J. Krishnamurti

La croyance n’est-elle qu’une démission de la raison ? A première vue, croyance et pensée rationnelle sont totalement opposées l’une à l’autre ; la raison est la faculté de distinguer le vrai du faux et le bien du mal, par laquelle l'homme connaît et juge alors que le terme croyance regroupe toutes les opinions qui ont le caractère d'une conviction intime. La raison ne s’emble donc pas y intervenir puisque l’on parle de conviction et non de savoir. De plus ce mot est principalement associé à